SIN SENTIMIENTOS.

22| Règles brisées.

TW: AGAIN🔞🌶

«Les règles ont été crées pour être brisées.»

S V E T L A N A

-Hors de question! Imagine qu'on me kidnappe? Imagine que tu m'as tendu un piège!
Dis-je en regardant la maison devant moi.

-Si je t'ai tendu un piège, sache qu'il est trop tard pour reculer.

La maison des Gonzales ressemblait à une vrai villa. J'étais impressionné par la maison de Malia, mais celle-ci...je crois que c'était un autre level de richesse et de matérialisme. Je reste derrière lui pendant qu'il ouvre sa porte.

-Tu as peur?
Questionne t-il alors que je ne bouge pas.

Je reste figé devant la porte en observant le peu que je vois. L'entrée est immense, et j'aperçois des escaliers avec une rambarde dorée. On dirait la maison dans le prince de Bel Air.

-Qui me dit que tu ne vas pas me tuer?

-Svetlana, si je devais le faire, je l'aurais fait depuis bien longtemps.
Informe t-il en me regardant.

C'est encore plus terrifiant de savoir qu'il en était réellement capable. Qu'il avait déjà tué d'autres personnes, comme les hommes de mains de son père.

Mes pieds sont toujours sur le paillasson et je n'ose pas rentrer.

-Mais tu dois le faire. Me tuer. Mon Dieu, pourquoi je suis venue ici!
M'exclamais-je en posant ma main sur mon front.

Il met ses mains dans ses poches et me regarde comme si j'étais une imbécile.

-Je ne vais pas t'attendre cent ans.

-Mais...j'ai peur de ce qu'il y'a derrière la porte.

-De quoi as-tu si peur?
Demande t-il.

-De vous.

-Quién?

J'aime l'entendre parler espagnol, au fait. Tout comme j'ai aimé...ce qu'on a fait dans le gymnase. Je n'avais aucun regret, mais on faisait comme si cela ne s'était pas produit. Peut-être qu'on s'était rendu compte que c'était une grosse connerie.

C'était juste un plaisir éphémère. Le simple goût d'une activité interdite.

Je n'assume pas vraiment d'avoir peur, alors mes yeux se posent sur mes chaussures.

-De...La Estrella.

-Oh...qu'elle est mignonne. Tu ferais mieux de te bouger le cul, le devoir ne se fera pas tout seul!
Crache t-il.

Moi qui a cru qu'il allait avoir de la pitié pour moi, ce n'était pas gagné. Il s'approche de moi et je me recule.

-Qu'est-ce que tu fais?
Dis-je en faisant un pas en arrière.

-Tu ne me laisses pas le choix, mocosa.(Morveuse)

Ses mains saisissent mes hanches et je me retrouve sur ses épaules comme un sac à patates. Je crois qu'il est vraiment entrain de me kidnapper. C'est ça, ça doit ressembler à ça leurs techniques de kidnapping dans ce gang.