Chapitre 63 | 2.0

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En cet après-midi, j'étais avec Ashton dans notre chambre à nous préparer pour la réception de ce soir. Le bouclé, étant de deux ans mon aîné savait parfaitement comme choisir sa tenue, comment se comporter avec tel ou tel genre de personne alors que moi j'étais encore entrain de ma bagarrer avec mes boutons de chemise.

Ne voulant pas déranger Ashton d'avantage avec mes idioties, je sortis de ma chambre pour demander de l'aide à Maman et c'est là que je tombais nez-à-nez avec Nelly. Elle tenait la fermeture éclaire de sa robe avec une main et elle aussi comptait demander de l'aide. Je lui proposai de s'aider mutuellement et elle accepta. Elle se retourna et laissa la fermeture éclaire de sa robe grande ouverte. Je ne pus m'empêcher d'observer les courbes de son dos nu que je n'avais jamais vu au par avant puis je balayai ses cheveux pour pouvoir faire mon boulot. Je décoinçai la fermeture éclaire qui s'était attaché au tissu bleu de sa longue robe. Je fermai doucement sa fermeture éclaire puis je soufflai dans son cou pour la taquiner. J'avoue que j'aimais voir ses réactions vis-à-vis de moi parce que savoir qu'elle réagissait à mon simple souffle laissa un sourire se dessiner sur mes lèvres. Je tapai sur son épaule en lui disant que c'était fait et elle se tourna pour murmurer un mot de remerciements. Et j’insiste sur le mot ''Murmurer'' ! Je baissai ensuite les mains, la laissant déboutonner puis reboutonner ma chemise de bas en haut. Pendant qu'elle s'occuper soigneusement de ma tenue, je détaillai son visage assez changé à cause du peu de maquillage qu'elle portait. Ça la rendait plus féminine, et beaucoup plus attirante dans le sens physique. Je ne dis pas qu'elle est moche au naturel, au contraire, elle était vraiment mignonne, avec ses joues souvent rosées et ses grands yeux marrons mais là, elle commençai plus à ressembler à une femme. C'est aussi une des choses qui me fascinait chez Nelly. Il y a toujours quelque chose de nouveau à découvrir, et cet objet nouveau ne fait que vous la faire aimer d'avantage.

Quand elle eut fini, elle se recula d'un pas pour me faire comprendre qu'elle avait terminer. Je la remercie et je lui dit qu'elle était belle. J'aurais voulu lui dire plus, j'aurais voulu lui dire mot par mot ce que je trouvais beau chez elle, et ça aurait prit des heures parce que même si j'avais essayer de me convaincre du contraire, j'étais bel et bien tombé amoureux de la jeune brune qui se tenait en face de moi dans cet étroit couloir d'étage.

Voulant me perdre dans autres choses que dans mes pensées, je comptais me baisser pour l'embrasser mais elle me rappela à l'ordre avant même d'avoir entamer une démarche. Je rougis légèrement et je souris un peu mal à l'aise la situation. Le fait qu'elle avait anticiper mon action et qu'elle m'avait stopper me vexa un peu. L'idée qu'elle ne voulait pas de moi m’écœurer du plus haut point mais d'un certain coté, je savais que ce n'étais pas évident pour elle aussi. A chaque fois que je pensais à l'idée de lui demander d'être ma petite amie, un tas de bonnes raisons de ne pas le faire surgissait dans mon esprit et entre nous, certaines n'étaient absolument pas négligeable. La première raison était que nous habitions chacun à l'autre bout du monde de l'autre. Et les plus de 17 000 km nous déparant n'était pas rien. Ensuite, je serai en tournée souvent et je n'aurais peut être plus temps nécessaire à lui consacrer et puis, sa ne fera qu'empirer les choses. Et enfin avec la carrière du groupe qui commence fort, Adam m'avait déjà dit d'éviter les histoires public avec les filles pour au moins un moment. Et il y a aussi ses parents, et puis les fans qui la harcèleront sûrement et puis... BREF, cet idée n'est vraiment pas abordable... pour le moment.

*

A la réception, j'avais piqué une mini-crise-intérieur de jalousie quand Niall avait fait le gentleman devant Nelly, et lui avait parler en français. J'avais eu la même réaction que lors-ce-que j'avais entendu Michael l'appelait Nellou. Ça m'avait un peu agacé qu'il lui montre qu'il sache parler sa langue natale alors que c'est toujours elle qui me parle en Anglais, ce qui me fit réaliser qu'elle n'était pas être pas totalement à l'aise, et ceci fit naître un goût amer dans ma gorge.

Merci Maman! (Luke Hemmings)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant