La douleur est définie comme une sensation pénible qui se ressentie en un point du corps, et est importante à la survie de l'organisme car elle l'avertit d'un danger. C'est aussi une expérience sensorielle ou émotionnelle désagréable pouvant être associée ou non à une lésion.
Pour l'être humain c'est subir une piqure ; se brûler au contact d'une plaque chauffante ; cogner son orteil au coin d'une meuble ; recevoir un jet de huile bouillante ; encaisser des décharges électriques ; prendre un coup de poings dans le ventre ; se casser le nez, se fracturer un os, avoir une torsion, s'arracher les tendons de l'os suite à une chute ; s'exposer longuement sous un soleil trop éclatant ; se faire pincer la peau ; se couper en maniant un couteau en cuisine ou autre objet tranchant ; s'égratigner le genou et le coude en tombant du vélo ; supporter une masse trop lourde ; être compresser ou écraser par une lourde charge sont des exemples d'actions qui causent des douleurs physiques.
Les études ont montré qu'à cause de la douleur physique, divers type de sensations et des émotions sont ressenties par les personnes concernées: nausée, suffocation, inquiétude, oppression, angoisse, harcèle et ça pouvait devenir obsédante, torturante, cruelle, suppliciante, gênante, désagréable, pénible, insupportable, énervante, exaspérante, horripilante, déprimante et fatigante selon le degré de la douleur ainsi que sa durée.
A travers la fenêtre, YoonGi observait ses camarades de classes courir. Ils doivent transpirer à cause de la chaleur. Plus tard, les garçons joueront au foot ; tandis que les filles partiront, sûrement pour jouer au hand-ball ou quelque chose de ce goût. Tient, il y a eu un accident : un garçon s'est recroquevillé par terre en tenant sa jambe. Il a dû recevoir un coup de pied...Et il doit crier ou gémir ou encore, geindre. Sa respiration doit aussi être irrégulière, ou si la douleur est intense, il doit être secoué par un petit sanglot. A la présence de la douleur, ces types de réactions sont usuelles ; les gens ont tendances à compresser ou à protéger par la main la zone douloureuse ; ce que fait d'ailleurs son camarade de classe. YoonGi abandonna son observation et se prépara à rentrer. Comme d'habitude, il marcha seul en gardant ses yeux rivés sur le sol. Il n'a pratiquement pas d'amis. Il n'était pas sûr si les gens l'évitaient parce qu'ils pensent qu'il les prenne du haut ou parce qu'ils ne veulent tout simplement pas s'impliquer avec le nouveau qui s'est vite fait savoir être un fils de riche, d'après les rumeurs...A ce moment de la journée, les couloirs sont vides car c'est l'heure des cours.
YoonGi déambulait jusqu'à la sortie où le chauffeur l'attendait patiemment. L'homme lui accorda un petit sourire qu'il répondit. Il soupira en s'installant puis se perdit dans ses pensées. Si ça ne tenait qu'à ses parents, il prendrait des cours chez lui afin qu'il puisse être en permanence sous leurs yeux, mais YoonGi a osé défier leur autorité en proclamant qu'il fallait grandir et donc, à affronter le monde, ou du moins voir de plus près comment il marche après toutes ces années à se tenir loin de lui. Il a réussi à les convaincre, et puis certains des médecins qui le suivent étaient du même avis : qu'après des années d'études théoriques, il fallait à présent les appliquer sur terrains. Il en fut enthousiaste : aller aux lycées, se faire des amis, vivre une vie comme celle des gens de son âge ou du juste, le semblant. Pourtant, cela n'était pas conforme avec ce qu'il a imaginé et il en fut vite déçu : les autres ne montraient la moindre sympathie malgré tout ce qu'il fait... En fait, YoonGi affirmerait presque qu'en fin de compte il serait mieux de rester chez lui mais donner raison à ses parents, il ne voulut pas.
Et depuis quelques semaines, son train de vie a radicalement changé. La violence scolaire est tombée sur lui. Oh, ces violences se résumaient à des petites bousculades, des paroles intimidantes, et récemment, des demandes d'argents. De l'argent, il en avait alors il leur donnait, et curieusement, il le faisait même avec bonne volonté. YoonGi savait que simplement quelques phrases à sa mère et il serait transféré dans un autre Lycée ou se retrouverait confiné chez lui, alors il se taisait car il voulait voir jusqu'où cela ira. Arrivé chez lui, il répéta les gestes habituels depuis des années : s'observer devant un grand miroir. Il ne nota aucun changement et se rhabilla et tel l'élève consciencieux qu'il est ; il s'attaqua à ses devoirs.
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Au cœur de la fiction (Seconde partie) ⁿᵃᵐᵍⁱ
Hayran KurguOeuvre regroupant des petites histoires sur Kim NamJoon et Min YoonGi.