Cette histoire est la version non censuré de Lui succomber, elle est à l'état brute. C'est à dire sans transformation.
J'avais envie de vous la faire partager..
Bonne lecture..
Attention ! Langage crû, et certains chapitre sont déconseillé (🔞)...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Attention ! Ce chapitre peut choquer certaines personnes sensibles.
Son sexe dur dans ma bouche, je me mets enfin à faire des vas et viens réguliers tout en veillant à ne pas y mettre mes dents et de bien l'entourer avec mes lèvres.
Axelle serait fière de moi. Car oui, j'étais entrain de faire ma toute première fellation !
Pourquoi pensait-je à Axelle dans cet instant ?
Peut-être parce qu'avec ce qu'elle vivait avec son amant en ce moment, cela m'inquiétait, alors que de mon côté, pour l'instant, je vivais ma première grande histoire d'amour sincère et passionnée.
La main de Valentin se pose délicatement sur ma tête, me faisant redescendre sur ce que je faisais avec une attention toute particulière et guide mes gestes.
Par quelques caresses sur mes cheveux, il m'encourage à le sucer comme il le désire. Sa main, douce et attentionnée, m'aide à garder le tempo pour lui donner du plaisir et à bien m'occuper de lui.
Certes, je ne sais pas d'avance comment cela va se terminer, mais je me devais, impérativement, de lui faire prendre du plaisir et surtout de le faire jouir comme il me l'avait fait peu de temps auparavant.
Était-il excité par la situation ?
La réponse est oui, surtout quand ses hanches se lèvent, au rythme de ma bouche engloutissant son falus jusqu'au fond de ma gorge.
Valentin savait que j'étais débutante, que tout était une première fois. Ce qui, je pense, devait en augmenter son plaisir.
Lui, le gentleman de ses dames, l'Escorte Boy au milles et unes manières, toutes aussi parfaites que les autres.
Pas un geste de travers, pas un mot de trop. Valentin était l'homme que beaucoup de femmes auraient aimées avoir dans son lit, voir même à son bras... Mais j'étais l'heureuse chanceuse, celle avec qui il partageait ce moment unique et parfait.
Mes gestes augmentaient de cadence, aspirant son gland par la même occasion, alors que ses gémissements de plaisir envahissent la chambre.
Notre passion, notre amour, ce partage que l'on vivait ici, allait rester gravé entre ces 4 murs, et où aucuns secrets n'allaient être dévoilés.
Au diable ses femmes qui aimaient partager des moments intimes avec lui.
Au diable sa patronne qui n'apprécierait certainement pas de savoir ce qu'il se passe dans ce lit.
Et surtout, au diable aussi tout les préjugés que je pouvais avoir sur ce métier et sur lui.
Valentin était là, avec moi, et je l'aimais comme il le mérite. La dernière phrase percute dans mon esprit.
