Les Passions de Sarah - Tome V

Vassilis - 3

Beaucoup m'ont demandé pourquoi je n'ai pas mentionné toutes les aventures que j'ai vécues. La vérité est que j'ai eu beaucoup plus d'aventures que celles que j'ai choisies de raconter dans ce livre. Cependant, j'ai décidé de ne parler que des personnes qui ont réellement eu un impact sur ma vie, celles qui ont laissé une empreinte durable, positive ou négative, mais marquante. Le reste n'était que des coups d'un soir, des flirts éphémères, des moments fugaces qui, bien que parfois intenses, n'ont eu aucune importance réelle pour moi. Ce n'était que des distractions, des plaisirs passagers, sans profondeur ni signification durable. Je ne voulais pas alourdir le récit avec des détails répétitifs qui auraient pu rendre le livre ennuyeux ou redondant. Ce livre est avant tout l'histoire de mes relations significatives, de celles qui m'ont façonnée, pour le meilleur ou pour le pire.

J'avais accepté l'invitation de Vassilis à passer des vacances chez lui à Héraklion après une certaine hésitation. Ce n'était pas le charme de cet homme qui m'avait convaincue, mais plutôt l'idée de céder à une envie purement charnelle, dénuée de toute complication émotionnelle. Un an auparavant, j'avais déjà visité cette ville avec Alex, et j'en gardais un souvenir vivace. Les ruelles pittoresques, les vestiges historiques, et la mer d'un bleu profond avaient laissé une empreinte indélébile dans mon esprit. Mais cette fois-ci, je revenais non pas en touriste, mais en amante délibérée, prête à assouvir mes désirs sans m'embarrasser des sentiments.

Dès mon arrivée, Vassilis se montra courtois, avec ce mélange d'attention et de retenue que j'avais souvent observé chez les hommes qui cherchaient à plaire. Au lieu de me baiser sauvagement comme je m'y attendais et comme il aimait faire, il insista pour me faire découvrir quelques recoins secrets de la ville, des endroits qu'il prétendait être ignorés des touristes. J'acceptai, non pas par intérêt pour ces lieux, mais parce que je savais que cela conduirait inévitablement à ce que je recherchais vraiment : une nuit de plaisir débridé.

Nous nous promenâmes dans les ruelles étroites de la vieille ville, là où les murs de pierre semblaient murmurer des histoires vieilles de plusieurs siècles. Vassilis me guida vers une petite place cachée, entourée de bougainvilliers en fleurs, où trônait une fontaine antique. L'eau y coulait doucement, apaisante, et l'endroit était désert. Il me raconta qu'il venait souvent ici pour réfléchir, pour se ressourcer. Je l'écoutais distraitement, peu intéressée par ces confidences. Pour moi, ces moments n'étaient qu'un prélude nécessaire, une étape que je devais supporter avant d'atteindre ce que je voulais vraiment.

Alors que le soleil déclinait à l'horizon, nous nous rendîmes enfin à sa maison familiale, une villa traditionnelle perchée sur les hauteurs, offrant une vue imprenable sur la mer Égée. La maison, simple mais élégante, semblait être imprégnée d'histoire, de traditions familiales. Vassilis me raconta que cette maison appartenait à sa famille depuis des générations, mais ces détails glissèrent sur moi sans vraiment m'atteindre. Mon esprit était ailleurs, focalisé sur ce qui allait suivre.

- On ne reste pas dans ton appartement alors ? Demandai-je.

La tension entre nous monta progressivement. Il y avait dans ses gestes, dans sa manière de me regarder, une retenue que je trouvais presque agaçante. Je n'avais aucune intention de jouer à ce jeu de séduction plus longtemps. C'était simple : je voulais du sexe, rien de plus. Je ne ressentais aucune affection pour lui, juste une attirance physique que je comptais satisfaire sans m'encombrer de faux-semblants.

Je me rapprochai de lui, prenant l'initiative. Nos corps se retrouvèrent enfin, sans plus de détours, dans une étreinte où chaque geste, chaque mouvement, était une expression brute de désir. Nous nous déshabillâmes rapidement, la chaleur de nos corps effaçant toute hésitation. Vassilis était passionné, presque vorace, et je me laissai aller, répondant à ses ardeurs avec une ferveur égale. Il n'y avait rien de romantique dans notre union, seulement un besoin mutuel de se consumer dans l'instant.

- Mes parents sont absents, me répondit-il. Je pensais que ça te plairait davantage de passer tes vacances ici que dans mon appartement.

- Tu sais Vassilis, moi tant que tu me baises bien, je m'en fous du cadre.

- Tu es vraiment une salope.

Il m'emmena dans sa chambre et me poussa sur lit tout en commençant à se déshabiller.

- Aller déshabille toi vite salope, je vais te défoncer la chatte tu vas voir.

Je connaissais les envies de Vassilis par cœur. Je me suis déshabillée et je me suis mise à genoux devant lui pour le prendre en bouche. Il lâcha un râle de plaisir alors que j'enfonçais son sexe gonflé dans ma bouche. Je lui fis ma meilleure fellation avant qu'il me mette comme toujours à quatre pattes devant lui et me baise longtemps m'arrachant cris et orgasmes.

Sans prévenir, il se lâcha en moi, inondant ma chatte de sa semence chaude.

- Voilà salope. Aussi longtemps que tu resteras à Héraklion, tu seras mienne.