Lorsqu'elle prit le bras de son père pour marcher le long de l'allée jusqu'à l'autel où l'attendait Rodolphus, Bellatrix fut bien plus émue que ce à quoi elle s'était attendue. Tout le monde était présent, aujourd'hui, pour célébrer leur union. Les sorcières et les sorciers qu'elle avait toujours fréquentés la regardaient avec une profonde admiration. Certains semblaient l'envier, d'autres paraissaient être sincèrement heureux pour elle. Tous, en revanche, affichaient un air solennel. Ce mariage était peut-être le plus prestigieux de la décennie.
Et Rodolphus...
Il la regardait comme si elle était la septième merveille du monde.
Le cœur de Bellatrix se serra. Elle ne put s'empêcher de ressentir de la pitié à son égard. Il l'aimait, elle en était certaine. Peut-être même était-il réellement amoureux d'elle. Et Bellatrix n'avait jamais su l'aimer véritablement en retour. Alors qu'un sentiment de culpabilité l'envahit, elle se remémora ce qu'avait été leur relation jusque là.
1956, Oxfordshire.
- Bella, je te présente Rodolphus Lestrange, dit Druella. Tu connais déjà leur mère, Mérida. Les enfants, pourquoi n'allez-vous pas jouer dans le jardin ? Le temps est merveilleux, vous devriez en profiter.
La petite Bellatrix fit une moue et lança un regard au petit bébé blond dans les bras de sa mère. Sa petite sœur n'avait qu'un an, et elle n'était pas encore en âge de jouer avec elle. Son autre sœur, Andromeda, était restée à la maison avec leur père car elle était malade. Bellatrix n'avait d'autre choix que de rester avec le garçon désigné par sa mère.
Ils allèrent donc tous deux dans le jardin du somptueux château des Lestrange. Druella n'avait pas menti, et le soleil brillait fort dans le ciel.
- Nous aussi on a un bébé, dit soudain le petit garçon aux cheveux noirs comme la suie. Il s'appelle Rabastan, et c'est mon petit-frère. Maman le laisse avec les elfes et il dort tout le temps. Elle dit qu'il a besoin de repos, alors qu'il ne fait jamais rien.
- Cissy passe son temps à pleurer, répondit Bellatrix. Dromeda et moi, on en a vraiment marre. J'aimerais mieux avoir une petite sœur silencieuse, comme ton frère.
- On peut peut-être les échanger, suggéra Rodolphus avec un sourire malicieux. Je suis sûr que nos parents n'y verraient que du feu.
Bellatrix esquissa un sourire. Peut-être que ce garçon n'était pas si terrible, finalement.
1959, manoir Black.
- Arrêtez ! C'est pas drôle ! Bella ! cria Andromeda en courant après sa sœur et le jeune Lestrange, une larme roulant le long de sa joue. Je vais le dire à maman !
- Eh, Dolph, attrape !
Bellatrix lança le boursouflet de sa sœur à son ami qui l'attrapa au vol et continua sa course en riant, la petite Andromeda courant derrière lui, pleurant à chaudes larmes.
1963, École de sorcellerie Poudlard, Écosse.
- Regardez, c'est Sinistrix qui arrive ! fit un garçon à la table des Gryffondors. Alors Sinistrix, on a torturé combien de nés-moldus aujourd'hui ?
Bellatrix lança un regard noir à l'élève, mais n'eut pas le temps de répliquer quoi que ce soit qu'une main chaleureuse se posa sur son épaule. « Laisse » murmura une voix masculine à son oreille, et Rodolphus s'interposa entre son amie et le garçon qui l'avait importunée.
- Un problème, Prewett ? demanda-t-il d'une voix dure.
- Oh, elle a appelé son amoureux en renfort, argua le rouquin en toisant Rodolphus.
- La ferme, Gideon, siffla Bellatrix en croisant les bras sur sa poitrine.
Rodolphus s'approcha de Gideon Prewett et le saisit par le col de sa robe de sorcier, avant de hisser d'un ton menaçant :
- C'est la dernière fois que tu t'adresses à Bellatrix de cette façon, sale traître à ton sang. Si tu oses encore l'appeler par ce surnom idiot, tu le regretteras. Crois-moi, tu as de la chance que ce soit moi qui soit intervenu. Bella n'hésitera pas à réagir de façon bien moins...cordiale, si tu venais à t'en prendre à elle à nouveau.
À ces mots, il relâcha brusquement le Gryffondor qui tituba avant de se rassoir maladroitement sur son banc, livide.
1964, Les Trois Balais, Pré-au-Lard, Écosse.
- Deux bièraubeurres, s'il-vous-plaît, commanda Rodolphus.
Bellatrix attendit que la serveuse s'éloigne vers le comptoir pour prendre la parole.
- Il fait terriblement froid cette année, dit-elle en frissonnant. Minky a oublié de me mettre mon manteau de fourrure, stupide elfe.
- Tiens, prends ma veste, répondit aussitôt le garçon en défaisant son vêtement.
- Non, Dolph, je...
Mais il ne l'écouta pas, en posa sa lourde veste en laine bouillie sur les épaules de son amie. Bellatrix eut bien plus chaud d'un coup, et se trouva fort reconnaissante pour cette attention. La jeune Rosemerta apporta ensuite leur commande, et Bellatrix la regarda avec dédain. Quand elle fut repartie, elle se tourna vers Rodolphus.
- C'est tout de même pitoyable de terminer serveuse dans un pub après avoir passé sept ans à Poudlard, murmura-t-elle. Tu crois qu'elle va rester toute sa vie ici ?
- Aucune idée, répondit Rodolphus en haussant les épaules. Tu sais, Bella, tout le monde ne peut pas être aussi brillant que toi. Ce serait nul sinon. Si le monde était rempli de Bellatrix, personne ne remarquerait à quel point tu es géniale...
Les joues de la sorcière se teintèrent d'une adorable couleur rosée. Elle ne recevait pas de compliments bien souvent, en tout cas pas de la part de gens auxquels elle tenait.
- Tu...tu trouves que je suis géniale ? demanda-t-elle à mi-voix.
Rodolphus leva alors ses yeux vers elle et leurs regards s'accrochèrent. Il avait un air déterminé quand il lui répondit.
- Oui. Je pense que tu es la sorcière la plus géniale que je connaisse. Et je ne dis pas ça à cause de ton nom de famille ou de ton compte en banque. Je dis ça parce que tu me fais rire plus que n'importe qui, parce que tu es belle même quand tu es clouée au lit par la fièvre, parce que tu maîtrises la magie mieux que personne et parce que tu n'as jamais peur d'être toi-même. Si je devais passer le restant de mes jours avec une seule personne, je te choisirais sans hésitation.
Bellatrix sentit ses yeux la brûler tout à coup, et le sourire sur ses lèvres qu'elle tentait de dissimuler était soudain bien trop large à son goût. Mais lorsqu'elle ne sut pas quoi répondre, Rodolphus sembla paniquer.
- Je suis désolé, Bella, je... je n'aurais pas dû...
- Non.
- Non ?
- Ne sois pas désolé, tu... Dolph, je trouve aussi que tu es génial. Et je crois que tu es ma personne préférée.
- Plus que tes sœurs ? demanda-t-il d'un ton amusé.
- Non, idiot, répondit Bellatrix en riant. Juste après.
- Je suis honoré, Bella.
Un silence agréable passa alors, et les deux finirent tranquillement leur boisson. Puis, le jeune Lestrange se racla la gorge.
- Tu sais, Bella, je... ça fait longtemps qu'on se connaît et... enfin, tu vois. Je me demandais si... par hasard... si tu voudrais devenir ma petite amie.
Les sourcils de Bellatrix se levèrent d'un coup. Elle ne l'avait pas vue venir, celle-là. Et pourtant, l'idée faisait sens. À vrai dire, c'était peut-être la proposition la plus sensée qu'on lui ait faite à ce jour. Elle et Dolph... c'était naturel.
- D'accord.
- D'accord ?
