Lui Succomber (🔞) Terminé......

chapitre (42)

Attention ! Les paroles de la  chansons qui vont suivres peuvent choquer les plus jeunes...

Sur ce ..bonne lecture..

Chapitre non corrigé.

Installé dans ma Camaro,  j'attends que le feu passe au vert pour pouvoir me diriger vers mon lieu de rendez-vous. 
Aujourd'hui, c'est un anniversaire dans les beaux quartiers du 16 ème;  avec une femme qui désire être accompagnée pour épater la galerie..

Ma clef Usb branchée, j'écoute Serge Gainsbourg avec en font sonore les plaintes de suffocation de Jane Birkin.

Quand je pense qu'une première version de " je t'aime moi non plus " avait été interdite aux moins de 21 ans sur les grande ondes à cause
des gémissements. Il faut dire qu'à cette époque ils avaient provoqué un scandale et une indignation, en particulier dans les pays où la religion était fortement ancrée :  comme l'Italie et l'Espagne où la chanson avait carrément été boycottée.

Je ferme un bref instant les yeux imaginant celle qui envahissait mes pensées depuis plus de 4 semaines,  allongée, sa bouche entrouverte et ses ongles enfoncés dans ma peau sous mes coups de reins répétés.  C'était ses plaintes de plaisir que j'entendais et non ceux de Jane Birkin.

Puis suit la chanson de  :" love on The beat", et j'augmente le sons pour me  laisser posséder par les paroles subjectives ou cette fois c'est les cris de plaisir qui envahissent l'habitacle.

D´abord je veux avec ma langue
Natale deviner tes pensées
Mais toi déjà déjà tu tangues
Aux flux et reflux des marées

Je pense à toi en tant que cible
Ma belle enfant écartelée
Là j´ai touché le point sensible
Attends je vais m´y attarder

Il est temps de passer aux choses
Sérieuses ma poupée jolie
Tu as envie d´une overdose
De baise voilà je m´introduis

J´aime assez tes miaou miaou
Griffes dehors moi dents dedans
Ta nuque voir de ton joli cou
Comme un rubis perler le sang

Plus tu cries plus profond j´irai
Dans tes sables émouvants sables
Où m´enlisant je te dirai
Les mots les plus abominables

Brûlants sont tous tes orifices
Des trois que les dieux t´ont donnés
Je décide dans le moins lisse
D´achever de m´abandonner

Une décharge de six mille volts
Vient de gicler de mon pylône
Et nos reins alors se révoltent
D´un coup d´épilepsie synchrone.

J'ouvre les yeux, et subitement, je tourne la tête sur ma droite apercevant dans ma vision un chien de couleur marron assis sur son train arrière attendant sagement l'ordre de sa maîtresse.

C'est Stéphanie, il n'y a pas de doute. Habillée dans un jeans bleue et d'un petit chemisier blanc elle me donne l'effet d'une jeune étudiante. Elle porte une queue de cheval haute et des balerines au pied et  elle semble heureuse. Mon regard glisse sur sa sylouhaite comme j'aimerais le faire avec mes mains, ma bouche et bien d'autres choses encore.

Nos yeux se croisent, et son joli sourire affiché sur son visage s'efface aussi rapidement qu'il est apparu. J'ouvre alors la portière, mais le feu passe au vert et les automobilistes derrière moi m'indiquent leurs impatiences.

Furieux de la voir s'échapper en traînant à sa suite Prisca, j'avance pour me stationner un peu plus loin et me lance à sa poursuite. Même si je sais qu'elle ne m'entend pas, je hurle son nom comme une plainte.