Lui Succomber (🔞) Terminé......

chapitre (45)

Qu'il est difficile. Marc Lavoine , Arthur H et cœur de pirate..

Non corrigé.

J'ai à peine attrapé le bras de Stéphanie, que Mireille m'interpelle.

-Laisse là partir Valentin! Elle n'est pas pour toi, continu-t-elle de sa voix dérailler suite à son rire explosif et moqueur.

J'ai soudainement envie de hurler, de la foutre hors de chez moi, mais je n'écoute qu'à moitié ses paroles qui volent à travers ma pièce. La seule chose que je désire c'est : plonger mes yeux dans ceux de Stéphanie pour lui indiquer que tout va bien.
Que notre conversation est loin d'être finie et surtout, retrouver ma zone de confort. En quelques mots : être simplement avec elle.

Bordel!  J'ai la trique. Mon cœur n'a jamais battu comme cela pour aucune des femmes rencontrées. Je désire tellement la toucher du bout des doigts et  les laisser courir sur son corps. Que cette relation soit sincère et sans faux-semblants. 

Je sais qu'entre nous, il y a quelque de spécial et d'incontrôlable. Je sais aussi que ma réaction est égoïste et sans espoir, mais je l'a veux entièrement même pour un cours instant.

Elle se crispe et se retourne.

- Reste avec moi, mime mes lèvres silencieusement.

Je regarde ses épaules se soulever et redescendre m'indiquant qu'elle est au bord des larmes. 
J'exerce une douce pression sur son avant-bras et mon autre main agrippe ma nuque nerveusement essayant de canaliser ma nervosité qui s’est installé dans mon fort intérieur.
Sans compter mon stresse qui augmente mes pulsations cardiaques. 
Mais surtout remettre de l'ordre dans mes pensées tout en attendant sa réponse.

Elle regarde au-dessus de mon épaule, baisse les yeux un cours instant, puis les relèves vers les miens.

- Valentin, on aura toujours quelqu'un qui va me rappeler le métier que tu fais et je ne veux pas vivre cacher.

Articule ses lèvres dans un grand silence.

Je fais non de la tête, je ne veux pas la perdre, elle est ma bouffée d'énergie, celle qui me ramène à la réalité.

-Tu me veux. Je le sais Stéphanie, tu n'as pas le droit de nous empêcher de vivre un moment intense.

-Et après ! Que va-t-il se passer ? Tu vas reprendre ton chemin. Ta vie et me laisser comme si de rien était. Non Valentin, je ne suis pas prête à...

D'un geste brusque, elle se libère de mon emprise, efface rapidement deux larmes qui s'écoulent de ses yeux puis ouvre la porte pour quitter mon appartement avec Prisca qui la suis de près. 

Non ! S'écrie mon âme, tu ne peux pas la laisser s'échapper encore une fois.

Alors comme un adolescent, je cours après un amour qui s'enfuit. Je l'attrape par la taille sous le regard de Prisca qui semble désolé pour moi.
J'entour ses hanches, l'attire vers moi pour coller son dos contre mon torse toujours libéré de sa chemise et enfouie mon visage dans ses cheveux, puis dans son cou, pour respirer sa peau, son parfum et murmurer des mots qu'elle n'entend pas.

Ma bouche la butine comme le ferai une abeille avec un nectar aphrodisiaque.
Je sais qu'il ne suffirait de pas grand-chose pour la faire changer d'avis. Mais la posture de son corps m'indique qu'elle ne cédera pas. Et que d'un seul claquement de doigts, tout va disparaître et s'arrêter là !

Bordel pourquoi je l'ai emmené chez-moi?  Pourquoi avoir craqué pour elle ?

A contre cœur, je l'a libère et sans un regard, elle appelle l'ascenseur.
Je caresse son amie à 4 pattes sur le dessus de la tête tout en lui demandant de bien surveiller sa maîtresse.