Avant d'écrire ce dernier chapitre je tiens à vous précisé que ça a était la période la plus douloureuse de toute ma vie, écrire cette partie me fait extrêmement mal au cœur wAllah qu'au jour d'aujourd'hui j'en pleure encore. Je vous demande juste d'être compréhensif et de ne pas jugé ni même critiqué.
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Aujourd'hui c'est mon jour de repos, je ne travaille pas.
Je me suis levé à 13h00 tellement que j'étais fatigué, je range mon lit, j'ouvre la fenêtre pour aéré la chambre puis je me dirige vers la salle de bain faire ma routine du matin ensuite je prend mon petit déjeuné.
Jusqu'à là tout se passait bien, rien de fou, vers 15h00 je reçois un appel de Chirine me disant de la rejoindre en bas de son bâtiment pour qu'on passe la journée ensemble donc bien évidemment j'ai dis oui.
Je prend ma douche et je me prépare, je me maquille pas hein puisque je sors dans mon quartier. Une fois que je suis prête je prend mon téléphone et je préviens ma mère que je sors.
Je descend les escaliers et j'arrive en bas de mon bâtiment, je passe en baissant la tête et sans m'en rendre compte je me cogne contre un homme.
Je lève la tête et j'aperçois Youssef, il me regarde et sourit tandis que moi je baisse la tête, je lâche un "smeh" et je m'en vais en marchant très vite.
Je marche jusqu'au bâtiment de Chirine et je l'aperçois assise en bas, je m'avance vers elle.
-Moi : Lève toi on se cale au stade.
-Elle : Ouais ouais la street.
Elle se lève en chantant puis on se dirige au stade, on regarde les petits jouer au foot et sincèrement j'espère qu'ils vont percés. Qu'ils vont pouvoir devenir de grand footballeurs parce qu'ils jouent très bien, ils sont très fort et je dis pas ça parce que ce sont des petits de mon quartier.
Chirine commence à me parler de Hichem, entre eux c'est vraiment bizarre hein ils s'aiment beaucoup mais ils se le montrent pas, ils s'embrouille souvent surtout et s'est ça qui gâche tout.
Au fond je sais très bien qu'elle le kiffe...
J'étais à fond dans la conversation quand j'entend des gros coup de feu, des coup de feu qui n'ont jamais était aussi fort. Avec Chirine on se regarde en ouvrant grand les yeux, au début je pensais que c'était juste des tirs en l'air jusqu'à que j'aperçois Hichem courir vers le bâtiment de Bilel...
Je ressens une énorme boule au ventre à ce moment-là, je regarde Chirine et on se lèvent en courant, on court jusqu'au bâtiment de Bilel et là j'aperçois tous les grands autour de Hichem et d'un mec allonger au sol, dans ma tête je prié juste pour que ça ne soit pas Bilel, tous le monde sauf lui...
Plus je m'avance et plus je reconnais le survêtement de Bilel, mon cœur s'arrête net, les larmes montent et je me met à pleuré comme j'ai jamais pleuré.
Ce jour-là Bilel a rejoins le Très haut, il a rejoins le Tout Puissant, c'était son heure...
WAllah je regrette toute les paroles que j'ai pu lui dire le soir d'avant, il venait s'expliquer et je lui ai même pas laisser le temps de parler, de me parler... mon cœur a était enterré le jour où le siens s'est arrêté. Si vous aimez une personne dîtes lui, n'attendait pas le lendemain ou même un mois après pour lui dire parce que vous ne savez pas de quoi est fait demain.
Par Allah j'aurais aimé qu'il soit encore là, qu'il soit près de moi, si seulement il serait là je me serais excuser un milliard de fois, je lui aurais dis je t'aime cent fois par jour si il faut.
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Chronique de Sidra :
Literatura FaktuIl était tout ce que je voulais être mais tout ce que je n'étais pas, j'aurais dû lui dire que je l'aimais au lieu de me dire qu'il ne m'aimais pas.