Cette histoire est la version non censuré de Lui succomber, elle est à l'état brute. C'est à dire sans transformation.
J'avais envie de vous la faire partager..
Bonne lecture..
Attention ! Langage crû, et certains chapitre sont déconseillé (🔞)...
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Attention ! Chapitre pouvant choquer les âmes sensibles..pour les autres. BONNE LECTURE
Debout face à moi, à quelques centimètres, Stéphanie danse gracieusement. Son corps se balance d'un côté, puis de l'autre, tout en tenant le drap devant elle qui l'enveloppe entièrement.
Penché en avant, mes coudes sur mes genoux, et ma tête installée dans le creux de mes mains qui enveloppent mon visage, je la regarde fixement.
J'examine ses gestes, lents, qui suivent le rythme de la musique Fever. D'ailleurs, j'avoue qu'en retour, j'ai moi aussi de la fièvre.
D'une main, elle fait glisser un côté du drap qui me dévoile son épaule, alors qu'elle continue à faire tanguer son corps de droite à gauche, avec volupté. Stéphanie joue avec moi, comme une striptiseuse jouant avec un client qui a payé pour avoir un spectacle en privé. Elle me charme avec son regard, son corps, et ses gestes...
Rien est vulgaire, tout est d'une sensualité incroyable. À se demander où elle a bien pu apprendre les gestes de l'effeuillage.
J'attends, impatient qu'elle laisse tomber le drap à ses pieds, pour me dévoiler sa nudité. Et comme le dit une chanson : je suis tombé pour elle.
Des images de son corps allongé et dans des positions qui la ferait rougir, tourne en boucle dans ma tête. Des endroits tous aussi farfelus les uns que les autres. Mais la femme qui se trouve devant moi, en a décidé autrement, et devient subitement une petite allumeuse, qui me provoque de différentes manières.
De ses mains, elle noue le drap devant elle, le transformant subitement en Chiton. Ce vêtement en lin, parfois plissé et cintré à la taille, que portaient les femmes grecques.
Je vous promets qu'Aphrodite, déesse de l'amour et de la beauté, peut aller se rhabiller.
Elle continue ses mouvements souples, en se déhanchant tout en me fixant du regard. Avec attention, j'admire son petit manège.
Sourire aux lèvres, elle passe une jambe entre les deux pants du drap , puis, remonte un côté jusqu'à mi-cuisse.
La voilà, me provoquant en me faisant un clin d'oeil et en jouant les allumeuses. En retour, je me redresse, me mord la lèvre supérieure, puis passe mon bout de langue sur ma lèvre inférieure pour devenir ce pervers qui, regardant par un hublot d'un sexe-shop, la femme qui danse, lui donnant des envies de se masturber.
Subitement, ma queue prend de la place dans mon short et j'essaie tant bien que mal de la replacer correctement.
-Putain je suis à deux doigts de me caresser ma douce !
Plongeant ses yeux en moi, elle continue à remonter le drap jusqu'à la hauteur de son pubis.
-Danse...avec.... moi ! M'annonce Stéphanie de sa voix rauque, qui se propage dans tout mon être.
