Deux monde, un amour (Feitan x OC)

Chapitre 54

Malia était dans un magasin de vêtements, le premier trouvé, et chercha une robe potable pour ce soir, même pas le temps de faire du tourisme à cause d'Uvogine. Elle soupira, deux robes dans les mains, Malia hésitait entre une robe violette avec les épaules dénudée, des fleurs violettes au niveau de la poitrine, une jupe opaque arrivant en haute des genoux et surmonter d'une jupe transparente au même niveau devant et descendant au mollet derrière et une robe vert foncé également les épaules dénudée au haut en dentelle et la jupe arrivant en haut des genoux, elle ne savait pas laquelle prendre, mais ne pouvait pas trop faire la difficile avec le temps qu'il lui restait. Malia alla quand même les essayer rapidement en cabine quand même.

Mali se déshabilla et essaya la robe verte en première, elle aimait bien le rendu en se regardant dans le miroir de la cabine, tournant sur elle-même dans cet espace exigu, elle se déshabilla une nouvelle fois pour mettre rapidement la robe violette, faisant de même qu'avec la verte et tournant sur elle-même et se regarda, elle ne pensa pas que cette robe ferrait l'affaire pour cette mission, même si elle la mettrait surement dans son sac et la garderait, l'autre serait plus adapté à la mission et retira la violette.

Elle remit son jean après ses essayages, les robes posées sur le tabouret de la cabine. Malia fut prise au dépourvu quand elle sentit un courant d'air passé, le rideau de la cabine bouger un bref instant et en se retournant, elle croisa des yeux violets qui la firent reculer contre le miroir froid, la faisant frissonner alors qu'elle était encore en soutif.

- F-Feitan ? Elle eut le rouge aux joues directement, rien pour cacher sa poitrine couverte seulement de son soutif, Feitan la détailla de ses yeux perçants, la faisant encore plus frissonner en plus de leur proximité. Qu'est-ce que... Elle n'eut pas le temps de finir sa question.

- Tu parles à Hisoka ? Ne put s'empêcher de demander Feitan, Malia s'étonna de sa question.

- En quoi ça te regarde ? Demanda Malia, le visage toujours rouge, essayant de cacher avec ses bras.

- Répond juste. Lui répondit Feitan, visiblement irriter de sa réponse à sa question par une autre. Malia le regarda un instant, un peu perdu, se demandant ce qu'il était en train de lui faire.

- Je te comprends pas. Finit-elle par dire après quelques secondes de silence. Feitan serra les dents et claqua sa langue avant de fondre sur elle, posant ses lèvres sur celle de la blanche en face de lui.

Malia écarquilla les yeux face à son action soudaine qui la laissa encore plus dans l'incompréhension, il la regarda dans les yeux avant de reculer légèrement sa tête, mais restant proche d'elle, laissant son souffle s'échouer sur ses lèvres. Feitan esquissa un sourire en coin avant de recommencer à l'embrasser et cette fois-ci, elle répondit à son baiser, se qui fit un peu plus sourire le numéro deux de la brigade qui l'attrapa par sa taille nue, se rapprochant d'elle et mordilla sa lèvre inférieure pour demander l'accès avec sa langue, elle accepta et les deux langues s'entremêlèrent ensemble pour une danse qui donna des papillons dans le ventre à Malia.

Feitan s'arrêta encire une fois, gardant la même courte distance entre leur visage. Le sourire en coin de Feitan toujours là et l'incompréhension de Malia également, regardant Feitan dans les yeux, la première fois depuis la réunion d'il y avait à peine une heure.

- La violette te va mieux. Le visage de Malia prit encore une teinte tomate, plus qu'avant et Feitan lâcha sa taille et s'éloigna d'elle avant de sortir de la cabine d'essayage le plus tranquillement du monde.

Malia resta encore figée un instant, reprenant sa respiration pendant que son cerveau essayait d'analyser la situation, toujours en soutif dans sa cabine. Il m'a vu me changer ? se demanda-t-elle en levant les yeux vers le rideau opaque devant elle. Le magasin était désert et heureusement. Elle se reprit et continua ce qu'elle faisait avant qu'il n'arrive, c'est-à-dire s'habiller pour sortir de la cabine une fois ses chaussures au pied.