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Les chants des femmes annonce en fin l'arrivé de zaydi j'avais le stresse qui me monté jusqu'au coup j'en avais même des frissons qui me perturbé depuis un petit moment. Un son que je distingue parfaitement était la collisions du sabre en argents qui s'enlèver de son porte sabre.
J'entendis à nouveau la collisions et le coussin se presse impeu sur mon côté le sabre était une sorte de promesse comme pour me protéger si j'ai bien compris.

J'étais vêtu d'une kaftan rouge en compagnie d'une voile transparente. maquillé légèrement pasque je le voulais je n'avais ni envie de mettre autre que le mascara ainsi que d'un pauvre brillant et mes sourcils son refaites par du crayon noir. Pas de fond de teint pas d'arrangement qui ne me sera pas très utile mais j'étais émerveillé par les multitude de dessins qui envahissait mes mains à mon coude par du aîné.

Je braque mon regard vers celui de l'imam avant qu'il commence. Zaydi lui dit une phrase que j'ai  appris à traduire au fils du temps " elle ne parle pas arabe"

- Mashallah cette femme est terriblement belle mon fils qu'allah vous donne la voie du bonheurs articule l'imam d'une accents très prononcé.

- Inshallah prononce t-il d'une voix calme.

Il continua les recits des corant quandil lui demanda la dote zaydi  tourna la tete vers sa mère et elle viennent vers nous avec des bijoues très...ô mon dieu c'était de l'or.

Et Habiya arrive avec une cousin envahie par plusieurs billet violet il était impossible de voir la couleur du coussin mais on pouvait dire que celle ci n'était pas comme un simple coussin. Elle était vraiment grand le coussin même elle a du être aidé par habiya.

- Mashallah dit- l'imam en souriant.

Moi même j'en étais émerveillée mais surtout choqué il vient nous attaché par la chale avec un tissus rouge et nous demande de nous relevée c'est à cette moment que je compris à présents que nous étions en fin marié devant dieu. Les regard de mes deux frère ainsi que tinay on faillis me faire pleuré.

Quand je dis mes deux frères je veux parlé de Kadel et Omar. Omar était le fils de mon père. Mes oncles et tantes nous félicite tout de même. Les félicitations se font de plus en plus.

Nous sommes amené sur les trônes qu'il on disposait dans le salon vide. J'avais pas encore levé mon regard vers lui alors il tira sur nos liens me faisant relèvé le regard.

Et ses lèvres s'entre ouvrant puis se referma alors que je détaillé son visage le crayon noir sur ses yeux ressortant la couleur bleuté de ses iris. Sa barbe parfaitement bien taillé ni trop inexistant ni trop vue sa lui faisait ressortir ses lèvres rose d'une tel dangerosité que je me demande bien comment on t-il fait pour en arrivé à ce stade.

Le foulard sur la tête qui descendait en cascade sur son torse alors qu'un autre le retenait sur la tête. Son regard changea progressivement en le voyant me devisageait...

- Maman?

Nous nous détachons de nos regard à fin de voir la petite avec une panier de pétale de rose.

- Ma chéri vient là.

Elle vient me prendre dans ses bras alors que je serra notre entrainte.

- Tu vas vivre avec lui? Me demande t-elle.

- Oui mais je te promets de venir te voir et te ramené à la maison d'accord?

- Mais moi je veux joué tout le temps avec toi.

- On jouera ensemble ne t'en fais pas.

- Mais kadel il ma dit que tu vas partir et je devrais t'appeller grande soeur articule t-elle en pleure, et je ne veux pas.

advance in regret but do not advance for a return...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant