Partie 45.
Vous allez me prendre pour une grosse fragile, une grosse dépressive de la vie mais j'ai fais que pensé à Bilel.
J'ai beau essayé de me convaincre à moi-même que je vais réussir à l'oublier je me dis que finalement ça sera impossible ou peut-être pas mais que ça me prendra beaucoup de temps.
À force de trop pensé j'ai fini par m'endormir.
[...] Quelque heure plus tard je me réveille avec un énorme mal de tête, je regarde l'heure sur mon téléphone et je vois : 19h20. Ouaaw j'ai beaucoup dormi quand-même...
Je me lève, je range mon lit et je sors de ma chambre, je me dirige vers la cuisine quand j'aperçois ma mère devant la télé entrain de regardé sa série turque.
Je m'avance vers elle et je lui dépose un baiser sur le front.
-Ma mère : Ah tu t'es enfin lever.
-Moi : Désolé j'étais fatigué.
-Ma mère : Si tu as faim il y a de la pizza et du poulet aux olives. Va manger.
-Moi : Non j'ai pas faim Yemma t'inquiète.
Elle hausse les épaules, je souris et je retourne dans ma chambre. Je me démaquille, me met en pyjama et je me remet sous ma couette.
Je regarde mon téléphone et je vois des messages de Chirine, Hazem et Hichem.
Je leur répond et je pose mon téléphone sur la commode en allumant la télé, je met ma série et je commence à la regarder jusqu'à 23h00 et quelque.
***
Je vous passe une semaine, j'ai repris mon travail et tout va bien pour le moment.
J'ai aucune nouvelle de Bilel, ça me bouffe de l'intérieur, je fais la fille qui s'en fou mais Dieu seul sait à quel point il me manque.
Aujourd'hui on est lundi, je travaille bien-sûr, donc je me réveille, je fais ma routine du matin et je me prépare. Je m'habille, prend mon petit déjeuné et une fois que je suis prête j'appelle Chirine pour qu'elle descend, quelque temps après nous voilà dans ma voiture.
On se met à parler de tout et de rien, on arrive au centre je gare la voiture et on descend. Je salue tous le monde et à ma plus grande surprise Safia me prend dans ses bras.
-Safia : Ne me laisse plus hein.
-Moi : Mdr oui t'inquiète.
Elle me sourit et s'est parti pour une journée de travail, comme d'habitude j'ai passé une très bonne journée avec les enfants mais je suis quand-même fatigué.
La journée se termine, avec Chirine on salut tous le monde puis on s'en vas. Elle voulait conduire alors je l'ai laissé et franchement ça m'arranger puisque j'étais kao.
Elle roule donc jusqu'à la citée, pendant tout le trajet elle a fait que me saoulé à chanté tout et n'importe quoi. Elle croit vraiment qu'elle sait chanté en plus. 😑
On arrive et chacune rentre chez soit, je marche jusqu'à mon bâtiment quand j'entends sa voix, celle de Bilel. Mon cœur s'arrête net et mes jambes aussi, j'arrivais même plus à marché. Entendre sa voix après un long moment ça me fait toujours bizarre...
Il parlait au téléphone, je sais pas avec qui et franchement je voulais pas savoir. Sans faire de bruit je m'avance un peu pour mieux le voir et il est toujours aussi beau celui la, je préfère rentré avant qu'il me voit, même si j'avoue que j'aurais voulu resté un peu plus à le regardé.
Je rentre chez moi, je trouve tous le monde entrain de manger, je lance un "Salam" collectif et je me dirige vers ma chambre, je me change, me démaquille et je retourne dans la cuisine. Je m'asseois à côté de ma mère et je commence à mangé avec eux.
Ça fait du bien de manger en famille, Hazem ne m'a pas lâché du regard tout au long du dîner et je me demande pourquoi... on fini de manger, Semiya m'aide à débarrassé la table puis je retourne dans ma chambre quand Hazem me stop et m'emmène dans la sienne.
Il m'oblige à m'asseoir, il se met debout en face de moi et commence à me fixé.
Il me lâche pas du regard et ça me stresse trop, il croise les bras et lève un sourcil.
-Moi : Hazem...
-Lui : Ouais.
-Moi : Tu peux me dire y a quoi ?
-Lui : Tu sait pas ?
-Moi : Bah non...
-Lui : Prend moi pour un con.
-Moi : Mais wAllah je sais p...
Il me coupe la parole en donnant un gros coup sur le mur, j'ai sursauter et surtout j'ai eu très peur.
J'ouvre grand les yeux et je le regarde choquée, pourquoi il se met dans cet état ?
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Chronique de Sidra :
No FicciónIl était tout ce que je voulais être mais tout ce que je n'étais pas, j'aurais dû lui dire que je l'aimais au lieu de me dire qu'il ne m'aimais pas.