Vendue au diable [en réécriture]

#42

La semaine s'écoula, je repris mes cours normalement. Sophia venait a chaque fois me chercher pour m'emmener de salle en salle. Je passais tout mes repas en compagnie de Satan et de ses mille et une conquête ? fan ? ex ? Je ne sais pas, mais on était entouré. Je revis certaine de ses fans, je suppose que c'est le mot approprié, que j'avais déjà vu et elle me regardèrent avec toujours autant de dégout. A  vrai dire la plus part des personnes de se châteaux me regardaient avec dégout, la gente féminine surtout. Est-ce MA faute si leur Satinounet chérie –je reprends leur mot- ne voulais pas d'elle ? Je n'avais strictement rien à voir avec ça.

A bien y réfléchir je n'aimais pas cet endroit pour une chose. Je ne connais personne (et je n'ai aucune liberté mais ça c'est pas nouveau). Je n'ai personne a qui parler, raconter ma vie, écouter la sienne, manger des glaces ! Sérieusement si il y a bien une chose face a laquelle je ne peux rien c'est les glaces. Je détestais que Maya m'achète de la nourriture, des affaires, et autres mais les glaces –et je dis bien n'importe quelle glace- je ne les refusais jamais. Je n'en mangeais pas souvent, mais a chaque fois que j'en prenais c'était comme une renaissance pour moi, la découverte d'un nouveau monde infini et meilleur. Maya me manque. Elle me manque terriblement.

Mercredi arriva déjà. Je me levai seule comme toujours, j'ai appris que Satan était très matinal. Je me hâte de prendre une douche et d'enfiler le premier jeans et le premier t-shirt que je trouve. J'enfile mes baskets en vitesse et m'assieds sur le lit prête. Je ne devrais pas être aussi pressé, c'est une simple visite. Mais j'ai beau lutter ardemment contre mon cœur ne veux pas se calmer.

La porte s'ouvre d'un coup et je sursaute. Satan se trouve en face de moi.

- Bon la demi-portion on y va, dit il appuyer contre la porte.

Je lève les yeux au ciel mais le suis sans un bruit. Arriver a sa hauteur il me demande si je préfère me téléporter ou faire le chemin a pied, je lui réponds sans hésiter a pied. Cela me permettra de connaître un peu mieux le château ? manoir ? palace ? je ne sais jamais. Et donc de pouvoir m'enfuir beaucoup plus rapidement. Car serte mon cœur a une fréquence cardiaque légèrement en hausse ses derniers temps mais cela ne m'empêchera pas de m'enfuir d'ici.

Nous descendons les étages un à un et nous retrouvons dans l'entrée principale. Cet endroit est simplement incroyable, il contraste avec tout le reste du château. Décorer en marbre blanc on n'imaginerai pas que quelque mètre en dessous, lorsqu'il est seul, Satan aspire le sang d'humain encore vivant. A cette pensée un frison me parcours.

Nous sommes à présent dehors, je peux voir devant moi l'allée sur laquelle j'ai marché en arrivant ici. Le grand et magnifique portail se trouve toujours devant moi, il me fascine toujours autant de part sa grandeur, sa largeur, ses détails et sa beauté. Une voiture noire est garée juste devant. Je regarde à l'intérieur a la recherche d'un potentiel conducteur mais n'en vois aucun.

- Monte c'est moi qui conduis, me dit Satan. 

Je suis d'abords septique a l'idée de monté dans sa voiture et de la laisser conduire.

- Ne me dit pas que tu as peur la demi-portion c'est déjà moi qui t'es conduit jusqu'ici et puis se n'est pas comme si tu avais le choix, rétorque t'il déjà au volant du véhicule.

Je m'assois a coter de lui et il commence a vrai vrombir le moteur.

- Destination Kyoto !

Je n'ai pas le temps de comprendre se qu'il se passe que le portail se créer devant nous. On arrive au beau milieu de nul part, mais Satan continu a conduire. On entend au loin les bruits de la ville. Je comprends alors que l'on est enfin sur terre, entouré d'humain, de gens normaux, et de toute évidence au Japon. Je n'y crois pas. Comment ? Je devais simplement découvrir les joies de l'enfer non ?

- Oui je sais que tu devais découvrir les joies de l'enfer mais le Japon c'est pas mal non plus, j'avais une affaire urgente a réglé et le seul moment de libre était aujourd'hui. Je ne voulais pas t'emmener mais Lilith a insister.

Lilith ?

- Oui Lilith je ne sais pas pourquoi, mais je n'avais pas envie de débattre avec elle. Te prendre avec moi était simplement plus rapide.

Il peut encore lire dans les pensées ?

- Et l'humaine imbécile on est sur Terre bien sûr que je peux lire dans tes pensées.

Connard ?

- Oui ça aussi... bon on est arrivé c'est le temps de mettre en œuvre ton japonais !

- Mais je n'ai pas eu beaucoup d'heure de cours !!! M'affolais je

- Et bien il faudra faire avec, me dit il sèchement.

On arrive face a un temple d'une beauté inimaginable. Il est d'un rouge hypnotisant, la structure est parfaite, un lac le longe. Il est simplement incroyable. Je suis fasciner par se temple. Je ne peux pas en détacher les yeux. Je suis hypnotisée. Je ne peux plus bouger. Plus rien autours de moi ne compte. Je n'entends rien. Je ne sens rien. Je ne vois que se temple.

Je me fais soudainement renverser, enfin plus précisément incliner. Je n'ai pas encore retrouver tout mes sens mais je prends enfin conscience du monde qui m'entour autre que le temple.

- Kitsune mon vielle ami, dit Satan en je pense l'enlaçant vu comme leur deux pied son proche.

- Satan ça faisait longtemps tient ! s'exclama l'autre en retour.

- J'aurais aimer te revoir dans d'autres conditions mon amis, rétorqua Satan plus grave.

- La situation est si critique que ça ? s'interroge le dénommé Kitsune.

- Je le crains bien mon ami, annonce Satan.

- Je veux bien te croire mais une chose m'intrigue depuis tout a l'heure, dit Kitsune.

- Quoi donc ? demande Satan.

- Qui est cette jeune fille pliée en deux à côté de toi ?

~ Heyyy
Bon ok je publie à 23h44 mais je publie mardi comme je l'avais promis!!
Voilà sinon ça intéresse personne mais j'ai eu mon code !!! Voilà voilà
Bon j'espère qu'il vous a plu -le chapitre hein pas de savoir que j'ai eu mon code-
À samedi ou dimanche 😈😈😈~

PS: maintenant on me connaît tout le monde sait que je publierai sûrement que dimanche...

PPS ? PSS ? PS2 ? : je me suis pas relu donc je m'excuse pour les fautes, et pour vos yeux qui saignent...