- Oui, d'accord, assura Bellatrix. Mais tu promets que ça ne va pas devenir gênant et qu'on va rester meilleurs amis pour toujours, hein ?
Un sourire sincèrement heureux se dessina sur les lèvres de Rodolphus Lestrange, et il prit doucement la main de Bellatrix dans la sienne pour y déposer un baiser délicat.
- Promis, miss Black.
Lorsqu'elle arriva devant l'autel, Bellatrix ne vit plus que lui. Son ami d'enfance, son premier amour et futur époux. Il n'y avait plus d'Obara, plus de Lord Voldemort. Juste Dolph et Bella qui riaient ensemble près du Lac Noir, juste Dolph et Bella qui s'entraînaient au duel dans le jardin du manoir Black.
Juste Dolph et Bella, face à face, prêts à s'échanger leurs alliances, et à s'engager l'un auprès de l'autre pour le restant de leurs jours.
Lorsqu'elle le vit si heureux de la voir en robe blanche, si ému, si fier, elle eut envie de pleurer. Elle avait été si égoïste ces derniers mois. Elle n'avait pensé qu'à son propre plaisir, sans jamais prendre les sentiments de Rodolphus en compte. Et désormais, elle allait l'épouser, alors qu'elle l'avait trahi sans aucun remord. Il avait toujours été là pour elle. Bellatrix ne méritait pas Rodolphus.
Une larme de culpabilité coula le long de sa joue.
Et Rodolphus prit cette larme pour du ravissement.
« Tu es magnifique, Bella » lui glissa-t-il à l'oreille juste avant que l'officier de mariage ne prenne la parole.
- Nous sommes réunis en ce jour pour célébrer l'union d'un sorcier et d'une sorcière selon les rites ancestraux. Rodolphus Corvus Lestrange a demandé la main de Bellatrix Vinda Black. Les deux sont venus sceller leur union par la magie, et font de vous les témoins de leur amour. Quiconque s'oppose à ce mariage, parle maintenant, ou tais-toi à jamais.
L'assemblée resta silencieuse. Le sorcier qui guidait la cérémonie reprit la parole.
- Les maisons Black et Lestrange ont traversé les siècles. C'est un honneur qu'elles se trouvent réunies aujourd'hui et qu'elles soient représentées par deux membres aussi respectables que mademoiselle Black et monsieur Lestrange. Jeunes gens, vous pouvez prononcer vos vœux.
C'était à l'homme de parler en premier. Bellatrix sentit son estomac se retourner quand Rodolphus prit la parole.
- Bellatrix. Tu fais partie de ma vie depuis aussi longtemps que je puisse me rappeler. Tu es la source de chacun de mes souvenirs les plus heureux, et tu as su rester à mes côtés même dans les moments les plus difficiles. Tu es ma meilleure amie, et mon premier et unique amour. Rien au monde n'aurait pu me rendre plus fier et plus heureux que de faire de toi ma femme. Merci, Bella, d'avoir accepté ma proposition des années plus tôt, alors que nous n'étions que des gamins et que j'ai failli m'évanouir quand je t'ai demandé de devenir ma petite amie. Merci, Bella, d'avoir accepté, enfin, de devenir mienne aux yeux de tous. Je jure de t'aimer un peu plus chaque jour, jusqu'à mon dernier souffle.
Bellatrix entendit sa mère renifler bruyamment sur le banc de invités. Druella était en larmes, et même Cygnus avait l'air bouleversé. Mérida Lestrange était dans un état tout aussi déplorable que madame Black. Arsenius Lestrange, lui, s'était endormi.
- Rodolphus, dit Bellatrix d'une voix tremblante. Tu es le jeune homme le plus génial que je connaisse. Et ce n'est pas seulement pour ton nom ou ton compte en banque...
Des rires s'élevèrent dans l'assemblée. Bellatrix marqua une pause, attendant qu'ils se dissipent, et Rodolphus lui sourit, comprenant seul sa référence.
