Le Mari De Ma Sœur

22 : Ma sœur

Pdv : Djamila

Hier nuit je n'ai pas pus dormir. J'étais malheureuse avec le décès de mon père mais aussi très contente d'avoir pus retrouver ma petite sœur. Hier a leur arrivé elle s'était endormi directe.

Aujourd'hui on était un samedi. Après ma prière du matin je suis descendu a la cuisine pour préparer le petit déjeuner. Une fois terminé je monte a l'étage pour aller réveillés Aïcha. Il était 6h du matin. A mon entré je la retrouve assise sur le lit en regardant autour d'elle. Mon cœur se serre. Elle a tellement changé. Son joli teint caramel s'est charbonnier et elle ressemble a un cadavre vivant. Elle a une plaie a la tête qui semble beaucoup lui faire souffrir. Et dire que tout ses malheur sont a cause de moi. Si je ne m'étais pas enfuit jamais notre mère ne serai morte et elle n'aurai jamais été élevé par notre méchante marâtre.

Moi : Bonjour Aïcha ça va ?

Elle me regarde un instant avant de dire :

Elle : Alhamdoulillah et vous ?

Moi : Je vais bien aussi. Comment tu trouves ta chambre ?

Elle : Très belle et trop grande pour moi.

Moi : Ce n'est pas grave tu pourras faire tes propres décorations plus tard.

Elle : Je vais vraiment habité ici ?

Son regard est rempli de larmes je ne sais pas ce que ça veut dire. Peut être qu'elle ne veut pas vivre avec moi.

Moi : Euh... Vient je vais te donner un bain.

Elle se lève et je l'emmène dans sa salle de bain.

Là je la déshabille.

Moi : Ahhhhhhhhhhhhh. Je cris.
Qu'est ce qui t'es arrivé ? C'est quoi toute ces cicatrices et ces blessures.

Elle : Ce n'est rien du tout.

Elle se précipita hors de la salle pour se rehabiller.

Je la suis.

Moi : AÏCHA RÉPOND MOI IMMÉDIATEMENT !!! Je ne pouvais pas cacher ma colère et mon inquiétude.

Elle commença a pleurer a chaude larme.

Elle : Toi... Au...aussi tu vas me frapper ?

Mon cœur s'attendrit et je m'approche d'elle calmement.

Moi : Mais non ma belle je ne vais rien te faire. Je veux juste savoir ce qui s'est passé.

Je lui caresse sa tête où se trouve des cheveux mal entretenu.

Elle : C'est... C'est Aÿgnah ( Ma marâtre ) qui me punissait.

Moi : QUOI ?

Elle sursaute de peur. Il faut vraiment que je me calme.

Moi : Je suis désolée viens.

Je lui donne un bon bain moussant en lui frottant bien le corps tout en évitant ses blessures.

Je lui donne une robe rouge bordeaux et on descend petit déjeuner.

Après avoir fini de manger elle s'installe devant la télévision. Je monte dans ma chambre et me prépare pour aller au bureau. Je m'apprêtais à sortir.

Moi : Aïcha je vais a mon travail, reste tranquille si tu as besoin de quelques choses dit le a Madeleine ( La bonne ).

Elle : D'accord tantie.

Je crois qu'elle ne m'a toujours pas reconnu.

Moi : Sois sage je reviendrai tout a l'heur ok ?

Elle : Ok ! Que Dieu vous protège.