Le Mari De Ma Sœur

65 : Hé djaaa

Madi

Je cours a toute vitesse m'enfermer dans la salle de bain.

Hakim : OUVRE TOUTE SUITE CETTE MAUDITE PORTE ! JE VAIS T'ENCULER !!!

Moi : Je ... Je suis désolée Hakim. Excuse moi ...

Lui : NON ! TU NE VAS PAS T'EN SORTIR COMME ÇA !

Il donnait de violent coup a la porte. Je me cache derrière le lavabo en pleurant comme une mongole. J'avais très peur.

Dans un fracas la porte s'ouvre. Hakim apparaît dans la salle de bain le visage serré. Je tremble comme une feuille.

Lui : Où es tu ma chérie ? Vient là je ne te ferais aucun mal.

Il va regarder dans la baignoire et j'en profite pour essayer de m'enfuie.

Lui : Ah te voilà !

Il m'attrape par mes longues mèches brésiliennes. Ça fait un mal de chien.

Lui : Alors comme ça tu te permets de fouiller dans mon téléphone et d'effacer toutes les photos de ma copine ?!

Moi : Elle n'est plus ta copine. Moi je suis ta future femme.

Bamm je reçois une claque dans la face.

Lui : QUAND JE PARLE TU TE TAIS !!!!

Il tire encore plus mes cheveux. Je pleure en le suppliant de me laisser tranquille.

Moi : Hakim ... Je t'en... Supplit laisse moi partir. Tu me fais mal. Je suis désolée , jamais je n'aurai dû effacer les photos d'Ycha qui étaient dans ton téléphone. Excuse moi.

J'avais espoir qu'il me laisse tranquille mais non. A la place il ouvre le Robinet jusqu'à ce que la baignoire soit pleine.

Lui : Des excuses ne suffise pas !

Il a un sourire diabolique en coin. Il me fait peur.

Il me tire les cheveux en m'entrainant avec lui jusqu'à la baignoire.

Là il me prend par derrière et plonge ma tête sous l'eau.

Je n'arrivais plus à respirer. Je me débats de toute mes forces.
Quelques secondes après il retire ma tête.
J'essaie de reprendre mon souffle.

Lui : Sache que tu ne pourras jamais contrôler ma vie!

Moi : Hakim ... Je ...

Je ne termine pas ma phrase qu'il replonge ma tête sous l'eau.
Il la retire

Lui : Je pense a qui je veux! Tu n'as absolument pas le droit de fouiller dans mes affaires.

Il re replonge ma tête sous l'eau. Je sentais l'odeur de la mort. J'en pouvais plus. J'avais les poumons en feu.

La scène dura encore plusieurs minutes voir des heures. J'avais perdu la notion du temps.