[ EN RÉÉCRITURE]
À San Diego tout le monde connaît la magnifique famille Harrison. Une famille très riche, admirable, glorieuse, parfaite et dirigeant de plusieurs entreprises. Mais surtout, la société Harrison est le cœur qui fait vivre cette famil...
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Blake me dépose devant l'hôpital, les bruits on très vite fuité car les paparazzis sont déjà devant entrain de nous attendre.
Je vais devoir affronter ce groupe de zombies qui va m'étouffer. Leurs questions à la con juste pour me bousiller le cerveau. Ça c'est mal terminer la dernière fois avec les médias. Je veux pas que ça recommence. Ils sont les pires monstre, destructeur, à cause d'eux j'ai eu le titre de « celle qui a ruiné la réputation des Harrison ».
Angèle et Ophélia s'approchent dans ma direction aussi stressé que moi, à cause de la situation. Cela est due à un déjà-vu. Jelena la petite connasse qui a fait de la merde mais là je n'ai rien fais. Si c'était le cas je serai entrain de me réjouir sur mon trône de pétasse.
Nous traversons ce troupeaux de caméra, j'attrape le bras de Blake pour ne pas l'éloigner de nous. Les caméras braquées sur mon visage, les flash m'aveuglent. J'enlève mon gilet en fourrure pour me cacher. Je sens des bras me toucher, j'essaie de repousser ce connard qui pose ses mains sur moi. En levant la tête, Blake me pousse pour que j'avance même si nous sommes coincé et que les autres me harcèle pour savoir si j'ai mis je ne sais quoi dans le verre de champagne.
C'était ses mains sur ma peau... je préférai que ce soit lui plutôt qu'un connard.
On réussi à rentrer ensemble dans l'hôpital. Blake souffle content d'être sortie de là.
— Je pense que tu n'es pas obligé de m'accompagner.
Ce sont des histoires de famille, mes problèmes, je ne veux pas qu'il c'en mêle. Je ne veux pas qu'il sache ce que c'est le goût de vivre avec cette famille.
— Ils sont entrain de t'accuser d'avoir voulu empoisonner... ton beau père... c'est grave.
Mes oreilles saigne horriblement et j'ai vu qu'il a grimaçait en disant que Chris était mon beau-père.
— Voilà pourquoi dans un monde comme celui-ci, je peux faire confiance à personne.
Ses pupilles noisettes bloqué dans les miens en dit long. Il doit se poser des tas de questions sur moi, enfin plutôt entrain de me juger.
— Quoi ? Ça te choque que je me retrouve dans ce scandale ?
— Tu peux me faire confiance, dit-il sincère.
A ces dernières mots, aucun son ne sort de ma bouche, troublé par sa phrase. Puis j'émets un faux rire en contrôlant mes émotions qui n'arrête pas de me chambouler depuis le début de la soirée.
Je vais pas tenir longtemps, un moment ou un autre j'ai le cœur qui va peser très lourd.
— Tu as lancé une rumeur au lycée comme ce fils de chien il est entrain de faire, mais tu sais quoi ? Je ne t'en veux même pas parce que ce que tu m'as fais, ce n'est rien comparé à ce qu'il est entrain de faire au monde entier.
