Le Mari De Ma Sœur

16 : J'ai besoin de toi.

Pdv : Djamila

Binta : Djamila ouvre moi cette porte, je dois t'aider à prendre ton bain.

Je fais la sourde et ne lui ouvre pas la porte de la salle de bain.

Elle : Je t'en pris ouvre moi .

Moi : VA T'EN DE CHEZ MOI !

Elle : Je vais devoir appeler ta belle mère .

Moi : FAIS CE QUE TU VEUX JE M'EN FOU !

J'entends des pas . Ma tante a du descendre les escaliers.

Quelques minutes plus tard la porte s'ouvre. Pourtant je l'ai fermé à clé. Hamed apparaît dans la salle de bain. Il avait un tee-shirt blanc et un bas de legging noir.

Il me prend par le bras sans me regarder et va ouvrir le robinet de la baignoire.

Moi : Hamed ?

Il ne me répond pas et continue de faire ce qu'il faisait.

Lui : Vient !

Je m'avance vers lui. Il commence a me déshabiller doucement et lentement. Je le regarde mais il évite toujours mon regard.

Ça fait 1 mois  que je ne vois pratiquement plus mon mari. Depuis ma sortie de l'hôpital il n'est venu que rarement voir comment j'allais. Ça me brise le cœur.

Lorsqu'il m'a complètement enlever mes vêtements il m'aide a m'installer dans la baignoire. Il met du salon liquide corporel au parfum de fleur dans l'eau et me nettoie le corps.
Son touché m'avait manqué. Je me cambre sous l'eau.
Il passe par mon cou et descends vers ma poitrine. Il l'effleure doucement ce qui me soutir un léger gémissements. Il continua de me nettoie tout mon cœur mais ça ressemblait plutôt a des caresses sensuel.

Moi : Ha... Hamed... Ma voix n'était plus qu'un simple murmure. J'avais très envie de lui.

Il m'ignores et continue ce qu'il faisait. Ses mains se sont baladé vers mon intimité et caresse mon point sensible. Je me mords la lèvre inférieure. J'attrape Hamed par le cou et l'embrassa sauvagement.

Moi : Fait moi l'amour. Je lui souffle entre nos lèvres .
Il ne répond pas a mon baisé.

Moi : Je t'en pris .

Je lui mord la lèvre inférieure et il commence a me dévorer les lèvres. J'en avais tellement envie. Ça fait plus d'un mois qu'il ne me touche plus. À croire qu'il me fuit comme la peste.

Hamed : Djamila arrête .

Je continue. Après tout je suis sa femme et il a le devoir de me satisfaire.
Il me demande d'arrêter mais je sais qu'il en a envie. Rien que de sentir une bosse se former dans son pantalon me rend toute fière. Il en a envie lui aussi.

Il me caresse avec plus de fougue et d'amour. Mais lorsqu'il arriva a mon ventre et me pousse et se lève le te-shirt mouillé.

Lui : ARRÊTE J'AI DIS !

Moi : Pourquoi tu me cris dessus ? Tu ne m'aimes plus c'est ça ? Tu as une maîtresse dehors ? Répond moi Hamed tu me trompes ?

Lui : Mais t'es complètement folle ou quoi ? jamais je ne pourrai te trahir !

Moi : Alors c'est quoi le problème ?

Il regarde mon ventre et je réalise ce que je suis entrain de faire. Je lui fais du mal.

Moi : Hamed ?

Lui : La vérité est que j'en ai marre. Marre de t'entendre pleurer la nuit. Je souffre tu comprends ça ? Je m'en veux tellement de n'avoir pas pus prendre soin de toi. Maintenant on a perdu notre premier enfant et c'est de ma faute.

Moi : Non ce n'est pas de ta faute et  on pourra en avoir d'autre .

Lui : je sais mais ils ne pourront jamais remplacer le premier.

Il se dirige vers la porte.

Moi : Hamed attend .

Lui : Non Djamila , j'ai besoin d'être seul.

Je réalise que perdre notre enfant lui a fait plus de mal qu'a moi. Mais moi aussi je souffre. J'ai besoin de lui.

Moi : Mon amour je sais que ce n'est pas facile pour toi ce qui c'est passé mais ne m'abandonne pas. J'ai besoin de toi pour surmonter cette souffrance.

Il retourne la tête et me regarde avec une tristesse sans égal puis sort.

Je pleure toutes les larmes de mon cœur. J'ai tellement besoin de lui ...