Panique Au Sénégal: La Résistance

Chapitre 1

Au Mali,

La présence terroriste s'est accentuée au Mali. Leurs militaires n'arrivent plus à contenir cette propagation du terrorisme. Un bon jour, une grosse attaque s'enregistre à la capitale. Le chef des terroristes, Manir, déploie avec ses hommes au bord du palais présidentiel pour tuer le président Malien. La panique des gens à côté fut la première chose qui alerte les gardes rouges. Ces derniers se mettent aussitôt en position de défense et ceux qui sont à l'intérieur rejoignent ceux de l'extérieur.

Le milieu est rapidement décanillé par les habitants sans qu'on ne les enjoigne. Les terroristes assiègent sans ambages les gardes rouges. Leur premier avantage face à cette belligérance est leur supériorité numérique par rapport aux premiers bastions du président. Ils bravent avec de puissantes armes et rétrécissent de plus en plus les cordeaux de défense des gardes rouges. La plus proche armée malienne déboule dans le colinot et prennent le relève dans ce glacis malienne. Les militaires parviennent aux premiers moments à déstabiliser les saillies de l'ennemi mais sont vite subjugués grâce aux lourdes armes canardées sur leurs plus grands blindés par le chefaillon des terroristes.

Ils réussissent à compénétrer de force dans le palais et culbutent tout sur leurs cavalcades. Certains soldats de l'armée malienne leurs ont déjà primé et se positionnent autour du président. Ce dernier fut dérouillé par le bruit des armes. Il n'a même pas eu le temps de s'extirper de son pyjama dès que ces soldats l'évincent de son alcôve. Il confond son portable par son peigne grâce aux aversions qui immiscent son cœur. Ses pieds n'arrivent plus à bouger et il est obligé d'être tenu par les soldats pour quitter la piaule. Un hélicoptère atterrit derrière le palais pour l'extirper. Malheureusement, Manir et ses hommes arrivent à l'aveindre. Le chef des terroristes culbute directement l'hélicoptère avec un bazooka qui le lamine en fragments et extermine tous ceux qui sont aux alentours du président.

Le président se trouve ainsi seul quand soudain un de ses soldats se perle avec un lourd mitrailleur et tiraille sur l'ennemi puis touche l'un d'eux mais il se festoie une balle directement dans la tête. Manir ordonne à ses hommes de métriser le président. Ils l'attachent par derrière avec des fers et l'un d'eux le frappe d'un coup sec à la tête pour l'obliger à arrêter de se débattre. Ils campent une caméra devant le président et Manir se positionne devant celle-ci pour être filmer avec lui afin de lancer un message qui va concerner le monde entier. Dès que l'appareil est allumé, il prononce ces mots:

-Ce monde est entouré de lâches, de vaux riens, de malades. Vous nous avez longtemps ignorés, longtemps opprimés. Vous avez toujours été au dessus en nous imposant vos lois misérables. Il est temps de faire un changement. C'est l'heure pour nous de prendre le dessus afin de faire un monde meilleur et quiconque qui ose s'interposer à notre chemin va amèrement le regretter.

Il pointe une arme devant la tête du président et ajoute ceci:

-Que ce message sert de leçons à tous ceux qui voudront adopter la résistance.

Ainsi, il appuie sur la détente et tire sur le président qui meurt sur le coup.

Au Sénégal,

À Keur Massar,

Moustapha est entrain de faire du sport. Il court tout au long de la route de Keur Massar. Arrivé chez lui, il prend un morceau de serviette pour s'essuyer le visage. La maison est calme. Sa maman qui regarde la télé lui dit:

-Eh Moustapha, ne gaspille pas les sucres.
-D'accord Maman ! Répond Moustapha.

Sa maman regarde le journal et voit une information qui la terrifie. Elle appelle vite Moustapha pour qu'il regarde lui aussi l'information. Le journal montre des scènes après l'attaque au palais présidentiel du Mali en postulant des cadavres jonchés sur le sol, des voitures détruits, des murs du palais écrasés et annonce que le président Malien a été tué à cet attaque terroriste.
La maman pris de Panique s'écrie :