60 : PUTAIN DE MERDE!

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Ycha

Hamed commença a me caresser le dos humide. Ses baisés dans mon cou étaient juste délicieuse.

Moi : Hamed je...

Lui : Tu sens très bon

Moi : Merci

Il se détache de moi et va ouvrir le dressing de Djamila. C'était la première fois qu'il touchait a ses affaires depuis sa mort. Il en sort une très belle robe noire avec des motifs rouge , des escarpins rouge et une pochette grise.

Lui : Je crois que c'est a ta taille.

Moi : Mais ce sont les affaires de Djamila

Lui : Je sais . C'est moi qui lui avait acheté pour notre anniversaire de mariage mais hélas elle ne le porteras jamais.

Il sort de la chambre avec le visage triste.

Je porte la robe et descend le trouver en bas. Il était au salon avec les jumeaux.

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Hamed

Quand mes yeux se sont posé sur elle se fut l'explosion d'un sentiment que je ne peux expliquer. Certe elle était belle mais y'avais un truc en plus chez elle.

Moi : C'est quoi ça ?

Ycha : J'ai fini!

Mais non! Elle portait la robe mais avec un grand voile qui lui cachait le visage. En plus elle ne c'était même pas maquiller.

Moi : Vient avec moi !

Je lui prend la main et monte dans sa chambre. Je l'installe devant la coiffeuse et enlève son voile. Ses cheveux étaient attachés en chinon mal coiffé.

Elle : Hamed je peux le faire toute seule!

Je ne l'écoutait pas.

Je prend un peigne a cheveux et  démêle sa chevelure. Je prend un ciseaux et enlève son bandage. Sa blessure commençait a cicatriser mais c'était encore visible.

Je prend un fer a lisser et commence a lui lisser les cheveux.

Elle me regardait a travers le miroir et j'aimais ça.

Elle : Je ne savais pas que tu savais faire autant de choses.

Moi : A la mort de mon père c'est moi qui m'occupais de ma mère. Je lui faisais même sa lessive et repassait ses vêtements.

Elle : Mais vous aviez des domestiques pour le faire non ?

Moi : Je préférais le faire moi même et en plus Je peignais les cheveux de Djamila toute les nuits.

Elle : Elle t'aimais

Moi : Moi aussi

Une fois fini le résultat était parfait. On ne voyait plus la cicatrice et elle était plus belle.

Le Mari De Ma SœurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant