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Ce matin je ne vais pas en cours, je vais récupérer mes affaires à la résidence

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Ce matin je ne vais pas en cours, je vais récupérer mes affaires à la résidence. Ma grand-mère m'a envoyé un message, ce message :

« Tonton Ralph te prête un appartement à San Diego. Déménage pour un petit bout de temps. Je pense à toi, à bientôt. »

Mon oncle Ralph me déteste, je suis surprise qu'il est voulu me prêter un de ses biens. Lui, c'est le grand-frère d'Elizabeth, l'aînée de la famille Harrison. Malgré qui soit le premier enfant, c'est le deuxième à avoir réussit à rentrer dans la puissance mondiale économique grâce à son agence immobilière. C'est l'un des plus grand réseau. Je suis convaincu que c'est Harry, mon cousin qui a supplié son père. Je ne vois pas non plus comment, puis ma grand-mère a dû rajouter une couche alors il n'a pas eu trop le choix.

Ensuite Jonas m'a envoyer ce message :

«  Maman nous a attribué un manager chacun, contacte Archer avec le numéro que je t'ai envoyé. Si tu veux pas de notre aide, au moins lui il pourra être là. »

Intéressent. Je vais me méfier quand même, à tout moment Maléfique l'a engagé pour me surveiller. Personne à besoin d'éducateur ici. Une fois les cartons remplis ils vont à l'adresse indiqué. J'irai voir cette appartement plus tard. J'ai rendez-vous avec ce Archer dans un restaurant sophistiqué en plein cœur de San Diego. Lorsque j'arrive et que le patron du restaurant me guide, je me retrouve dans un endroit bien à l'écart des autres. Comme toujours. Il faudrait pas qu'on sache mes plans, assez de paparazzi qui me colle au cul. Ce beau prétendu Archer se lève pour me serrer la main.

— Bonjours, Rebecca Harrison, c'est bien ça ?

Aiw. Un pique dans le cœur. Ma mère l'a trouvé quand j'avais dix piges pour m'appeler encore comme ça ?

— C'est Jelena Diaz.

— Ah oui, excusez-moi. Jelena Diaz, prenez place.

Je tire la chaise pour m'installer en face de lui. Il est plutôt beau gosse avec sa barbe bien rasé. Je dirais qu'il a la trentaine. Un détail qui n'échappe pas, il est efféminé.

— Il y a longtemps votre mère a contacté mon agence privée. Mon profil a donc était choisis et j'ai été formé pour vous accompagner. Ce n'est pas de la rigolade ce que votre mère demande.

Ses yeux en dit beaucoup sur la manière dont il a dû était formé.

— J'espère que vous n'êtes pas comme elle.

— Évidement que non. Dans le contrat je dois surveiller le moindre fait et geste qui ne nuira pas à votre carrière, ni celle de votre famille également. Si je voulais être baby-sitter ou garde du corps je n'aurai pas postulé ici. J'ai été choisis par votre mère parce que j'étais débutant, elle voulait former quelqu'un pour suivre tous ses ordres. Mais ce n'est pas mon travail, finit-il avec un grand sourire convaincant.

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