Leur avenir était écrit. |Sneazzy|

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PARTIE 14 : « Je souris, pendant le trajet je lui ai posé pas mal de question sur le Japon, il en parle avec des étoiles dans les yeux, à croire que cette ville c'est sa gow abusé. Je trouve ça adorable sa façon de s'exprimer et de son attachement pour certaines choses, il sait de quoi il parle et c'est ce que j'aime, c'est ce qu'il m'avait le plus manqué chez lui, et je suis tellement contente d'avoir retrouver ça, de l'avoir retrouver tout simplement. »

*POINT DE VU D'ALISON*

22h30-

La soirée bat déjà son plein, j'ai fais la rencontre de 2zer que j'avais déjà croisé, dans la bande apparement c'est le seul à fumer, ils boivent un peu mais rien de plus, j'ai cru comprendre que ce n'était pas leurs cas lorsqu'ils étaient jeunes, Mohamed ne boit pas et ne fume pas, j'aime bien ça, au moins quand je lui parle je sais qu'il est sobre.

Je suis sur le balcon entrain de regarder paname, les lumières de la ville brillent et laisse une vue incroyable.

? :Pourquoi tu t'isoles ?

Je reconnu tout de suite la voix de Mohamed.

Moi : J'aime bien être seule parfois, faire le vide.

Mohamed : T'es comme moi.

Moi : Un peu comme tout le monde je pense.

Mohamed : Mmh, et tu penses à quoi ?

Moi : Je fais le vide donc je penses à rien du con

Mohamed : -rire- On est obligé de penser à quelque chose

Moi : Je pense à toi

Mohamed : Oooh !

Moi : Je rigole t'enflamme pas je pensais juste à ma vie –rire

Mohamed : Ouais donc tu pensais à moi

Je retourne ma tête vers lui en le regardant d'un air « Mais qu'est ce que tu racontes ? » tout en fronçant les sourcils.

Moi : Tu sais Mohamed, le monde ne tourne pas autour de toi.

*POINT DE VU DE MOHAMED*

C'est chaud comment elle me recale sec.

1h00-

Alison : Les gars je vous laisse je vais rentrer pour dormir, je bosse demain !

Hakim : Fait pas genre, t'es une che-ri

Il est fou lui. Le visage d'Alison se décomposa, je n'ai même pas la force de la défendre, elle me recale tout le temps, à croire que je ne suis rien pour elle, alors pourquoi je lui ferais ce plaisir là ?

Alison : Moi une che-ri ?

Hakim : Ouais toi

Alison : Je te connais pas, tu me connais pas, on se connait pas, alors tu la ferme.

Hakim : Parle mieux je suis pas ton pote

Alison : Manquerait plus que tu fasses partie des mes potes tiens, sale fou, je te connais pas et je te juge pas alors fait de même au lieu de réagir comme un gamin

Hakim : Redescends parce que la vérité je déteste les meufs qui tiennent tête

Alison : Bas déteste moi qu'est ce que j'en ai à foutre ?

Sur ces mots Alison claque la porte, elle a un de ces caractères, comme quoi elle n'a pas besoin de moi pour se défendre.

Kelly : Bon bas je vais y aller aussi, salut les gars hein

Elle était gênée, ça se voit.

Hakim : Toi aussi tu bosses comme une che-ri ?

Kelly : Pour toi bosser rime avec che-ri ?

Hakim : Ca se voit à vos gueules que vous êtes des bourgeoises

Kelly : Si on bosse c'est peut être parce qu'on a réellement besoin d'argent, sinon on serait pépère chez nous à rien foutre ou alors on serait resté à cette soirée, donc je serai toi je réfléchirais un peu avant de parler

Hakim : Azy casse toi de là

Ken : C'est bon Hakim t'es lourd là

*POINT DE VU D'ALISON*

Moi une gow riche ? Nan mais j'aurais tout vu tient. C'est quoi ce genre de gars qui juge par le physique des gens ? J'inspire que ça ? Une gow che-ri ?

Je marche dans les rues de paname, je sais même pas où je vais, j'ai beau connaître Paris je sais même pas où je me suis éloignée, mon téléphone vibre :

<Mohamed : T'es bien rentrée ?

Il veut quoi lui aussi ? Il me défend même pas et maintenant il s'inquiète pour moi,

Moi : Nan, et fait pas genre tu prends de mes nouvelles t'as même pas était capable d'ouvrir ta sale gueule pour me défendre

Mohamed : C'est pas une question d'être capable ou non, t'es où ?

Moi : Ouais ouais, t'as cru j'allais te le dire en plus.

Mohamed : T'ES OU ?

Mohamed : Alison putain répond, t'es où ?

Mohamed : La vérité Alison je suis dehors t'es où je suis entrain de péter un plombs

Bas pète un plomb mon frère si tu savais comme je m'en fou.