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— Tu te rappelles quand j'ai commencé à faire des cauchemars ? Parce que je n'arrivais pas à m'y faire à ton absence et Elizabeth n'arrêtait pas de me gronder

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— Tu te rappelles quand j'ai commencé à faire des cauchemars ? Parce que je n'arrivais pas à m'y faire à ton absence et Elizabeth n'arrêtait pas de me gronder. Mes cauchemars aiment bien faire des mélanges entre toi et elle, je souffle en baissant la tête me sentant faible de revivre tous les cauchemars. J'ai recommencé et maintenant il y a pas que Elizabeth. Il y a les voix de tous cens gens.

Je dépose un beau bouquet de fleur sur la pierre tombale de Sophie. J'inspire profondément avant de continuer mon monologue.

— Je suis désolé, de ne pas avoir tenu notre promesse.

Josh et moi resterions meilleurs amis. Je lui avait promis...

Je regarde les autres fleurs posé à coté des mien. Ils sont récent donc des gens sont venue en déposer mais Ashley ne vient qu'à l'anniversaire de sa fille. Alors ce n'est pas elle.

— C'est peut-être lui. Il est revenu mais pourquoi... pourquoi il est pas venu me voir ?

Josh m'a promis une chose, de revenir. Ce n'est qu'une promesse de gamin, je le sais, et pourtant je n'ai jamais oublié cela. Il n'est pas curieux de retrouver les personnes qui ont été là pour lui quand il allait mal ? Il en garde pas de bon souvenir ? Il m'a oublié ? Son père m'a dit qu'il était de retour...

— Il peut-être passé à autre chose. C'est moi qui me fait du mal toute seule, encore.

Le froid du matin me gèle les doigts et je commence à trembler.

— Tu me manques toujours. J'ai toujours aussi mal que la première fois.

La première fois que j'ai appris ton absence.

Me sentant un peu mieux de l'avoir vu, je retourne à ma voiture. Pour un dimanche, je veux aller voir mamie Suzanne. Rien de mieux que voir une personne aussi douce que elle. Surtout pour retrouver du repos.

J'arrive chez Suzanne, je m'apprête à toquer mais la porte s'ouvre. Je tombe nez à nez avec elle.

— Oh ! Mais qu'est-ce que tu fais là ma petite Rebecca ?

J'ai à peine le temps de répondre qu'elle me prend dans ses bras. Elle me fait sourire et je réponds à son étreinte.

— Je voulais voir comme tu allais.

Elle se détache avec un magnifique sourire qui illumine carrément ma journée.

— Rentre ! Rentre ! J'allais marché mais vu que ma petite fille est là.

Je rentre dans son chalet accueillant, sentant son odeur. Je m'assis à sa table, dont un faux bouquet de marguerites est dans un vase. C'est vrai qu'elle aime beaucoup c'est fleurs. Elle s'assoie en face de moi difficilement.

— Comment tu vas ?

— Je vais bien et toi.

— Tu sais la vieillesse c'est difficile.

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