- Merci pour tout ce que tu m'as apporté. J'ignore par quel miracle, ou par quelle folie tu as décidé de m'épouser, mais cette décision fait de moi la sorcière la plus heureuse du monde. Je jure de rester à tes côtés jusqu'à la fin, et de demeurer ta meilleure amie à jamais.
L'officier de cérémonie leur demanda ensuite de se tenir la main, et pointa sa baguette sur leur poigne. Puis, une coupe remplie de sang fut apportée par un enfant, et le sorcier y trempa deux doigts. Ensuite, il versa sur le crâne de chacun des époux le liquide pourpre, et pointa sa baguette sur leur poigne. Bellatrix le regarda faire, le cœur pulsant dans sa poitrine, tandis que le sang coulait le long de son visage et s'étalait sur ses épaules. Quand l'homme commença à murmurer l'incantation, un mince filet d'argent enveloppa les mains de Rodolphus et Bellatrix, de la même façon que le ferait un sortilège de serment inviolable.
- Par ce sort, je lie Bellatrix de la maison Black à Rodolphus de la maison Lestrange. Par ce sort, je fais de leurs deux âmes une âme unique. Par ce sort, je scelle leur union selon les rites ancestraux. Que le sang qui coule sur leur corps les protège, que la magie qui coule dans leurs veines les aide à affronter la vie comme un seul être. Deux sorciers sont venus à moi, et ils ne sont désormais plus qu'un. Que leur union soit éternelle et inviolable, que la magie les accompagne jusqu'à leur dernier souffle.
Bellatrix sentit une étrange chaleur se propager dans son corps, puis, le filet d'argent s'estompa. Elle pouvait nettement le sentir, quelque chose avait dores et déjà changé. C'était comme si son âme était réellement liée à celle de Rodolphus désormais. Et quand elle regarda celui qui était maintenant son époux, elle sut qu'il ressentait exactement la même chose.
- Monsieur Lestrange, vous pouvez embrasser Madame Lestrange.
****
Le buffet était somptueux. L'orchestre enchanté jouait des valses divines. Les invités dansaient avec grâce, et discutaient joyeusement. Le soleil brillait, et tout semblait parfait. Bellatrix et Rodolphus étaient assis côte à côte et remerciaient ceux qui venaient les féliciter. Derrière eux, la pile de cadeaux grandissait un peu plus à chaque passage. Malgré tout, Bellatrix avait hâte que cela se termine. Elle n'aimait pas tellement les événements mondains, et son propre mariage ne faisait pas exception. Elle avait déjà partagé plusieurs danses avec Rodolphus, comme la coutume l'exigeait, et tranché la première part de la magnifique pièce montée faite par les elfes des Lestrange. Elle avait bu quelques verres de champagnes, discuté avec les sorcières et sorciers des deux familles, et maintenant elle n'avait qu'une envie : que tous s'en aille afin qu'elle puisse se glisser sous ses couettes et faire une sieste bien méritée.
- Ne t'en fais pas, nous serons bientôt tranquilles, lui glissa Rodolphus avec un sourire amusé.
- Comment tu sais que...
- Je te connais par cœur, Bella.
Bellatrix ouvrit la bouche pour répondre quelque chose, mais son époux se figea. Elle regarda alors dans la même direction que lui, et son cœur s'arrêta de battre pendant une fraction de seconde.
Il était superbe, dans son ensemble noir. Tout le monde s'arrêtait de parler sur son passage, et certains prenaient même la peine de s'incliner. Mais Voldemort se contentait de marcher droit vers le couple Lestrange, sans faire attention à qui que ce soit d'autre, son regard braqué sur la mariée.
- Toutes mes félicitations, dit-il en s'arrêtant devant ses deux serviteurs.
- Maître, répondit Rodolphus en s'inclinant. C'est un honneur de vous avoir parmi nous aujourd'hui.
- Allons, allons, Lestrange... vous êtes tout deux des servants remarquables. Lord Voldemort sait récompenser ceux qui lui sont loyaux.
- Merci, mon Seigneur, s'empressa de dire Bellatrix avant de porter nerveusement sa coupe de champagne à ses lèvres.
