Cette histoire est la version non censuré de Lui succomber, elle est à l'état brute. C'est à dire sans transformation.
J'avais envie de vous la faire partager..
Bonne lecture..
Attention ! Langage crû, et certains chapitre sont déconseillé (🔞)...
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Movement - Hozier.
Pdv :Stéphanie.
M'attirant dans le lit, je repense à ce week-end qui vient de passer, où nous nous sommes simplement levés pour manger.
Je tourne la tête vers cet homme qui me fait fondre, littéralement. Et j'avoue que je ne regrette pas d'avoir accepté de venir ici. J'ai des souvenirs gravé à tout jamais dans ma mémoire et je garderait au plus profond de moi cette passion et ce débordement d'amour que Valentin à partagé avec la simple femme que je suis.
Mais, rien est terminé, et surtout, avant de rentrer sur Paris, j'ai encore une semaine devant moi et je tiens en profiter au maximum.
Je caresse ses lèvres de mon index quand celui-ci est englouti d'un seul coup entre son sourire taquin. J'ai un léger cri de surprise puis affiche un sourir à mon tour.
-Bonjour ...vous ..!
Mon doigt est aspiré dans des succions suggestives, puis est relâché délicatement , tandis que je le fait glisser pour enfin le libérer de cette douce emprise matinal.
-Bonjour ma douce ! Bien dormi ?
-Mm ! Magiquement bien. Répondis-je en me blottisant dans ses bras.
Mon Escorte Boy m'enveloppe de tendresse, embrasse le haut de ma tête, me relâche pour s'assoir au bord du lit.
J'examine avec attention son dos, ses épaules, puis ses deux pommes d'amour bien rondes quand il se met debout.
-Tu as fini de reluquer mon cul ?!
Prise sur le fait, je lève les yeux vers son visage, tourné de mon côté où j'ai le droit à un de ses clins d'oeil malicieux.
Je tire la langue comme le ferait une gamine. En retour, il appose ses mains sur ses hanches puis se retourne complètement, me dévoilant son anatomie au garde à vous.
J'éclate de rire sans pouvoir me retenir et Valentin se jette sur moi, pour me donner la punition la plus agréable qu'une femme rêve d'avoir dès le matin.
Deux heures plus tard, je marche à ses côtés sur une plage, la mer vient de se retirer depuis quelques temps, alors que Valentin pousse devant lui un char à voile.
Il paraît que le char est à la porté de tous les âges. Qu'un enfant de sept ans, comme un sexagénaire peut pratiquer ce sport sans risque de se blesser.
Pour ma part, ma méfiance me fait douter sur la facilité de son utilisation. Mais comme à mon habitude, j'ai un très bon professeur qui sera me guider à la perfection.
-Ça va ? Tu me paraît un peu tendue.
Tout en avançant sur le sable humide, qui se marque de nos empreintes, je tourne mon visage vers lui.
