Chapitre 27

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Pendant ce séjour à l'hôpital, Cristiano se chargea de contacter son comptable ainsi que son banquier pour effectuer les versements, par chance c'est en se rendant au cœur de ville que Cristiano y retrouver René, chantant en pleine rue. Celui-ci interpellé par Cristiano, René pouvait lui transmettre les informations à savoir sur Mario et sa bande de bras cassés. Cependant cela ne pouvait se passer comme prévu.

René et Cristiano étaient entrain de déjeuner sur la terrasse d'un restaurant.

Cristiano : Tu veux dire que c'est toi qui doit remettre en main propre cet argent ?!

René : (Fumant) - Ouais, Mario prend pas les versements tu sais... Lui c'est une mallette rempli de cash qu'il veut.

Cristiano : (Soufflant) - Dans quelle merde tu t'ai foutu ma parole... Je comprends pourquoi ta sœur s'est tirée du Portugal.

René : Hey ! Tu sais pas ce qui se passe là-bas, toi tu es né à Madère, nous ont est restés dans un bled perdu et dangereux de Guarda.

Cristiano : Tu aurais pu éviter la drogue ! Moi aussi où je vivais il y avait des drogués ainsi qu'un tas de choses malsaines... J'ai su me maîtriser et ne pas y toucher.

René : Peut-être que toi tu as réussi mais pas moi !

Cristiano : Soîte... J'ai rendez-vous en fin d'après-midi à la banque pour le retrait en liquide. J'ai contacté également mon pilote pour notre départ imminent au Portugal le plus tôt possible.

René : Tu en a parlé à Andreïa ?!

Cristiano : Un peu... Je ne lui ai pas dit qu'on partait ensemble là-bas.

René : T'a bien fait... La connaissante elle aurait arraché ses perfusions !

De mon côté, je savais que quelque chose se comploter derrière mon dos. Méfiante, je décidais de retirer mes perfusions et d'enfiler un jeans. Mes affaires à la main, je longeais les murs afin de sortir de l'hôpital. Miracle, j'étais arrivée tout juste dans le taxi quand je vis Julia et Cris Jr remonter l'allée.

En arrivant à la villa, il était 18h et personne ne s'y trouvait. Inquiète, j'allais consulter l'ordinateur portable de Cristiano, celui-ci encore en veille.

Pas croyable, dans trente minutes il prends l'avion. Il faut que je me dépêche. Muni d'un sac avec des affaires de rechange, je prenais à nouveau le taxi direction l'aéroport.

19h, l'avion avait déjà décollé depuis 20minutes. René et Cristiano étaient installés confortablement dans les sièges à discuter.

René : Le Portugal... Ça va me faire plaisir de remettre un pied là-bas. (Buvant sa bière)

Cristiano : Donc comme ça tu vas être papa ?

René : Je vois que Julia en est pour quelque chose

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René : Je vois que Julia en est pour quelque chose...

Cristiano : Tu ne devrais pas l'abandonner !

Meu Salvador (Mon Sauveur) CR7Où les histoires vivent. Découvrez maintenant