- Madame Lestrange, une danse ? invita le Seigneur des Ténèbres sans un regard pour Rodolphus.
Bellatrix le suivit immédiatement sur la piste ou plusieurs couples valsaient. Tout le monde se figea quelques secondes pour regarder la mariée être menée par le mystérieux mage noir dont personne n'osait prononcer le nom. Bellatrix savait qu'elle devait être écarlate, et ne pouvait s'empêcher de regarder autour d'elle. Elle croisa le regard surpris de ses parents, le regard furieux d'Andromeda et les regards curieux des dizaines d'autres d'invités. Voldemort, lui restait de marbre, sa main droite posée au bas du dos de sa servante, l'autre tenant fermement la petite main de Bellatrix.
- Ne leur prête pas attention, dit-il à voix basse, son regard fixé à l'horizon.
Bellatrix se concentra alors sur lui. Il était fraichement rasé. Ses cheveux avaient été ramenés en arrière avec de la pommade. Son costume était impeccable. Il était tellement beau, malgré les signes de vieillesse et la cicatrice qui barrait son visage.
- Je croyais que vous ne viendriez pas... murmura Bellatrix sans détacher ses grands yeux noirs de son Maître qui regardait obstinément ailleurs.
- Et bien, je suis là.
- Merci, répéta-t-elle, la gorge serrée par l'émotion.
Voldemort acquiesça. Il balaya les alentours du regard, et posa les yeux sur un groupe qui bavardait près du buffet. Il reconnut Narcissa, la petite sœur de Bellatrix, qui discutait avec le jeune Lucius. Près d'eux, Aslan Malefoy, l'oncle du garçon, les regardait avec une lueur étrange dans les yeux, pendant que sa femme Aeta discutait avec Abraxas et Cerda. Aslan avait le même âge que Voldemort, ils étaient allés à Poudlard ensemble. Aeta, née Rowle, s'était mariée avec lui dès leurs études terminées. Néanmoins, leur mariage ne s'était jamais révélé fructueux, Aeta n'ayant pas pu donner de descendant à son époux. Officiellement, l'unique héritier de la maison Malefoy était donc Lucius.
- Maître ?
Voldemort revint à la réalité quand il entendit Bellatrix l'appeler.
- Hmm ?
- Je disais que vous devriez goûter au gâteau, il est divin.
- Hmm.
- Vous vouliez que je vous rejoigne une fois la réception terminée. Est-ce toujours d'actualité ?
- Es-tu si pressée de partager ta nuit de noces avec ton époux, Bella ? répliqua froidement Voldemort.
- Je...non, non, Maître. Ce n'est pas cela... c'est simplement que...vous êtes déjà présent donc...
- Où est ta chambre ?
Bellatrix devint encore plus écarlate qu'elle ne l'était.
- Au deuxième étage, dans l'aile droite, mon Seigneur, mais...
- Conduis-y moi, ordonna-t-il sèchement.
Bellatrix soupira, puis lança un regard désolé à Rodolphus. Le jeune homme serra les dents, mais acquiesça. Tout deux savaient très bien qu'il était hors de question de désobéir à leur Maître. Alors la jeune mariée s'éclipsa de sa propre fête, suivie par un sorcier qui était tout sauf son époux.________________________________
Hello!
Désolée de ne pas avoir publié ce chapitre plus rapidement, mes examens arrivent et je dois les préparer...
J'espère qu'il vous a tout de même plu.À votre avis, pourquoi Voldemort a demandé à Bellatrix de l'amener dans sa chambre? Et comment va se passer le mariage de Bella et Dolph maintenant qu'ils habitent ensemble?
Aussi, que pensez-vous de Rodolphus? Vous est-il sympathique? Ou plutôt l'inverse?
VOUS LISEZ
All the wrong choices
Fanfiction1967. Bellatrix entame sa sixième année à l'école de sorcellerie Poudlard. Au même moment, un mystérieux mage noir fait campagne au sein des plus grandes familles de sang pur. Lorsque l'aînée de la famille Black fait la rencontre de celui qui se fai...