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Une fois la porte claquer j'ai descendu les escaliers deux par deux, je voulait rapidement être dans ma voiture pour pouvoir pleurer comme une bouffone.

Et c'est se que j'ai fait, j'ai fondu en larme telle une madeleine une fois ma portière fermer. J'étais sur de ma décision, elle est certes, douloureuse mais c'est la meilleure chose que je puisse faire. J'en avait marre, marre d'essayer de sauver cette relation. Tout était fait pour qu'ont ne soit heureux qu'un court instant, au bout d'un moment stop. Pleurer à tout vas était devenu une habitude alors qu'avant pour que je verse une larme fallait y aller fort.

Il allait être papa et moi j'allais continuer ma vie.
J'ai 19 ans et ne sait presque rien de la vie et pourtant j'avais l'impression d'avoir tout vu, tout vécu. J'étais juste fatigué, triste et lassé mais bon je n'avais pas de regret car j'estime avoir tout donner..

Une fois devant la maison j'ai sécher mes larmes et je suis rentrée. Mon père m'a regarder d'un air surpris.

Papa: t'est pas aller chez Imani toi pourquoi t'est déjà là me demande t'il

Moi: non j'ai fait demi tour, elle est pas là

Papa: ouais ouais. En me soupçonnant

Je suis direct monter dans ma chambre, j'ai enfiler mon pyjama et j'me suis jeter dans mon lit pour pas changer. Quelque minutes après ma mère est venue toquer et elle est rester debout devant l'encadrement de la porte.

Maman: ça va ?

Moi: ouais ça va

Elle: tu est pas aller chez Imani je suppose, tu étais avec Hatem ?

Moi: je l'est quitter.

Elle est entrée et a pris le soin de refermer tout doucement la porte puis c'est appuyer contre celle-ci en me regardant l'air désolé.

Elle: c'était la meilleure chose à faire, c'est douleur je sais mais tu verras crois moi c'était la meilleure chose à faire Deïda.

Moi: je pense aussi

Elle: ça va aller, ça va mettre du temps mais ça va aller tu verras et puis je suis là moi. Je te laisserai pas te morfondre comme ça ! On va sortir, faire des trucs de filles comme avant.

Moi: je sais que ça va aller, t'inquiète c'est rien

Elle: hum, bonne nuit. Dit-elle avant de sortir.

Les jours suivant on été assez éprouvant, j'avais pas envie de bouger de mon lit sauf pour aller à la boxe.

J'étais h24 coller à mon tel, particulièrement sur snap en attendant désespérément qu'il snap un truc, même ses pieds ! Déjà qu'une temps normal c'est quelqu'un qui snap rarement bah là.. c'était quasiment rien ! Alors j'ai décider de le supprimer, de supprimer son numéro également.

AÏDA

Je fesais à manger dans la cuisine car se soir on recevait de la famille quand Sajid est entrée et c'est adossée contre le frigo le regardant avec un air triste.

Moi: qu'est-ce il y'a ? Demandai je

Sajid: t'est belle me dit-il

Moi: c'est gentil dis-je en souriant

Lui: Deï te ressemble trop

Deïda: Ils n'ont pas voulu de lui [II]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant