Cette histoire est la version non censuré de Lui succomber, elle est à l'état brute. C'est à dire sans transformation.
J'avais envie de vous la faire partager..
Bonne lecture..
Attention ! Langage crû, et certains chapitre sont déconseillé (🔞)...
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Valentin pdv.
Je laisse Stéphanie prendre sa douche et se faire belle. Ce soir, ça va être une nouvelle découverte avec beaucoup de sensations fortes : le Casino est un lieu grisant.
Mais pour l'instant, j'ai besoin de régler quelques comptes, et assis dans ma Camaro, j'ouvre ma boîte à gants pour y récupérer mon téléphone professionnel. Dix appels en absence, et un message vocal, tous de la même personne : Mireille.
En effet je n'ai pas rêvé, c'est bien Boris que j'ai vue aujourd'hui et qui a essayer de nous faire peur, voir même plus. Sans écouter le répondeur. J'appuis sur la touche rappeler votre correspondant et attend que la connection se fasse.
Pas besoin de patienter longtemps, quand mon numéro s'affiche sur l'écran de Mireille, sa voix retentit quelques secondes plus tard. Mais je ne lui laisse pas le temps de parler.
-À quoi tu joues Mireille?
-Bonjour Valentin, me répond sa voix moqueuse et légèrement mielleuse, -J'espère que tu vas bien mon chou?
J'inspire essayant de garder mon calme.
-Qu'est-ce que fous Borise à Cabourg ?
Je sens qu'à son inspiration, un sourire s'affiche sur ses lèvres, mais j'essaie de pas en tenir compte.
-Tu m'avais dit que tu partais en vacances mon chou, mais pas avec cette fille. Et pourtant, Valentin je...
Je ne la laisse pas continuer et lui coupe la parole.
-Et moi je t'ai déjà dit que ceci est ma vie privée.
Un rire sonore retentit à mes oreilles, un de ces rires qui pourrait vous glacer le sang.
-Et moi, je t'ai dit que tu m'appartenait, je dispose de toi à ma convenance. Et si je te dis que tu n'as rien à faire avec cette fille, c'est que...
-Mais putain ! Tu vas me faire chier longtemps comme ça !?
Un cri de surprise retentit à l'autre bout du fil, et je sais que j'ai poussé peut-être un peu trop loin le bouchon.
-Écoute moi bien Valentin ! À ce petit jeu de la loi du plus fort, tu es perdant.
D'un geste nerveux, je passe ma main dans mes cheveux et lève les yeux vers la pièce qui vient de s'éclairer où apparaît la silhouette de Stéphanie.
-Expliques-toi !
-Je t'ai perdu Valentin, ça je le sais. Mais elle ne t'aura pas non plus. Alors reprends tes esprits. Ou je m'en charge, et cela séance tenante.
Je ferme les yeux un instant, contracte ma mâchoire et resserre entre mes doigts mon téléphone puis j'inspire un grand coup.
-Mireille, j'ai besoin d'air. Répondis-je le plus calmement possible.
