Le lendemain, je rappelai Vassilis. La rencontre fut discrète, dans un petit café loin des regards, où nous pûmes échanger en toute tranquillité. L'alchimie entre nous était indéniable, et cette tension, mêlée d'interdits et de désir, ne fit qu'amplifier mon excitation. Une heure plus tard je le suivais chez lui et je sentais mon corps brûler d'excitation.
Vassilis, aussi galant et aussi respectueux qu'il l'était, s'était transformé en bête sauvage. Après quelques baisers, il me déshabilla et me mit à quatre pattes sur le lit devant lui et sans préliminaires il enfonça brutalement un doigt en moi.
- Tu es trempée, c'est moi qui te fais cet effet ?
- Oh oui Vassilis, j'ai envie de toi depuis hier. Je suis impatiente.
Je le sentis se déshabiller à son tour derrière moi.
- Je vais bien te faire hurler, je suis content que ton mari ne soit pas là, je crois que ça aurait été trop violent pour lui.
Je sentais son gland qui se frottait à mon intimité. C'était si bon. Il s'enfonça en moi en lâchant un grand râle de plaisir.
- Oh, doucement, protestai-je.
- Ta gueule salope. C'est bien pour ça que tu es venue non ?
Ses mains agrippant ma hanche, il se mit à me baiser brutalement m'arrachant de grands cris.
- Je vois que tu aimes ça, me dit-il. Profites-en, je vais salement te baiser.
- Je suis à toi, répondis-je, détruis-moi.
Il s'acharna encore plus en me baisant avec plus d'ardeur.
- Quelle trainée, je vais te montrer comment on baise les putes comme toi. Tu vas avoir du mal à marcher après ça petite putain.
Je gémissais tellement que j'étais incapable de lui répondre, je me contentais de subir ses assauts et de profiter.
Il me baisa ainsi pendant quinze longues minutes, dans la même position, me faisait jouir à deux reprises, puis il se retira et vint devant moi. Ce fut là que je compris qu'il était vraiment bien monté. S'enfonçant dans ma bouche, il lâcha plusieurs giclées de sperme.
- Avale tout salope sinon tu vas avoir affaire à moi.
Prise au dépourvu, je faillis m'étouffer en avalant sa semence. Il se laissa tomber sur le lit à côté de moi.
- Tu es une pute incroyable.
- Merci, répondis-je.
- Tu n'es pas pressée j'espère ?
Je fronçai les sourcils.
- Pourquoi ?
- Parce que si tu n'es pas pressée de revoir ton mari, j'ai envie de profiter encore de toi. Surtout de ta bouche.
Je réfléchis un instant. Alex allait sûrement s'énerver si je m'attardais trop et je ne voulais pas de conflit avec lui pendant nos vacances.
- Ça dépend, répondis-je, dans combien de temps tu pourrais remettre ça ?
Il se leva du lit.
- Le temps de m'hydrater et de souffler un peu, dix minutes disons.
- D'accord dans ce cas.
Après son orgasme, il était redevenu aussi doux qu'il l'était avant que nous n'arrivions chez lui. Et comme prévu, dix minutes plus tard, il était à nouveau une bête.
- Maintenant je vais te baiser juste pour mon plaisir, tant pis si tu ne profite pas.
Il me mit à genoux devant lui et s'enfonça dans ma bouche en me tenant le visage par les deux mains. Il défonçait ma bouche avec autant d'ardeur qu'il défonçait ma chatte, me faisant monter les larmes aux yeux.
Après quoi, il me mit à nouveau à quatre pattes devant lui et se mit à me pilonner comme pendant notre première fois.
- Ton mari aime que tu te fasses baiser par d'autres hommes n'est-ce pas ? me dit-il en me baisant impitoyablement.
- Il aime surtout participer à la baise, répondis-je péniblement.
Il me claqua violemment les fesses.
- Et bien, ça ne sera pas avec moi, je ne partage pas. Surtout les salopes de ton genre, je préfère les garder pour moi.
- Je suis à toi.
Il semblait de plus en plus hargneux dans sa manière de me baiser, m'arrachant toujours autant de cris et d'orgasmes.
Bientôt, il me mit à nouveau à genoux devant lui et se masturbant devant moi, il m'envoya à nouveau quelques giclées de sperme sur mon visage en râlant et en prenant soin d'étaler son sperme sur mon visage.
- Ton mari et toi vous êtes de gros pervers si je ne me trompe pas non ?
- Oui, répondis-je en souriant le visage souillé.
- Et bien, je vais te montrer un aspect de la perversion que tu ne connais pas.
Il ramassa mes affaires ensuite il me prit par le bras, me forçant à le suivre.
- N'oublis pas de prendre ton sac, me dit-il avec un regard pervers alors que nous nous dirigions vers la sortie.
J'eus à peine le temps de prendre mon sac avant qu'il ne me mette dehors, toute nue et toute souillée.
- Tu reviens quand tu veux ma belle. J'espère aussi sans la permission de ton mari.
Et il me referma la porte au nez.
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Les Passions de Sarah - Tome V
Roman d'amourAprès s'être libérée de ses démons, Sarah décide de renouer avec son mari, Alex, et de quitter son amour et amante, Isabela. Pendant un an, sa vie sexuelle est mise en suspens par sa grossesse. Après la naissance de leur enfant, elle propose à Alex...