Chapitre 100 | 2.0

2.4K 162 43
                                    

C'est fou comme le temps passe vite, que des événements tant attendu arrivent et ne deviennent que souvenirs.

En un claquement de doigt, Nelly repartit d'Australie, tandis que je partis à Los Angeles avec le groupe pour finir notre deuxième album, j'étais aussi passé pendant notre pause chez ma petite-amie,et puis au moment de ses révisions entra deux dates de tournée.Elle avait aussi passé son examen tandis que je continus de traîner dans toute l'Europe de l'ouest pendant mois, jusqu'à notre pause avant la tournée Américaine, où j'avais décidé d'accompagner ma française à son bal de fin d'année. Et les vols étaient déjàtous plein pendant ma réservation, ne trouvant une place à bon prix que pour le jour même du bal, où je devais arriver dans les temps.

Entre temps, pendant notre tournée et nos entretiens de boulot, moi ambitieux à l'idée que Nelly ne soit plus dépendante de ses parents pour ses prochaines études , j'avais parlé à Maman avant defaire quoi que ce soit, puis dès que la chance s'était présenté,j'avais demandé à un ingénieur du son que je connaissais assez pour avoir déjà travailler avec lui pour voir s'il faisait encore des formations au métier. Il me demanda quelque détails avant queje ne réponde fièrement et qu'il finisse pour me dire qu'il avait quelque contact pour passer un BTS audiovisuel et qu'il seraitd'accord pour prendre ma petite-amie sous son ail.

Le jour de mon départ, je fus choqué en voyant que mon vol était annulé et j'appelais Nelly en panique tandis qu'elle me répondit ayant l'air complètement à l'ouest. A se demander si le marchantde sable ne lui dealait pas des substances louches. Mais non,elle avait quand même la tête sur les épaules et me dit quoi faire pour m'en sortir. J'avais surtout fait attention à quand elle avaitrépondu à mon « Je t'aime » à un « Je T'aime encore plus », me faisant réaliser chaque fois deplus en plus que ni l'un ni l'autre ne savions réellement à quel point nous étions liés.

Au Cours des six premier mois de la nouvelle année, et plus de sept mois de couple avec Nelly, j'avais peu à peu prit conscience que je représentais vraiment quelque chose d'important pour elle. Je le sentais, quand on se voyait, pendant ces nuits, où elle venait se glisser dans mon lit, celui de sa chambre qu'elle m'avait laissé plusieurs fois, pour m'embrasser le front et passer sa main dans mes cheveux. Dans sa façon de s'allonger près de moi, posant sa tête sur mon torse ou sur mon épaule, dans sa façon d'attraper ma main et de la serrer dans les siennes. N'étant jamais vraiment endormi quand ce genre de moments arrivaient, je lui montrai un petit signe de conscience en lui souriant faiblement, elle se redressant un peu pour que ce soit moi qui termine ma journée à ses côtés, tandis qu'elle continuait de caresser une de mes joues, me murmurant en partant quand elle me pensait endormi qu'elle m'aimait.

J'avais Prit conscience de ses sentiments en vers moi quand je la trouvais souvent me regarder discrètement et qu'elle finissait par me laisser un baiser quelque part sur le visage. Je l'avais aussi vu àplusieurs reprise regarder longuement des photos de nous, notamment les deux qu'il y avait dans son pendentif.

Mais Surtout, j'avais vraiment prit conscience de ce que je représentais pour elle, quand j'entendais ses conversations nocturnes avec elle-même. Le fait qu'elle parle dans son sommeil ne l'avait jamais réellement quitté. Et je j'avais déjà surpris entrain de parlerde moi, mais en français. J'avais donc noter sa phrase avec mon prénom pour demander la traduction à William qui me taxa deux euros pour la traduction et trois autres pour le secret professionnel.J'avais par la même occasion appris que mon nom de contact sur son portable était « Le beau-frère ».

*

Quand j'arrivai finalement en bas du bâtiment des Lopez, je m'étais pressé de monter chez eux pour déposer ma valise et changer d'habits pour mettre un chemise et me parfumer une dernière fois. Je demandai à Salomé et à Léo si tout était en ordre, les deux petits frères de Nelly se mettant à siffler, me mettant très mal àl'aise.

Merci Maman! (Luke Hemmings)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant