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Assise devant le bureau de Elizabeth, je me sens comme un de ses collègues

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Assise devant le bureau de Elizabeth, je me sens comme un de ses collègues. Cette grande pièce dont moi et Jonas mettons jamais un pied. Enfin ça arrive à mon frère, quand elle a des papiers à faire et qu'elle veut tout montrer à son fils. Son bureau est aussi grand que ma chambre, lumineuse et élégante que renvoie le bois de sa bibliothèque murale. Je m'installe sur le confortable fauteuil.

- J'espère que tu as une bonne explication d'être là.

Elle met en marche sa machine de café, évidemment qu'elle à ce genre de chose.

- Tu bois un café avant le repas ? j'interroge en la jugeant du regard.

- J'ai besoin d'énergie pour ce soir et... toi qui est là.

Je lève les yeux aux ciel.

- Je...

Jelena tu peux faire retour en en arrière.

Elizabeth insiste de la tête à cause de son manque d'impatience.

- Tu dois m'aider.

La bruit de la machine à café me met la pression quand elle s'arrête. Je fais des vas et des vient entre sa tasse chaude et le regard neutre de Maléfique. Après un long moment elle attrape sa boisson énergisante pour me supporter.

- Je pensais que j'étais plus ta mère.

- C'est toi qui voulait plus que je sois ta fille.

- Tu n'arriveras pas à avoir une conversation avec un adulte si tu es insolente comme ça.

Elle s'assoie sur sa chaise blanche, face à moi. Je me redresse.

- Je ne suis pas insolente, je dis juste les fais. Ce que je trouve insolant c'est que tu dise que c'est de ma faute. Tu regrettes tant ton erreur pour m'accuser et ne pas assumer, que toi, mère, tu ma renié en première ?

J'émets un sourire sur le coin de mes lèvres, sadique. Tandis que ses yeux de biche virent a la colère. Elle peut s'en prendre qu'à elle même.

- Tu as finis de lancer ton pique ?

Là je suis insolente.

- Dépêche-toi avant que je te fasse sortir.

- Le proviseur t'a sûrement dit que j'allais passer par le conseil de discipline.

Elle boit une gorgée de sa tasse en levant son petit doigt. Ensuite elle revient à moi avec ses yeux innocent et assassin en même temps.

- Il a été retenu que tu dégradais le matériel scolaire, en plus de ça refus d'obéissance, j'arrive pas à croire que le proviseur t'ai donné une sanction et que tu continues de persécuter d'autres élèves !

Je lèves un sourcil plein de doute.

- C'est tout ce qu'il a dit ?

Elle tape sur le bureau me faisant bondir en arrière.

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