~Tu es mon Autre~ {Serquel} [TOME2]

Chapitre 1

{point de vue Raquel}

Amaro arrive et demande les bras de Sergio, ce dernier le prends.

Sergio : « Mon petit bébé. »

Amaro : « J'suis plus un bébé ! »

Sergio : « Hmm... si t'es un bébé! »

Amaro : « Non! Je suis un grand garçon moi. »

Sergio: « Moi je dis que non. T'es encore un petit bébé à papa! »
Dit-il en embrassant la joue de notre fils.

Je souris en les regardant faire, Amaro tire la langue à son père.

Amaro : « Je. Suis. Pas. Un. Bébé! »

Sergio : « T'es un grand bébé alors ... »

Amaro : « Non! Un grand garçon! »

Sergio rigole.

Sergio: « Si tu le dis! »

La porte s'ouvre : Marseille. Il sourit, fièrement. Derrière lui j'aperçois Nairobi portée par Bogota.

Moi : « Sergio.. »

Sergio se retourne, il sourit tendrement. Le reste de la bande entre, Marseille referme vite la porte.

Sergio : « Vous êtes là... vous êtes bien là... »
Dit-il en posant Amaro au sol.

Amaro : « Denver ! Bogota! Helsinki ! Nairobi! Tokyo! Palerme! Monica ! »
Dit-il en courant vers eux.

Sergio et moi suivons vite Amaro, nous prenons tout le monde dans nos bras. Bogota a reposé Nairobi au sol.

Amaro demande vite les bras de son grand copain Denver.

Denver : « Hé mon pote ! Tu vas bien? »

Amaro : « Oui! »

Je m'approche de Nairobi.

Moi : « Ça va mieux...? »

Nairobi : « Ça va... ça tire un peu.. mais... ils ont effectués l'opération avec succès ! Malgré quelques petit douleurs qui sont normales et supportables, tout va bien! Et puis tu sais quoi... viens dans mes bras hermana! »
Dit-elle avant de me prendre dans les bras.

Je souris et rigole. Tokyo se jette sur nous et nous fait un câlin, même à moi, oui oui, suivit de Monica. Après tout, nous sommes les seules filles de la bande, alors, nous devons être solidaires entre nous!
Après le câlin, nous rejoignons les hommes qui parlent de ce qu'il s'est passé tout au long du braquage dans la banque. Sergio raconte ce qu'il s'est passé pour lui, Amaro et pour moi.

Sergio : « Raquel était enceinte... »

Nairobi : « Sérieux ? C'est génial! »

Sergio : « Était Nairobi. Était. Ces connard de flics l'ont torturé... Marseille et moi avons élaboré un plan pour la sortir de là-bas mais... c'était trop tard pour le bébé... elle l'a perdu a cause des coups... »

Sergio s'arrête de parler, il baisse la tête.

Marseille frotte le dos de Sergio, suivit des autres garçons, même Palerme. Les filles elles, me prennent dans leurs bras. Amaro s'approche de Rio.

Amaro : « C'est toi qui t'appelle Rio? »

Rio : « C'est moi oui... »

Amaro : « Moi je m'appelle Amaro... et mon papa ben c'est le plus fort c'est lui qui a fait les plans du braquage pour te sauver! Et ma maman elle l'a aidée car elle est trop forte ! Et eux aussi ils sont trop forts ! »
Dit-il en montrant les autres.

Rio sourit, il caresse la joue d'Amaro avant de le prendre dans ses bras et de lui faire un câlin.

Rio : « Et toi t'es le petit garçon le plus mignon. »

Après ces retrouvailles, nous mangeons. Amaro est sur les genoux de Bogota, ce dernier s'amuse d'ailleurs à lui piquer ce qu'il a dans son assiette.

Amaro : « Papa! Bogota il me pique ce qu'il a dans mon assiette ! »

Sergio : « Méchant Bogota. Qu'est-ce que je dois lui faire ?»

Amaro  : « L'envoyer à la police! »

Tout le monde rigole à la réponse d'Amaro. Même si nous sommes contents de nous retrouver, nous ne sommes pas serins. Nous le serons quand nous serons arrivés sur le sol finlandais.

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