Les Nouveaux Amants - 7

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Mes trois amants étaient partants pour un deuxième round, mais tous avaient besoin de souffler un peu. Cependant, on ne me laissa pas me nettoyer.

- Tu es plus bandante comme ça, me dit Tolga. J'aime voir tes trous déborder.

Engin avait cependant une requête à faire à Tolga (et non pas à moi). Il demanda à me baiser seul, pendant que les autres regardent. Tolga, qui agissait devant ses amis comme s'il était réellement mon mâle, me jeta un regard discret. Comme il vit que je ne protestais pas, il accepta.

Il me mit sur le ventre et commença à nouveau à s'enduire la queue de lubrifiant, ainsi que ma raie.

- Tu devrais y aller direct, l'encouragea Tolga, elle est tellement remplie de foutre que ça devrait glisser sans difficulté.

Je lâchai un long gémissement alors qu'Engin s'enfonçait lentement en moi. Mettant ses mains sur mes fesses pour m'empêcher de bouger, il commença à me donner de puissants coups de reins, comme s'il cherchait réellement à détruire mon cul. Il me maltraita ainsi plus de quinze minutes, ne me laissant aucun répit malgré mes cris. Finalement, il mit debout sur le lit, me prit par les cheveux pour me retourner le visage. Il lâcha de quatre jets de sperme qui s'écrasèrent sur mon cou et ma poitrine. Reprenant son souffle avec peine, il essuya sa queue sur mes seins avant de s'en aller en remerciant Tolga.

- Va te laver sale pute, me cria Tolga. Je ne peux pas te baiser dans cet état, tu es trop crade.

C'était presque avec regret que je vis Engin quitter la chambre, c'était la meilleure queue.

J'eus à peine deux minutes pour me laver que déjà Can me pressait contre le mur, cherchant sa route vers mon intimité.

- Tu es la plus grosse salope que j'ai jamais vu de ma vie, me hurlait-il fiévreusement à l'oreille, je vais m'assurer de te baiser comme il se doit.

Il se lança dans une baise effrénée, me tirant en arrière par les cheveux pendant qu'il me culbutait. Il se retira et Tolga vint prendre sa place.

- Tu sais que cette salope est mariée ? lança-t-il à Can pendant qu'il me baisait brutalement.

- Tu m'as dit oui, répondit son ami, ça doit être dur d'avoir une femme qui baise tout ce qui bouge.

- Oui, elle n'arrête pas de le faire cocu.

Je n'avais pas dit à Tolga que mon mari était consentant pour ce genre de pratiques car je savais qu'ils trouveraient ça bizarre. Le libertinage était une notion qu'il ne semblait pas comprendre, la tromperie en revanche était totalement compréhensible pour lui.

Ils me ramenèrent dans la chambre et me mirent à quatre pattes sur le lit.

- Voilà un petit quelque chose pour ton mari, me dit Tolga vicieusement.

Il me pilonna à nouveau pendant quelques secondes et se vida en moi dans un grand râle. Can prit ensuite sa place et fit de même. Je sentis ma chatte déborder lorsque ce dernier se lâcha en moi à son tour.

- Et voilà également mon cadeau pour ton mari, dit-il avec satisfaction.

Il contourna le lit pour se faire nettoyer la queue.

Assise au bord du lit, je vis mes deux amants s'habiller en vitesse et disparaître. J'étais comblée. Prenant mon téléphone, j'envoyai un message à Alex pour lui dire que j'avais fini et que ça s'est très bien passé.

Je suis allée me laver ensuite, je commencé à me rhabiller.

« Oh le fils de pute ! ».

Je pris mon téléphone et j'ai appelé Tolga, il décrocha directement.

- Tu es un enculé ! Lui criai-je au téléphone.

- Quoi ? Qu'est-ce qui te prend ?

- Tu as quoi ? Dix ans d'âge mental.

- Qu'est-ce qu'il y a Sarah ? Protesta-t-il énervé. Qu'est-ce que j'ai fait encore.

- Tu trouves ça drôle de me voler ma culotte ?

Il resta un moment silencieux.

- Réponds moi sale con !

- Mais je n'ai rien fait je t'assure.

- Mais oui c'est ça, tu ferais mieux de me ramener ma culotte tout de suite sinon je te coupe les couilles la prochaine fois que je te vois.

- Mais je ne l'ai pas volée je te dis, je suis pervers d'accord mais je ne joue pas à ça.

- Alors c'est peut-être ton abruti de copain.

Je l'entendis poser la question à son ami.

- Non, ce n'est pas lui non plus, fini-t-il par me dire.

- Et tu lui fais confiance ?

- Mais oui Sarah, ne sois pas comme ça. Tu es sûre que tu as bien cherché ?

Je me mis à chercher dans la pièce.

- Oui je suis sûre, dis-je avec colère.

- Alors la seule explication c'est que c'est Engin qui l'a pris.

Je restai un moment, silencieuse.

- Il est le genre à faire ça ?

- Compte tenu de comment tu es, ce n'est pas impossible. Peut-être qu'il voulait garder un souvenir de toi.

- Oh ta gueule Tolga.

Je raccrochai.

Les Passions de Sarah - Tome VOù les histoires vivent. Découvrez maintenant