« J'agirai comme un parrain si tu touches à ma filleule »

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Coucou ? Comment ça va vous ? 

J'espère que vous passez toujours de bonnes vacances et que vous supportez la canicule ! Courage, ça va nous faire maigrir (inch'). 

Si vous vous ennuyez sinon, j'ai de la lecture pour vous ! Y'a pas longtemps je suis tombée par hasard (pas du tout) sur la fiction de LucieOrlando  qui s'appelle Interview. C'est une fiction sur PLK et elle est vraiment très très bien. Genre vraiment vraiment, je lis très peu de fanfictions et très peu de fictions sur Wattpad en général, mais celle-ci en vaut vraiment le coup, je vous la conseille.

C'est tout ce que j'avais à dire aujourd'hui ! 

Plein de bisous, bonne lecture ! ❤️

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– Tu lui fais pas faire de dingueries ok ?

Après avoir levé les yeux au ciel face à la réplique habituelle que Ken me servait depuis quatorze ans à chaque fois que je partais avec ma filleule, je lui lançai un regard affligé :

– Tu parles à Lola ou à moi ? demandai-je. Parce qu'on sait tous les deux qu'elle te fait faire des dingueries depuis qu'elle est toute petite.

Ken fronça les sourcils dans un regard accusateur, un petit sourire amusé sur le visage, mais il ne nia pas mes paroles : il avait tellement fait de folies pour ses deux gamines depuis leurs naissances, il était tout à fait inutile de faire croire à quiconque qu'il n'était pas à leur merci. Le pire c'était que Lola n'avait jamais rien réclamé. Il avait de la chance qu'elle soit une ado simple, Maëlys lui donnerait probablement plus de fil à retordre en grandissant.

Aujourd'hui, et comme une ou deux fois tous les mois, je piquai Lola à ses parents pour pouvoir passer une journée juste avec elle. Ça allait être aussi pour moi l'occasion de lui demander pourquoi nous ne la voyions que très rarement à la maison ces temps-ci, et pourquoi Oscar ne se déplaçait plus trop à Paris Sud pour la voir.

– T'inquiètes Papa, il y a qu'avec toi qu'elle fait des dingueries, lança doucement Lola au Grec en allant déposer un baiser sur sa joue.

Ce dernier la regarda ensuite s'éloigner de lui pour me rejoindre avec un regard tendre, et je retins un roulement d'yeux : je ne rigolais vraiment pas lorsque je disais que mon meilleur ami était à la merci de ses filles.

– Amuse-toi bien, lâcha-t-il finalement, un cure-dent coincé entre ses lèvres. J't'aime Malo.

Cette fois-ci, je ne pus m'empêcher de rajouter mon grain de sel :

– Et moi alors, j'ai pas le droit à un « je t'aime » ?

Le Grec dirigea sur moi un regard à la fois excédé et accusateur :

– Va chier Elma.

Comme seule réaction à sa réponse, je ricanai fièrement tandis que la petite métisse rigolait, puis nous sortîmes toutes les deux de la demeure Samaras, sans oublier de tendre mon troisième doigt à Ken pour ma part.

À peine arrivées dans la voiture – je détestais conduire dans Paris, mais je refusais de prendre les transports en commun avec l'adolescente sublime qu'était ma filleule – Lola sautilla sur son siège avec un grand sourire, me demandant toutefois de sa petite voix timide :

– On fait quoi aujourd'hui Tata ?

Ne démarrant pas, je tournai le chef vers elle avec un sourire incontrôlable face à l'excitation qui perçait dans sa voix :

Toujours LàOù les histoires vivent. Découvrez maintenant