Partie 5.
Le lendemain :
Je me réveille de très bonne humeur car aujourd'hui je vais déposé mes CV pour trouvé un nouveau travail. Il faut que je me reprenne en main.
Il est 14h30, je prend mon sac, mes clés, mon téléphone et je descends. Avant de sortir je ferme la clé car il y a personne à la maison (très intéressant).
Je descends les escaliers deux par deux, une fois que j'arrive en bas de mon bâtiment je passe en baissant la tête vu que s'est rempli de gars, pire que d'habitude.
Je marche jusqu'au parking et je monte dans ma voiture, je dépose mes CV dans quelque centre pour enfants puis à 16h00 j'entre dans un grec pour aller mangé vu que depuis ce matin mon ventre est vide.
Je commande et je m'installe dans une table, je m'asseois et en attendant que mon plateau arrive je joue à un jeu sur mon téléphone quand un gars s'assoit juste en face de moi.
Je lève ma tête vers lui.
-Moi : As-salam Alaykûm, je peux t'aider ?
-Lui : Ouais, ta un 06 ?
-Moi : Tu peux partir s'il te plaît ?
-Lui : Non tant que j'ai pas ton 06 je bouge pas d'ici.
-Moi : T'es entrain de me gonflé, lève toi on se connais pas pourquoi tu vient me parler ?
-Lui : Elle a du caractère un petit côté fragile.
Me dit-il en chantant, sur le coup je lâche un petit rire.
-Lui : Ah tu voit tu sourit j'ai marqué un point déjà.
Je me redresse.
-Moi : Ta rien marqué du tout ! Bon lève toi maintenant.
-Lui : Dis-moi juste comment tu t'appelle au moins.
-Moi : Ça va t'apporter quoi ?
-Lui : Mais t'es têtue wesh tu casse la tête pour rien ça donne même pas envie de te parler.
-Moi : En aucun cas je t'ai demandé de venir me parler !
Il commence vraiment à m'énerver celui-là.
-Lui : Tu te rebelle dit donc, bref tu fait trop la star je sais même pas pourquoi je perd mon temps avec toi.
Il se lève.
-Moi : Ta raison barre toi.
Il se retourne vers moi en fronçant les sourcils.
-Lui : Ta dit quoi là ?!
-Moi : Rien.
-Lui : Ouais ferme ta gueule ta raison sale débile.
-***** : Eh parle lui correctement toi.
Je me tourne et j'aperçois Bilel, qu'est-ce qu'il fait là ? Et pourquoi il me défend ? Je comprend plus rien...
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Chronique de Sidra :
Non-FictionIl était tout ce que je voulais être mais tout ce que je n'étais pas, j'aurais dû lui dire que je l'aimais au lieu de me dire qu'il ne m'aimais pas.