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Moi : Je comprend pas là.
Astou : Logique.
Moi : Mais explique moi.

Astou : Mon père il s'est suicidé au Sénégal.
Moi : choquer.
Astou : souffle.

Je veux pas lui poser plus de questions je préfère la laisser dormir dans son coins mais elle à pas l'air si triste que sa et ça m'intrigue beaucoup.

Astou : Je sais que c'est faux.
Moi : Hein ?
Astou : Il veut juste pas aller en prison.
Moi : Mais il est mort Astou.

Astou : Non c'est impossible !
Moi : Comment t'a su ?

Astou : Le violeur de Aïda appel ma mère pour lui dire qu'il à retrouver le corps de mon père pendu. J'y crois pas à un seul mots.

Moi : Mais c'est chaud là Astou.
Astou : Ils vont le payés.
Moi : Calme toi, pleure pas.
Astou : Je pleure pas.

Moi : Quand j'étais pas là ta pleurer.
Astou : Parce que t'es toujours là de base ?
Moi : souffle.
Astou : Bonne nuit. en ce retournent

Moi : Je suis plus sur le terrain je voyagerais plus.

Elle m'écoute même pas.

𝐃𝐀𝐍𝐒 𝐋𝐀 𝐏𝐄𝐀𝐔 𝐃𝐄 𝐀𝐒𝐓𝐎𝐔

12h00

Je me réveille pas trop d'humeur, j'entends Ayman et les jumeaux entrain de crier en bas. Et d'autres voix des hommes. Je vais prendre ma douche.

Ayman : ASTOU ?
Moi : Oui !? en étant sous la douche
Ayman : JE SORT AVEC LES JUMEAUX !
Moi : D'accord !

Quand j'ai terminer ma douche, je sort je met un soins du visage à la mangue sa sent trop bon. Je fais un sur mes cheveux aussi sa fais trop du bien.

Mon téléphone sonne c'est mon chéri.

Moi : Oui ?
Sama Jëker : Bébé tu veux du maad ?
Moi : Oui vous êtes où ?
Sama Jëker : À coter on arrives là.
Moi : Est-ce qu'il on mangés ?
Sama Jëker : Ouais mcdo.

Moi : MA QUOI !?
Sama Jëker : Je rigole, des légumes avec du poisson et des bananes.
Moi : D'accord rentre vite il va pleuvoir.
Sama Jëker : Oui.

14h25

Moi : Coucou mes bébés.
Adem : applaudis.
Moi : Mhhh mamounette !
Aylen : Mamaaaaaaaa
Moi : Oui mon bébé tu étais où hein ?

Ayman : Et moi ?
Moi : On va changés la couche hein ?
Ayman : Mais et moi ?
Moi : Oui. en lui faisant un bisou.
Ayman : Tient.
Moi : Merci bébé.

On monte dans la chambre on change la couche des jumeaux, leurs habits, et ils s'endorment direct.

Ayman : C'était trop bien dehors.
Moi : Ils sont fatigués hein.

On sort de la chambre, il met ses bras autour de mon ventre et m'empêche d'avancer.

Moi : Ayman !
Ayman : Judigaga !
Moi : rigole.
Ayman : Tu veux pas les maad ?
Moi : Si !

𝐴𝑠𝑡𝑜𝑢Où les histoires vivent. Découvrez maintenant