CHAPITRE VINGT

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NDA : CHAPITRE LONG.
(4735 mots!)
Mais j'pouvais pas le couper hihi.
Bonne Lecture !

CHAPITRE VINGT

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     La semaine est passée bien trop vite à mon goût, mais également à mon plus grand désarroi. Non pas qu'assister à un gala bondé de personnes aussi raffiné les unes que les autres me déplaît grandement. Si on fait abstraction de mon éxaspération et de mon ennui rien qu'à cette idée. Mais avoir à subir un tel moment parmi tous ces gens de haut rang est une chose, chanter devant eux est une autre.

Quand ma mère m'a rappelée en milieu de semaine pour me faire parvenir de ce « léger changement », je lui ai bien fais comprendre que cela est inconcevable pour moi. Cependant, c'est ma mère, alors elle n'a rien voulu entendre et me l'a imposée, tel l'ordre de ranger ma chambre lorsque je vivais encore sous son toit. Et comme toujours quand il s'agit de mes parents, je n'avais pas mon mot à dire.

Hazel ! Tu es prête ? Les premiers invités ne vont pas tarder à arriver ! cri ma mère depuis l'étage inférieur, alors que je reste face au miroir, dans la pièce qui était encore ma chambre il y a quelques mois.

J'arrive, criais— je légèrement, juste assez pour qu'elle puisse m'entendre.

La seconde d'après, la porte s'ouvre sans qu'on prenne la peine de toquer dessus, et je devine facilement qui est celle qui n'a pas pris la peine de le faire. La petite blonde fait son entrée dans ma chambre, vêtue de sa belle robe rose poudrée à paillettes, un joli ruban noir serrant sa petite taille d'adolescente, laissant un nœud parfait sur le côté droit. Fidèle à elle—même, ses pieds ne sont pas perchée sur de petits talons, mais fermés dans de jolis baskets blanche. Concordant tout de même avec l'ensemble de sa tenue, en dépit de la différence de thème.

Wouah, t'es vraiment jolie. s'exclame—t—elle, toute sourire, déviant ses jolis yeux bleu de moi pour me regarder à travers le miroir.

En observant mon reflet dans la glace, je souris légèrement. J'avais contribuée dans le choix de ma tenue rien qu'en ayant le privilège de choisir parmi toute celles que ma génitrice avait préalablement pris soin de présélectionner comme étant les plus susceptible de convenir à la soirée. Bien que le choix initial lui revient, elle a su mettre en liste des robes qui étaient loin de me déplaire. Et c'est sans un brin de doute, que j'ai optée pour celle qui m'a directement tapée dans l'œil.

Une robe grise clair, virant presque au blanc, à forme évasé, m'arrivant au dessus des genoux. La partie du bas est parsemé de paillettes, alors que le celle du haut ne présente qu'un joli nœud qui trace le haut de ma poitrine pour s'étendre jusqu'à mes épaules. 

Seul un trait d'eye—liner orne mes yeux, tandis que du mascara décore joliment mes cils. Mes cheveux, d'accoutumée lisse sont ondulés pour l'occasion, deux sections de mèches relevés vers l'arrière par une barrette à petites perles blanche. Cependant, je n'ai pas pu concevoir à laisser cette coiffure, me donnant l'image idyllique de la fille aînée modèle, telle quelle. Alors j'ai soigneusement laissé deux fines mèches de cheveux me retomber sur les deux côtés de mon visage, changeant un tant soit peu l'aspect de cette coiffure bien trop ordonnée et parfaite. Ce qui, rend plutôt bien, à ma plus grande joie.

Merci, j'te retourne le compliment soeurette. fis—je, me tournant vers la concernée pour la regarder.

Elle me remercie, son sourire ne quittant ses lèvres, s'agrandissant même au point d'arriver à ses oreilles. Ma très chère petite sœur a beau être du même sang que moi, elle et moi sommes diamétralement opposées au niveau du physique. Si moi j'ai héritée des traits de notre mère, lui ressemblant quasiment portrait pour portrait, même pour sa taille qui ne dépasse pas les 1 mètre 60. Ma sœur, elle, a succédée de ceux de notre père, les yeux bleus, la carnation blonde, étant sa mini copie conforme, en féminin.

COLOCATION DIFFICILE | LIVAÏ x OCOù les histoires vivent. Découvrez maintenant