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Je me lève avec une odeur inhabituel de chez moi

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Je me lève avec une odeur inhabituel de chez moi. J'avais oublié que hier je m'étais disputé avec ma mère. Je suis au chalet lumineux. C'est comme ça que l'appelait Sophie, ma meilleure amie qui est décédé à dix ans à cause d'un cancer, la leucémie plus exactement. On se retrouvait souvent ici, du moins Maléfique et sa mère Ashley venaient se retrouver là. Durant les vacances scolaire on les passaient ici, quand ma mère se souciait encore de moi. Pour Sophie nous étions les princesses qui brillaient de mille feu. Voilà pourquoi lumineux. J'ai peu de souvenir d'elle, mais le peu qui me reste sont précieux. Les quelques souvenirs sont présent malgré sa voix qui a disparu.

Je sors mon journal. À l'intérieur, j'écris des poèmes. Cela ne me ressemblerai pas, c'est complètement absurde. Jelena Diaz qui écrit des textes poétiques qui croirait ?
Je me munie de mon stylo noir.

" Je dois trouver ma place parmi cette foule

Si tu me l'a prends qui vais-je devenir ?

Si tout ce que j'ai bâti s'écroule 

Rien ne tiendrais en équilibre 

Laisse-moi vivre comme je souhaite 

Ne m'emprisonne pas dans tes problèmes 

Si à tes yeux mon identité est important 

Fais-moi confiance, confiance 

Il est dur pour moi de savoir qui je suis

Ce n'est pas seulement une place 

Je veux créer chaque partie de moi

Pour toi, je sais que tu aimerais ça 

Crois-moi ce n'est pas qu'une place

Là tu pourras admirer mes créations 

Si tu me la prends je ne serais plus rien"

" À celui qui a pris ma place et à celle qui a gâché une autre de mes soirées."

Je dégage la grande couverture sur moi pour aller mettre mes vêtements de hier. Je vais aller faire un tour à l'extérieur. Depuis un moment je n'ai pas posé les pieds ici parce que ma vie a été pris dans un sacré tourbillons les deux dernière années.

En franchissant le pas de la porte, les arbres oranges me font sentir tellement bien. Il y a d'autre chalet autour de la mienne. Ici, avec Sophie on était amie avec tous les enfants du coin. Simon, c'était le père de Josh, celui qui complétait notre trio. Fouillant mes souvenirs lointain, ses parents se disputaient beaucoup. Je me rappelle de l'avoir traité méchamment de pleurnicheur et que Sophie m'avait taper. On s'était même plus adressé la parole. Puis quand elle m'a expliquer, je suis allé lui demander pardon. Maintenant je suis différente de la mini-moi. Ma mère m'a rendu comme elle, je m'en rends compte.

Je pose mes deux mains sur la barrière en bois du porche, continuant à admirer les feuilles des arbres tomber comme de la neige. En face de mon chalet, habite mamie Suzanne. Elle est tout aussi fan de la saison que moi, c'est peut-être elle qui m'a transmise le goût d'aimer l'automne. Quand nous étions petite, je me rappelle qu'elle était assise sur sa petite chaise entrain de tricoter nous surveillant. Notre goûté c'était chez elle tous les jours. Je me lève déterminer à toquer à sa porte. Suzanne vient toujours début septembre jusqu'à octobre . Aucune réponse mais une voix me reprend.

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