55| Repas monstrueux.

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EH DÉGÂT DÉGÂT DÉGÂT PEGI 18 SUR NOUS MAIS NOOOON😔🔞!

J'oublie la politesse carrément. Buenos días en ce mois dédié pour les latinos🕺🏽

Je préviens au cas où mes biches, en aucun cas vous êtes obligé de lire ce type de passage si ça vous gêne ❤️.

Et pour le reste, comme on dit, ça va être un chapitre monstrueux🍵.

Plus qu'un seul chapitre et bye...








A Ï D A N




Un anniversaire.

Un anniversaire parfait.

Il y'a douze ans de cela, je ne savais même pas ce qu'était un vrai anniversaire. Le mien consistait à rester enfermé toute la journée dans un débarras, et a souffrir en silence avec des tonnes de bleus qui longeait mon dos.

Ce n'est qu'en allant à l'école, et en écoutant les conversations des autres enfants, que je me suis rendue compte qu'une fête d'anniversaire ne se résumait pas qu'à de la souffrance.

Alors pendant des années, je m'empêchais d'avoir des anniversaires, parce qu'au fond de moi, j'étais toujours ce petit garçon qui pensait qu'il ne méritait rien de plus que de la violence et des coups.

Tony avait essayé plein de fois de me faire des fêtes d'anniversaire, mais je refusais constamment. Je ne faisais que de penser à ma mère qui allait être en me disant «Espèce de sale merdeux, tu crois vraiment que tu mérites un anniversaire?» suivi des vingt coups de ceintures qui s'abattent sur ma peau. Je n'arrivais pas à me dire que moi, le petit merdeux, je méritais une fête, même dix ans après.

Ma sœur et Rick étaient parties chez des amis, pour la soirée avec les enfants. À ce qu'il paraît, ces gosses ont la côte.

C'était une bonne après-midi et une bonne soirée, moi qui pensait que ça allait être malaisant, je me trompais totalement. Une douce voix me réveille de mes pensées, et ma respiration se coupe en apercevant le petit microbe qui me sert de copine.

-À quoi tu penses, papí?
Demande Svetlana.

Elle vient de sortir de la douche et elle sent terriblement bon. Juste entourée d'une serviette, elle se dirige vers l'armoire. Je la regarde marcher vers l'armoire, et lorsqu'elle arrive devant celle-ci, elle croise les bras sur sa poitrine.

-Non mais je rêve! C'est pas parce que mister fait la taille d'une tour, que t'es obligé de mettre mes vêtements en haut!

Ses cheveux bouclés encore humides retombent parfaitement en bas de sa poitrine. Sa serviette, qui ne tenait qu'à un seul pli, moule les courbes magnifiques de ses hanches. Vu que ses bras sont en l'air, sa serviette remonte encore plus.

Regarde simplement ses cheveux Aïdan.
Que ses cheveux.

Elle continue de se plaindre, pendant que je reste hypnotisé par sa silhouette. Elle se retourne soudainement vers moi, et je fais mine de regarder l'armoire. Elle va sûrement me prendre pour un fou, mais je préfère ça, qu'elle me prenne pour un pervers.

SIN SENTIMIENTOS.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant