Cette histoire est la version non censuré de Lui succomber, elle est à l'état brute. C'est à dire sans transformation.
J'avais envie de vous la faire partager..
Bonne lecture..
Attention ! Langage crû, et certains chapitre sont déconseillé (🔞)...
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Chapitre explicite qui peut choquer certaines personnes..
Her: Union
Je laisse échapper un petit cri quand une légère douleur s'impose en moi, puis j'affiche en retour une expression ridicule sur mon visage en me rendant compte que je viens de perdre ma virginité. Mes lèvres s'étirent et son doigt caresse mes lèvres.
-Pourquoi ce sourire ?
-Je suis une femme maintenant , dis-je avec un brin d'humour.
-En effet.
Puis, réalisant son acte...
-Je ne t'ai pas fait mal ?
-Non..C'était... merveilleux.
je sens le rouge me monter aux joues, et réalise subitement pourquoi il est l'Escorte Boy numéro un de l'agence pour laquelle il travaille. Cet homme est envoûtant, sensuel et ses gestes sont si doux et attentionnés que ses clientes doivent toutes succomber pour lui. Comme une ancienne habitude, je fixe sa bouche.
-Très bien, nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses.
-Pourquoi, ce n'était pas sérieux ?Dis-je un légèrement surprise.
-Ceci, jeune fille, n'était qu'un amuse bouche, nous allons maintenant rentrer dans le plat de résistance...
-Et le dessert ? Réplique-je, légèrement provocatrice.
-Une chose à la fois petit ange.
Toujour placé entre mes cuisses, je le regarde se débarrasser de sa protection vide, et y faire un noeuf pour la remplacer par une autre.
Fixant ses gestes avec une certaine attention, je me rends subitement compte que Valentin n'a pas joui, il s'est contenté simplement de me donner du plaisir.
C'est alors qu'une question surgit dans mon cerveau, pendant qu'il s'allonge au-dessus de moi.
-Comment tu procèdes avec tes clientes ?
Il s'arrête dans son élan : bras en extensions de chaque côté de ma tête. Il m'observe un moment. Froncent les sourcils, pendant que dans son regard une multitude de réponses se bousculent plus ou moins sympathiques. Puis d'un air sombre, me répond.
-Je ne pense pas que cela soit vraiment le lieu et le moment pour discuter de ce que je fais avec mes clientes, répond Valentin, légèrement furieux.
-Si justement, je veux savoir Valentin.
Que voulez-vous, quand la bêtise rejoint la curiosité.
Ses yeux capturent les miens quelques instants puis, s'allonge à mes côtés et regarde le plafond tout en marmonnant des mots inintéligibles.
Je risque rapidement un regard vers lui et avale ma salive, en essayant de réfléchir à comment trouver les mots qui pourront récupérer mon manque de tact.
