Le destin nous a choisis

Chapitre 24

Santa Monica

00h00

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La chaleur de l'habitacle à laissé place à la fraicheur de la nuit.
À cause de nos respirations et du moteur éteint une formation de buée s'est installée sur le pare-brise et les vitres.
Nous nous dévisageons mutuellement pendant de longues secondes sans qu'aucun de nous n'ajoute quelque chose à sa dernière remarque.
Je me racle la gorge pour essayer de brisé le silence qui règne.
Il a raison répondre à ses interrogations par des question est un de mes passe-temps favoris.
En réalité une seule réponse suffirais : savoir si réellement il m'a envoyer ce carton parce qu'il voulait me voir ou parce que tous le monde en l'a reçu.

Il pose ses mains sur le volant et semble réfléchir. Le laissant à ses réflexions j'essais de comprendre si ce qu'a prétendu Millie est vrai.
Est-ce que nous sommes plus que des amis ?

Il m'aime bien et moi aussi c'est évident puisque nous passons du temps ensemble mais au point d'être plus qu'amis ?

Ce qui est certifié c'est que ce Jay Parker fait ressortir une facette de ma personnalité qui jusque-là m'étais inconnu. Car jamais il m'est arriver de me poser ce genre de question sur un garçon est encore moins de passer des conversation entière à se lancer des piques. C'est comme chien et chat nous passons nos journée à nous chambrer mais sans jamais aller trop loin. C'est juste pour rire et se foutre gentiment de l'autre.

Il se racle la gorge à son tour, ce qui me fais sourire.

Le son de sa voix me fais tourner la tête vers lui.

— Tu veux savoir un truc drôle ?

Il n'attends pas mon approbation est continue toujours avec son sourire en coin.

— Tu m'as posés des problèmes même sans être là. Tu es très forte, May. s'exclame-t-il.

Sa phrase me prend de court, je hausse les sourcils mais ne l'interromps pas. Le surnom May me fait sourire.

Je ne saurais décrire l'expression qu'arbore son visage. C'est la même que l'autre soir sur la colline quand il m'a avoué n'avoir jamais emmener personne à cet endroit.
Mon regard n'arrive pas à se détacher de son visage pendant qu'il continue :

— Mon entraînement à été une catastrophe, mon coach me demander ce qui m'arrivait sans cesse.

Et c'était encore pire pendant le combat, mon regard fessais sans cesse le tour de la salle espérant te voir. À tel point que mon adversaires à eu le temps de me mettre deux uppercuts qui m'ont valu deux points de sutures chacun. explique-t-il en portant ses doigts sur les cicatrices encore apparente qui ornent sa joue droite et son menton.

Dans mon enfance il ne m'est jamais arrivée de me casser le bras ou une jambe ou d'avoir des points de sutures. Pour ça la chance été de mon côté, ma soeur en revanche n'en a pas hérité elle ne fessait sans cesse des chute et finissait tout le temps à l'hôpital. Un jour elle jouait à la balle au prisonnier dans son école et s'est pris un mur en courant. Alors ce qu'il faut retenir de cette histoire c'est qu'elle a terminer avec quatre point de sutures au menton et elle été persuadé que cela n'était pas ça faute mais celle du mur qui se trouvait là. C'est vrai qu'un mur n'a pas à ce trouver dans une école. Nous avons longtemps ris de cette histoire avec mes parents à son plus grand désespoir.

Il souffle se passe les mains dans les cheveux.

— C'est con ce que je dis non ? Pourtant c'est la vérité, depuis qu'on a été à Hollywood je n'ai qu'une envie c'est de te revoir. Mais je n'ose pas te demander de venir quelque part avec moi de peur que tu refuses.