Quelques jours ont passé après la réception des trois milliards de FCFA envoyés par la France. Quelques soldats affirment n’avoir rien vu de cet argent et peu d’armes et de voitures leur sont données. Le ministre des forces armées affirment dans un communiqué d’avoir distribuer convenablement aux soldats ce que les français leur ont donné. D’autres parmi le gouvernement disent dans des plateaux de télévisions que ces trois milliards de FCFA ne servent qu’à renforcer les secteurs faibles. Il est énorme quand on l’entend mais trois milliards n’est rien dans le milieu où on le dépense.
À Tambacounda,
La DIC et la base militaire se trouvant tous les deux à Tambacounda ont réussi à s’associer. Ils prévoient un plan d’attaque dirigé par le général de cette armée et le colonel de la DIC. La mission devient secrète sous la demande de ce dernier. Le jour tant attendu pour les militaires et les agents de la DIC d’aller affronter les terroristes arriva.
Un centre d’émission électromagnétique contrôlé par des ingénieurs de l’armée montre la position de chaque terroriste dans le camp. Un drone envoie les données du plan de la base terroriste au centre de commandement. Cette base est équipée de beaucoup d’armes mais aussi des technologies ultra sophistiquées. C’est un terrain assez large composé de grands bâtiments carrés et quelques lieux d’entraînements. Il se trouve à un lieu assez éloigné de la population. Après un grand parcours par voiture, les soldats descendent de leurs véhicules à un kilomètre du camp et décident de mener la mission en mode guérilla.
Ils avancent lentement en se regroupant et de se positionner à chaque fois derrière des murs, des arbres et des grosses pierres se trouvant sur la route. Un guetteur vers le haut d’un tour utilise son jumelle pour surveiller les alentours. Le commandant de la DIC l’aperçoit et demande aux soldats d’éviter de se faire repérer. Des qu’ils s’approchent de plus près, l’un des caporals des militaires tirent sur le guetteur et ils réussissent tous à entrer après avoir faire un trou sur le mur se trouvant devant eux. Un soldat terroriste avance en se dirigeant vers le mûr juste où se trouvent les soldats sénégalais.
Lorsqu’il est de plus près, le lieutenant de l’armée lui saute dessus et le poignarde. Ils continuent à avancer jusqu’à une chambre et par un geste rapide, attaquent tous les soldats terroristes qui s'y trouvaient. L’un de ces derniers qui était perché un peu plus loin déclenche l’alarme avant de se faire tirer dessus.
Leur commandant reçoit l’information et prend vite son arme puis envoie tous ses hommes à aller combattre ces soldats sénégalais et lance un appel à Manir pour lui informer de leur situation. Les échanges de tirs s’intensifient de tous les cotés. Un des soldats sénégalais fut touché à l’œil. Leur lieutenant le pousse et le met à l’abri des balles.
Un des terroristes tire un lance roquette sur la position des sénégalais embrouillant ainsi leur couverture et blesse quelques uns d’eux. Les grenades pleuvotent partout dans leurs emplacements et leur obligent de changer de position avant d’avoir encore plus de blessés. Les terroristes sortent un de leurs blindés et avancent avec vers les soldats sénégalais en tirant à chaque pas. Le lieutenant s’écrie: « Détruisez-moi ce blindé. »
Un des soldats sort son bazooka et tire deux fois sur le tank qui s’immobilise. Les soldats terroristes deviennent de plus en plus agités et avancent de nouveaux. Le lieutenant s’écrie de nouveaux : « Ne restons pas là, il faut avancer. » L’un des sergents se dit : « Voilà ce qu’on dit, aucun plan de guerre ne survit dans un affrontement. » Les échanges de tirs continuent et deviennent de plus en plus intenses. Le commandant de la DIC réussit à toucher trois soldats terroristes. Après qu’ils aient avancé, un autre soldat sénégalais fut touché dans son coté droit et commence à perdre beaucoup de sangs. Au moment où ses camarades le mettent à l’abri, ils reçoivent une grenade qui les projette un peu plus loin et tue l’un d’eux sur le champ.
