Chapitre 39. « A mistake on the painting of my family »

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Coucou ! Comment ça va depuis tout ce temps ?

Ça fait du bien de revenir sur cette histoire et d'écrire mon petit blabla chiant habituel !

Je voulais m'excuser pour ma longue absence ; j'ai eu beaucoup de difficultés à me concentrer et à écrire ce chapitre. D'où le fait que je l'apprécie pas trop, et qu'il paraisse un peu brouillon. Et encore une fois il est méga long, j'arrivais pas à le couper. J'espère quand même qu'il vous plaira, en tout cas je suis contente de continuer les aventures de Juju, parce que c'est pas l'inspi qui manque et j'ai encore plein de choses à raconter.

Bref, comme d'habitude je parle trop, mais je voudrais rajouter un petit mot vite fait : merci beaucoup pour vos retours sur les bonus d'Ali, ça m'a fait énormément plaisir ! J'espère ne pas vous avoir trop plombé le moral... En tout cas j'ai beaucoup aimé écrire sur lui, et je pense que je m'arrêterai pas là : il mérite quelques bonus joyeux aussi. 

Je m'arrête là dans mon monologue. Bisous et bonne lecture ! ❤️

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– Mais c'est pas vrai, c'est Noah qui invente tout ! Tu peux demander à Papy, j'étais avec lui toute la matinée en plus !

Depuis à peu près une demi-heure et comme tous les jours depuis qu'ils sont en âge de parler, les triplés de Max et Sophie sont une nouvelle fois en pleine engueulade. Pour de la merde en plus : Noah accuse son frère d'avoir cassé une branche des géraniums de nos grands-parents en faisant du basket quelques jours avant que ma mif et moi on arrive. Comme bien souvent, Alix suit Noah, et comme d'habitude, j'aurais plus tendance à écouter Gabin que les deux autres. En plus Noah est vraiment archi con, il sait très bien que son frère aime pas le sport, il aurait clairement pu inventer un meilleur mytho que le basket.

Autour de nous, les adultes en ont pas grand chose à foutre, ou du moins ils font semblants : attablés dans le salon des mes grands-parents paternels, mes darons, Max et Sophie, mes grands-parents, la sœur de ma grand-mère et ses enfants discutent entre eux de leur côté de la table, pendant qu'Oscar, Lou et moi on doit supporter nos trois cousins. Les gosses des cousins de mon daron ont l'air aussi saoulés que nous. Je déteste franchement qu'on fasse une table adultes et une table enfants ; autant à Dijon on s'assoit de cette manière naturellement parce qu'on se kiffe tous, autant j'ai la flemme de rester toute une soirée assis à côté d'Oscar, les trois démons et les petits cousins du daron.

– C'est vrai, intervient notre grand-père qui écoutait visiblement leur embrouille d'une oreille. On était en train de bricoler, fait-il en se levant pour resservir les darons et sa femme en vin. Et sinon vous voulez pas arrêter de brailler deux secondes ? On s'entend plus là.

Merci Papy. Trente minutes que je suis à deux doigts de flanquer une tarte à chacun de mes cousins. Ok, moi non plus je m'entends pas avec mon frère, mais au moins je casse pas les oreilles de tout le monde en lui hurlant dessus pour des conneries. 

– J'ai rien demandé moi, proteste Gabin en marmonnant. 

Et c'est totalement vrai. Le pauvre, à chaque fois Noah s'acharne sur lui sans raison, c'est vraiment un petit con. Et même si elle est pas toujours d'accord, Alix le défend jamais, à la place c'est souvent Lou qui s'en charge. 

Putain, j'adore mes grands-parents paternels mais j'ai hâte d'aller à Dijon : là-bas au moins y'a que des cousins que je kiffe. Limite faudrait que je négocie pour embarquer Gabin pour le sauver des sheitans qui lui servent de frère et sœur.

Toujours LàOù les histoires vivent. Découvrez maintenant