Le Mari De Ma Sœur

74 : Renouveau

1 ans plus tard

Ycha

Après les cours je rentre a la maison.

Moi : Issa où sont les jumeaux ?

Lui : Ils ne sont pas encore revenu je vais les chercher a leur école tout de suite

Moi : Non laisse je vais y aller comme ça je profiterai pour acheter des cadeaux a Malika c'est son anniversaire aujourd'hui.

Lui : Bien.

Je prend les clés de ma voiture et direction l'école des jumeaux.

J'arrive il était 14h passé.
La plus parts des élèves étaient déjà rentré chez eux.

Je gars ma voiture et entre dans l'école.
Les classes étaient fermé. Je marchais sur le pavé et a un moment j'aperçois une femme donné des coups a deux jeunes enfants.
Je regarde plus près et vois qu'elle était entrain de taper mes bébés.

PUTAIN !

J'ai jeté mon sac et je me suis précipitée sur elle.
Je l'ai poussé elle tombe par terre.

Elle : Mais ça ne va pas la tête ?

Mes bébés étaient a genoux avec les mains attachées derrière la tête.

Je me retourne vers la femme

Moi : JE VAIS VOUS TUER!!!!

Je me jette sur elle et commence a la frapper de toute mes forces.

Elle : Ahhh au secours...

Moi : PERSONNE NE TOUCHE MES BÉBÉS !!!! Salle idiote

Je continue de lui donner des coups j'étais comme une lionne.

Les jumeaux me demandait d'arrêter mais je n'écoutais rien. Je ne pouvais pas accepter qu'on leurs fasse du mal.
J'étais comme possédée. Soudain je sens qu'on me soulève.

Moi : LACHEZ MOI JE VAIS LA BUTER !!!!

2 Hommes réussirent a me maîtriser. Je vois la pétasse se levée et aller derrière le proviseur de l'école.

Elle : Mr cette jeune femme m'a ... Agressé pour aucune raison. Elle doit payer

Elle m'énerve !

Moi : Pour rien vous dites ? Imbécile je vous trouve entrain de malmener mes enfants et vous raconter du n'importe quoi ?

Elle : Ah c'est toi la mère de ces délinquants ? Je vois d'où ils tiennent leurs caractères de sauvage. Tel mère tel fils

Je me détache des hommes et cours vers elle. Je la prend par ses faux cheveux là et lui fou une gifle. Je lui donne des coups de pied et tout. Elle essaie de se defendre mais malheureusement pour elle je ne sentais pas ses coups. J'avais le démon en moi j'étais plus que furax je voulais juste lui faire du mal .

On nous sépare encore. Elle avait le nez péter et moi ma lèvre inférieure était fendu

Mr le proviseur : Calmez vous ! Voyez le mauvais exemple que vous donnez aux enfant.