Le lieutenant tire avec une lance roquette sur quelques barrages des terroristes et réussit à toucher quelques uns. Le commandant de la DIC et quelques autres soldats de l’armée réussissent à avancer malgré les nombreux tirs qui s’abattent sur eux. Dans un bon angle de tir, l’un des sergents réussit à toucher trois soldats qui étaient à coté du commandant des terroristes. Un autre blindé fut sorti par ces derniers. Le sergent se faufile jusqu’au blindé et pose une bombe au dessous puis s’éloigne après avoir reçu une balle dans la jambe droite et une autre dans le dos. Le blindé s’explose remportant avec lui beaucoup de soldats terroristes.
Les soldats sénégalais réussissent à avancer jusqu’à la salle du commandant mais sont accueillies par des tirs de lourdes mitrailleurs à la porte. Le commandant de la DIC lance une grenade sur le tireur qui essaye de le renvoyer mais y perd son bras dans l’explosion.
Il ne reste plus que le commandant des terroristes et les soldats sénégalais encore debout. Le lieutenant le frappe d’un coup de poing violant qui le fait tomber par terre et sort en même temps une arme qu’il avait caché dans son gilet. Il se retourne vite pour tirer sur le lieutenant mais le commandant de la DIC saute sur lui à temps et lui casse le bras puis ramasse son arme. Quelques autres soldats terroristes arrivent en renfort mais sont vite anéantis sous des coups de mitrailleurs. Ils sortent du camp avec le commandant des terroristes après avoir pris tous les matériels qui s’y trouvent et l’annihiler par le feu.
Dans tout le pays, des états étrangers envoient des avions pour évacuer leurs ressortissants. Ces derniers se précipitent sur les rangs pour aller monter aux avions sous le regard triste de quelques sénégalais qui veulent eux aussi partir. Chaque avion étranger est accompagné de soldats de leurs états pour contrôler tous les entrés et vérifient si effectivement les passagers sont des membres de leurs nations.
À la base militaire française,
Postés au Nord du pays depuis trois jours de leur engagement sur cette guerre, les soldats français sont de plus en plus bien armés et font de patrouilles dans tout le nord du pays depuis la région de Diourbel. Les ingénieurs ont finalisé la construction de leur grande piste. De grandes machines sont amenées dans leur zone mais qui font l’objet de questionnement à ceux qui l’ont vu. Ces machines ne montrent aucune utilité pour des combats. Les soldats français chassent tout sénégalais qui se présente dans leur territoire alloué. Ils sont seul et évite toute caméra ou vidéo depuis l’extérieur qui pourrait compromettre leur couverture.
De grandes constructions, sont faites avec des tuyaux et des puits de longs mètres de profondeurs, qu’ils clôturent avec des murs à hauteur de vingt-une mètre. Leurs avions font des allers-retours en France et au Sénégal. Tantôt, ils reviennent avec des matériels, tantôt ils repartent avec.
Le président de la république avoue dans un décret privé d’avoir modifié un article de la cour suprême. Désormais, pour tout contrat signé par le président, il se peut que l’intérêt du pays soit relégué au second plan.
Le journal enquête réveille la population sur une information d’attaque faîte à Tambacounda. Ainsi, succède celle des autres journaux qui annoncent tous la même nouvelle. Une nouvelle qui refroidit le cœur de nombreux citoyens sénégalais. Ils informent qu’une attaque a été menée par des soldats sénégalais et des agents de la DIC dans une base terroriste à Tambacounda et que leur commandant a été capturé. Ils annoncent aussi que ce commandant est celui qui avait pris la voiture de l’ingénieur Hamdy Fall pour attaquer le général Sow. D’autres journaux publient des articles où ils mettent le visage de Manir avec des larmes aux yeux et écrivent « Manir pleure sa défaite. »
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Panique Au Sénégal: La Résistance
AcciónDepuis un bon bout de temps, un groupe de terroriste dirigé par un dénommé Manir a envahit le Mali. Ces mêmes terroristes menacent d'attaquer le Sénégal. La population entière est dans la panique. *** Les terroristes ont finalement mit leurs menaces...