Deïda: Ils n'ont pas voulu de lui [II]

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Hatem: me regarde pas comme ça.

Moi: comment ?

Lui: tu sais très bien comment.

Moi: je sais rien du tout. En souriant

Il se lève, retire ses vêtements sous mes yeux et entre en caleçon sous la couette.

Lui: bonne nuit. En passant un bras autour de ma taille.

Moi: comment ça bonne nuit ?

Lui: t'a dis que t'étais fatiguer.

Moi: Hatem mon corps te demande là.

Lui: il demande quoi ?

Moi: tu veux jouer ?

Lui: il demande quoi ?

Moi: il te demande toi.

Lui: il demande quoi de moi ?

Moi:

Lui: je veux t'entendre, dis moi ?

Moi: viens me faire l'amour Hatem.

Lui: ah ! donc tu la voulais ?

Moi:

Lui: t'aime trop ça.

Moi: tu dis ça toi ?

Lui: moi tu sais déjà, je peux te faire l'amour pendants des heures.

Moi: on a toute la nuit. Dis-je en montant sur lui

Lui: tu pourras pas marcher après pour aller à ton rendez-vous de demain.

Moi: mdr ah ouais ?

Lui: ouais, j'suis pas d'humeur à faire l'amour se soir, si je te prend je vais te faire crier Deïda.
Tu ma manquer.

Moi: tu parlais pas autant, t'agissait avant.

Lui: mdrr allez viens là toi.

Il m'a fait basculer à côté et c'est mis au-dessus de moi puis à retirer mon pyjama et mes sous-vêtements.

Il a lever une de mes jambes puis c'est mis à couvrir mon pied de baiser en remontant le long de ma jambe.

Sa tête était entre mes jambes et ses mains sur ma poitrine, moi je me tordais de plaisir à chaque contact de sa langue avec mon intimité.

Sa langue remonte mon corps du nombril aux tétons en s'arrêtant dans mon cou. Je noue mes jambes autour de sa taille et le serre contre moi.

Hatem: tu la sent ? Elle te veux aussi.

Très clairement ont a passer la moitié de la nuit à faire (l'amour). Et c'est pas lui, c'est moi ! J'en voulais encore et encore.

[...]

Le lendemain je me réveille en sursaut.

Moi: Hatem, Hatem -en le secouant- lève toi !

Hatem:

Moi: sa toque depuis tout à l'heure !

Lui: hm..

Moi: tu crois que c'est la police ? -dis-je paniquer-

Lui: qu'est-ce tu racontes toi.

Moi: va voir !