[ EN RÉÉCRITURE]
À San Diego tout le monde connaît la magnifique famille Harrison. Une famille très riche, admirable, glorieuse, parfaite et dirigeant de plusieurs entreprises. Mais surtout, la société Harrison est le cœur qui fait vivre cette famil...
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Monsieur Carlos, que je surnomme « l'esclave de Elizabeth » me fait un debriefing sur la vie de madame Descartes. La mère de Zérah. Je l'ai surprise plusieurs fois à me suivre depuis notre conversation. Ce qu'elle ne sait pas c'est que je la fais suivre aussi cette folle.
De ce que j'apprends, elle est la plupart du temps seul car son mari se tape d'autre nana. Alors qu'il lui dit être au travail. J'imagine pas leur voyage d'affaire. J'ai quelques photos de son père au bar entrain de se taper des putes. Sur l'une des photos, je retrouve Chris entrain de serrer la main de son père. Mes sourcils se froncent, se demandant il y a quoi en commun pour que les deux soit photographié.
— C'est quoi le lien entre ses deux là ?
— Monsieur Descartes est un grand homme d'affaire dans l'Europe. Depuis deux ans votre mère a également planté des hôtels partout dans l'Europe. Cependant, elle a du mal à se démarquer donc votre beau-père c'en ai chargé.
Je grimace de dégoût quand il me parle de « mon beau-père ». Il ne sont même pas encore marié. Même si ils étaient, je ne l'appellerai jamais comme ça.
— Ne prononcez plus jamais ce mot de votre bouche, j'ajoute en rogne.
— Désolé mademoiselle Diaz.
— Bon. Autre chose de plus pépite ?
Monsieur Carlos survole des papiers jusqu'à retrouver ce qu'il veut.
— Les parents de Zérah ont payé les frais d'hôpitaux et autres dommages pour Madison. Ils ont également payer une bonne somme d'argent pour annuler le procès.
J'arque un sourcil, choqué et à la fois contente de cette information que j'ai pu avoir. Elle a vraiment échappé au tribunal cette conne.
— Autres info ?
Il regarde un peu partout, afin de vérifier qu'il y est personne de suspicieux. Nous sommes dans ma voiture, au milieu d'un parking d'un supermarché.
— Vous n'avez que dix-sept ans, vous pensez pouvoir agir contre des adultes féroces ?
Je plante mon regard dans le siens qui ne semble pas vraiment avoir peur.
— Ne me parlez plus comme une enfant de cinq ans, compris !
Il baisse la tête, pas très convaincu de ma méchanceté. Je le sens bizarre d'un coup, ses mains qui sont devenu moite. Je reste à l'observer, voyant qu'il devient nerveux.
— Vous détenez une information que vous m'aviez pas dit.
L'esclave de Elizabeth m'évite du regard.
— C'est comme ça que vous travaillez avec Elizabeth, je remarque méchamment. En ayant de la sueur sur le front.
— Vous n'êtes qu'une enfant, je ne peux rien vous dire.