L'amour ! Le vrais ..

Mele toi de tes fesses ...

Point de vu d'Antoine :

Nous sommes maintenant prêt d'Avignon. Nous avons rejoins Hugo, Marine, Olivier, Jennifer, Blaise et Isabelle. Nous souffrons un peu de la chaleur, l'été aura été chaud ... Alors que nous prenons l'apéro dans le jardin de la maison que nous louons je reçois un sms de Paul.

« Moi : Les gars je suis dégoûté je suis pas avec vous et vous me narguer avec vos photos bande ...
Marine : Ne fini pas Antoine on rigole Elle est vraiment belle la maison ! Dommage que tout cela va être détruit elle connaît bien le coin car elle d'ici
Érika : Pourquoi la détruire ok elle est pas toute jeune mais elle vaut encore la peine de réunir tellement de monde pour de superbe vacances je la regarde en souriant elle est fleur bleu
Marine : Le propriétaire est vieux et peux plus s'en occuper. Mon père me disait qu'elle vaut chèr en travaux
Érika : Dommage car je me sent si bien ici dans ce jardin avec les vignes en décor de fond. Les fleurs un peu partout. Et je me dis que ce grand jardin peux tellement accueillir de belle chose »

On lui sourit et elle se lève pour partir à la cuisine avec marine et isabelle. Je me met à regarder cette bâtisse moi aussi. Elle a raison elle est belle et elle a aussi raison quand je la regarde je m'imagine revenir ici. Je regarde Hugo d'un coup et lui demande si il sait où contacter le propriétaire. Il me donne les infos j'irais voir ça.

Deux jours plus tard :

Je reviens avec les gars à la maison, les filles sont entrain de parler dans le jardin. On a eu pour ordre d'acheter des légumes, j'espère que ça sera les bons ! Je suis bien ici pas de prise de tête, on pense plus à rien et surtout revoir ma douce Erika sourire sans ce soucier derrière. Elle reprends le chemin de l'hôpital dans 10 jours elle stress mais elle est impatiente de retrouver ses collègues et ses mini patients. Alors que je range les légumes j'ai marine qui débarque derrière moi. Je vous avoue qu'elle me fait peur.

« Moi : Oui ?
Marine : Je ne te comprends pas pour tout te dire !
Moi : Euh... ok je la fixe attendant plus
Marine : Tu es un gars bien elle est parfaite pour toi. Tu attends quoi ?
Moi : Alors excuse moi Marine mais là dedans ceci a un sens dis je en mettant mon doigt sur sa tête Mais je suis à l'extérieur et je comprends rien !
Marine : Le mariage Ahhhh Pourquoi tu saute pas le pas ?
Moi : Car je suis pas prêt ! On sort d'une galère. Et le mariage est pas un truc à faire absolument pour être heureux avec la personne qu'on aime
Marine : Oui mais...
Moi : Non ! Et avec tout le respect que j'ai pour toi merci de te mêler de ce qui te regarde ! »

Je suis dur mais j'ai toujours eu en horreur qu'on se mêle de mes affaires. Et qu'on me pousse à faire des choses. Je part dehors Hugo est étonné de me voir énervé lorsque je passe devant lui mais ne cherche pas à savoir. Je m'installe au loin et appelle une personne.

« Moi : Alo !
... : Mon amour ! »

Point de vu de Marine :

Alors que je partais pour m'excuser j'entends sortir du téléphone d'Antoine une voix féminine et lui disant mon amour. Je retrousse chemin direct et part vers Hugo. J'empoigne son bras et le tire à notre chambre sous les regards amusé des autres. Une fois la porte fermée je me décompose.

« Hugo : Tu m'explique ?
Moi : J'ai merde ! Tal lors de votre absence on a parlé de mariage et tout. Et Érika quand elle en parle elle a les étoiles.
Hugo : Oui et ?
Moi : J'ai attrapé Antoine et on va dire que j'ai pas été tendre en lui disant de se réveiller pour épouser Erika
Hugo : Tu ne sais absolument pas te mêler de tes fesses ! Donc voilà pourquoi il est passé énervé à côté de moi. Le mariage est une preuve d'amour mais pas un acte obligatoire ! Et ils viennent de vivre un drame ...
Moi : Je sais mais attends ce n'est pas tout ! Je suis partie le rejoindre pour m'excuser et là il était au téléphone. Et de son truc là est sortie une voix de femme lui disant « Mon amour »
Hugo : Et ?
Moi : Il trompe Eri !
Hugo : Et tu pense que dans l'entourage d'Antoine il y a sa mère, sa sœur, ses grands mères aussi !
Moi : Ouai solidarité de mec la »