47. 💢 Vous Êtes En Chaleur !💢

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Si Florian ne s'attendait pas à ce que Rémy veuille s'amuser ce soir, cela lui fit aussitôt de l'effet. Voir son copain, nu, assit sur le bureau occupé à lui demander de l'aider à se "vider les couilles" n'était pas chose commune, mais ça avait le mérite d'être excitant et surtout d'oublier les soucis.
C'est avec un large sourire que le brun s'avança vers son copain en chuchotant :

- Petit coquin.

Florian posa sa main sur la nuque de son petit-ami avant de l'embrasser langoureusement, sa langue prenant aussitôt contact avec celle du blond. Sa main gauche, elle, se mit à parcourir le torse du jeune homme avec douceur avant de descendre jusqu'à son nombril.
Tout en continuant ses baisers, le brun attrapa ensuite le pénis de Rémy et commença lentement à le masturber.

- Vous avez la queue vachement chaude Rémy Tillemans... Une petite fièvre ? murmura-t-il.

- J'ai très vite besoin d'un docteur, en effet...

Florian se baissa afin d'admirer l'anatomie de son chéri, qu'il connaissait déjà bien. Il prit ensuite l'une de ses testicules en bouche, puis l'autre, puis les deux.

- Vous n'avez pas de problème à ce niveau là... dit-il, l'air très sérieux. C'est une bonne chose.

C'est ensuite sa langue qui examina le prépuce du blond, puis son gland, comme s'il léchait une glace tout sauf glacée.

- J'ai l'impression que le problème se situe ici, monsieur...

- Et qu'est-ce que c'est, docteur ? demanda Rémy en faisant mine d'être inquiet.

- D'après moi, vous êtes en chaleur... Vous avez un liquide blanchâtre voir translucide dans vos testicules qui doit impérativement sortir de votre corps mais ne vous inquiétez pas, j'ai la solution à tout. Je vais pomper tout ça.

Rémy reprit aussitôt un air plus serein, rassuré de savoir qu'il n'avait rien de grave. Le sourire aux lèvres, il fit un clin d'oeil malicieux à son petit-ami, impatient de le voir à l'œuvre à nouveau. Dieu qu'il aimait le voir avec son membre en bouche...

- C'est parti mon kiki... s'amusa Florian.

- Très bien, monsieur.

- Je ne vous parlais pas, je parlais à votre queue...

Le brun se mit à mordiller très doucement le prépuce du garçon avant de lécher la verge sur tout son long. Elle n'était plus chaude mais brûlante d'excitation. Il posa enfin sa bouche dessus et commença lentement ses vas-et-vient grâce auxquelles il put entendre le blondinet respirer plus fort, comme si ses mouvements le soulageait déjà.

Rémy décida de l'attraper par les cheveux et de lui faire gober le tout pendant quelques longues secondes, jusqu'à ce que le brun, la gorge remplie et incapable de respirer lui tapota la cuisse.

- Tu tente de m'assassiner, Tillemans ! s'amusa-t-il en reprenant son souffle.

- Chut, continue mon ange...

Florian reprit son activé - l'une de ses favorites - et se remit à le sucer avec fougue pendant de longues minutes. Quelques instants plus tard, il décida de faire une pause afin de reposer sa mâchoire pendant laquelle il masturba son copain.

- Ça vient... murmura le blond, le souffle court.

Le brun serra sa main plus fort sur la verge en continuant à lui faire du bien pendant quelques secondes encore avant de voir le liquide enfin sortir et s'écouler en partie sur le bureau, entre les jambes de son âme sœur. Une fois Rémy complètement vidé, Florian lécha la moindre trace de sperme sur le meuble avant de lui faire une confidence.

- Rémy... Je... Je voulais te dire quelque chose d'important...

Le blond crut comprendre à l'intonation de sa voix que quelque chose n'allait pas, ce qui le fit stresser immédiatement. Quelque chose s'était mal passé ? Florian n'avait-il pas aimé ?

- Qu'est-ce qu'il y a ? Tu me fais peur... répondit-il.

- Je vais avoir, je pense, un problème au visage, entre les deux yeux... J'ai eu ton sperme dans l'œil et je crains qu'il tombe enceint et accouche d'un troisième œil au dessus de mon nez...

Rémy, soulagé, se mit à rire devant un Florian qui tentait de garder son sérieux, bien qu'il ne gardait qu'un œil ouvert.

- Tu devrais peut-être aller mettre de l'eau sur ton œil, petite patate, non ?

- Oui, j'ai pas envie que ça reste collé ou quelque chose comme ça ! T'imagines si je devrais raconter ça à l'hôpital... Ou à ta mère demain matin !

Florian se rendit rapidement dans la salle de bain afin de soulager son œil, puis revient dans la chambre où son petit-ami l'attendait sur le lit, toujours nu.

- Je vais juste garder mon œil fermé parce que ça pique... dit-il en se déshabillant.

- Désolé, mon sperme n'avait jamais été dans l'œil de quelqu'un, je suis confus... s'amusa le blond. Allez viens, couche-toi et ferme bien les deux yeux. J'ai une grosse envie d'avaler moi aussi...

Florian, couché tranquillement sur le dos avec les yeux fermés, sourit en se mordillant la lèvre. Il ne connaissait pas meilleure sensation que de sentir la bouche de Rémy et la chaleur de son souffle sur son anatomie. Les mains agrippant déjà le drap, il se laissa faire dans ce moment hors du temps.

- Tu as la plus belle queue du monde, Florian Meizers, dit le blondinet en lui palpant les testicules.

Rémy ne put voir son amoureux sourire suite à ses mots, puisqu'il était obnubilé par l'engin bien éveillé qui n'attendait que lui. Il joua un petit moment avec son doigt sur son gland afin de lui retirer le liquide pré-éjaculatoire qu'il posa sur sa langue avant de se mettre à lui faire une fellation avec amour et passion. Lorsque Florian lui éjacula longuement dans la bouche, le blond avala le tout, très satisfait.

- La prochaine fois, j'ai vraiment envie de te prendre pendant des heures, de te mettre des doigts, de te lécher le cul, de te manger tout cru... dit Rémy comme s'il parlait de sa liste de course.

- Hey oh, j'en connais un qui a pas eu assez visiblement, rit le brun.

- Oups, désolé je pensais à voix haute... Non mais vraiment, j'ai envie de t'avaler tout cru, t'es tellement mignon...

- Rémy, tu sais, je t'aime plus que tout au monde, t'es un rayon de soleil et je veux faire ma avec toi mais le cannibalisme, c'est non.

Les garçons se mirent à rire de plus belle avant de se coller l'un à l'autre afin de s'endormir paisiblement. Demain, ils iraient à Pairi Daiza, demain, ils penseraient sans doute à nouveau au fait que Cynthia est malade. Mais ce soir, cette nuit, ils étaient juste deux garçons plus que jamais attirés l'un par l'autre.

 Mais ce soir, cette nuit, ils étaient juste deux garçons plus que jamais attirés l'un par l'autre

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