Grosse Fille Humilié A Belle Femme Milliardaire Admirée

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Le médecin sort et Farès et moi nous regardons avec un petit sourire.

- Farès : Qu'est-ce que tu pense de François ?

- Mais Farès !! Ce prénom est ancien! Je veux un prénom récent, original et qui en jette comme ses parents.

- Farès : Fabrice?

- Mais!? Pourquoi tous les prénoms que tu donnes sont nuls du genre Fabrice? Tu veux des crêpes ? J'aurai l'impression que ce sera un vieillard qu'on va appeler et non notre mignon bébé.

- Farès : Depuis ton accouchement j'ai observé que tu parlais beaucoup trop.

- Ce n'est pas comme si je ne parlais pas avant hein *en levant les yeux en l'air*

- Farès : Kénäel?

- Oui j'aime trop ce prénom !! il est magnifique comme mon bébé.

- Farès : Tu deviens narcissique et ce n'est pas TON bébé mais NOTRE bébé.

- Ouais ouais...

J'appuie sur le bouton rouge pour appeler le docteur. Quand le docteur entre il me demande directement si j'allais bien.

- Oui je vais bien nous avions trouvé un prénom pour notre bébé.

- Docteur : Alors qu'est-ce que c'est ?

- Kénäel ********

- Docteur : Prénom très beau et ingénieux.

- Merci!

- Farès : Hé! Le compliment me revient, c'est moi qui est trouvé son prénom.

Je ris légèrement et regarde mon bébé dormir.

- Je vous présente Kénäel *******

- Docteur: Je vais de ce pas l'enregistrer.

Il ressort de la chambre et je prends le bébé qui était dans les bras de Farès. Je l'embrasse sur le haut du crâne et le regarde en souriant. Il a les yeux bleus de son père, ce qui me plaît fortement. Même si son accouchement n'a pas eu de complication, il a un poids normal.

- Farès : Je pense que nous devions avancer la date de notre mariage.

- J'aimerai vraiment me marier avec toi le plus vite possible.

Il me sourit, se lève et vient m'embrasser alors que la porte s'ouvre sur ma famille, la sienne et nos amis. Les retrouvailles avec la famille de Farès ont été émouvantes. Nous avons tous discuté longtemps et nos deux familles s'entendent très bien et j'ai été heureuse de voir mes amis que j'ai duré de voir.

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Je marche lentement au bras de mon père dans l'allée de la grande église où sont assis ma famille, mes amis et celles de Farès, mon futur époux. Je porte une longue robe princesse très bouffante couverte de dentelle brillante. Elle comporte un bustier avec un décolleté. Je regarde Farès arrêté en face du maire qui doit souder notre mariage. Je m'arrête devant Farès et embrasse mon père sur la joue qui repart s'asseoir sur une chaise à côté de ma mère.

Farès me prend dans ses bras et me sursurre à l'oreille que je suis magnifique.

Nous nous retournons vers le maire pour commencer la cérémonie.

- Maire: Comment allez-vous mes chers mariés?

- Farès et moi: Nous allons très bien et vous monsieur ?

- Maire: Je vais parfaitement bien... nous pouvons donc commencer, Mademoiselle.....voulez vous prendre soin de mr...., le chérir, l'aimer, le combler pour le meilleur et le pire quelqu'en soit les épreuves de la vie?

- Oui je le veux Mr. Le maire!!

- Maire: Mr..... voulez vous prendre soin de mademoiselle....la chérir, l'aimer, la combler pour le meilleur et le pire quelqu'en soit les épreuves de la vie?

- Farès : Euh...

Il se retourne pour me regarder et regarde la foule puis le bébé de trois mois qui est dans les bras de ma soeur. Les larmes me montent immédiatement aux yeux. Il ne l'aime pas, il ne veut pas se marier avec moi, il ne m'a jamais aimé. Je me tourne vers lui et le vois me regarder. Je le regarde et mes larmes coulent immédiatement sur mes joues. Il se retourne vers le maire qui a l'air gêné de la situation.

- Farès : Oui je le veux!!!

- Si tu ne veux...pas te marier avec...moi*je sanglote* ne te force pas...si tu ne m'aimes pas..

- Farès : Bien-sûr que je t'aime!!

- Mais pourquoi tu as...hésité?

- Farès : Je n'ai pas hésité, je voulais juste faire une blague mais je vois qu'elle est de mauvais goût et mal placé.

Je le tape sur l'épaule en y mettant toute ma force. Il rigole et moi mes larmes continuent de couler. J'ai eu peur, je croyais que l'amour de ma vie ne m'aimait plus.

Il nettoie les larmes avec ses doigts et approche ses lèvres de mon oreille.

- Farès : Je suis désolé mon amour, je t'aime.

- Maire: Hum hum *avec un petit air gêné qui fait rire la salle*

- Maire: Par les pouvoirs qui me sont conférés, je vous déclare mari et femme, vous pouvez embrasser la mariée.

Nous nous approchons chacun de l'autre et nos lèvres se retrouvent rapidement pour une danse endiablée jusqu'à ce que je me rende compte du lieu où nous sommes et je le détache  directement de lui .

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Le reste du mariage a été exceptionnel et Farès n'a pas fait de blague de mauvais goût comme il l'avait fait à la mairie. Nous nous sommes ensuite changés et sommes montés dans mon jet pour, direction Maldives pour notre lune de miel.