Partie 48.
Ne croyez pas que je l'écouter pas, que je faisais pas attention à ce qu'il me disait parce que bien au contraire tout le long j'ai fais que l'écouter. À la fin de son joli discours j'ai pas pu m'empêcher de versé des larmes, au début c'était quelque une puis j'ai fini par éclaté en sanglots devant lui.Il me regarde longuement et me tire vers lui pour me prendre dans ses bras. Il me serre fort contre lui et moi de même, je voulais plus le lâché à-vrai-dire je voulais tout simplement tout oublier et tout reprendre à zéro avec lui.
On a dû rester comme ça une bonne dizaine de minute jusqu'à qu'une bande de gars sortent de nul part et s'est là que je me suis détaché de lui. Ils nous regardent et s'en vont en parlant tout bas, mhhh.
Bilel attrape mon visage entre ses mains et dépose un baiser sur mon front.
-Lui : Vient on oublie tout Sidra vient on reprend tout à zéro...
-Moi : Et si tu recommence ? Bilel j'ai peur wAllah j'ai très peur...
-Lui : Je sais ça mais la tête de ma mère c'est fini tout ça j'ai pris conscience des choses et surtout de c'que j'te faisais subir. Pardonne moi wAllah.
Je le regarde et le prend dans mes bras de nouveau, il me serre fort contre lui. J'étais tellement bien dans ses gros bras que j'aurais voulu rester comme ça toute la nuit mais toute belle chose à une fin...
On fini par se détacher, il dépose un gros baiser sur mon front et chacun part de son côté. Comme vous avez pu le deviner j'ai décider de lui laisser une DERNIÈRE chance, vraiment cette fois s'est la dernière y en auras pas d'autre et ça il l'a très bien compris.
Je rentre enfin chez moi et bien évidemment j'ai le droit au grand discours de Hazem, il se met à me hurlé dessus comme si j'étais une enfant de cinq ans qu'avait fait une grosse bêtise.
-Lui : TU TE CROIT GRANDE LÀ HEIN C'EST ÇA ?! J'VAIS FINIR PAR TE FAIRE MAL SIDRA WALLAH TRÈS MAL !
-Moi : Mais j'ai rien fais...
Il donne un gros coup sur le mur puis là le drame il commence à m'enchaîner de coups, il a jamais lever la main sur moi s'est la première fois qu'il le fait et j'suis tout simplement choquée.
Ce soir-là il n'y avait personne chez moi à part lui et moi, une fois qu'il a fini de se défouler sur moi il sort de la maison en claquant la porte et en crachant à mes pieds.
Subhana'Allah s'est un truc de fou à quel point il a changé, il était pas du tout comme ça avant. Du jour au lendemain il est devenu violent sans aucune raison...
C'est vraiment avec du mal que je réussi à me levé, j'étais dans un état catastrophique j'avais mal de partout, je sentais plus du tout mes jambes pour vous dire.
Je me dirige vers la salle de bain et je me regarde dans le miroir, ma bouche est enflé, mon arcade ouvert alors mon visage j'en parle même pas il est défiguré. Il m'a vraiment pas loupé.
Je prend la trousse de secours et je commence à me soigné, mes larmes coulent une par une puis je me met à pleuré comme un bébé, je suffoquer et surtout j'arrivais presque plus à respiré.
Je sors de la salle de bain, je me dirige vers la cuisine pour aller boire de l'eau quand d'un coup je tombe par terre, ma tête se met à tourné aussi vite qu'un tourniquet puis rien, trou noir...
[...]
Je me réveille et je remarque très vite que je suis sur un lit d'hôpital avec des tuyaux partout, on m'a même perfuser et je comprend pas pourquoi.
À mes côtés se trouve ma mère et Semiya. Hazem n'est pas là et tant mieux je veux surtout pas voir sa gueule à celui la. Il m'a tellement déçu wAllah j'aurais jamais pensé ça de lui, je suis écœuré, dégoûté de lui même.
-Ma mère : Benthi oh benthi tu t'es enfin réveiller ! Semiya vite va chercher un médecin.
-Semiya : Oui Yemma...
Elle sort en vitesse de la chambre et revient quelque minute plus tard avec un médecin et deux infirmières. Voir ma mère pleuré à cause de moi ça m'a tellement fait mal au cœur.
-Médecin : Bonsoir mademoiselle Sidra, comment vous sentez vous ?
-Moi : Mal, très mal...
-Médecin : Ça se comprend vu les coups que vous avez reçu, vous avez de nombreuse séquelle et s'est très mauvais pour vous. Déjà pour commencer vous allez rester ici deux jours que vous le vouliez ou non, ensuite je vais vous prescrire deux pommade que vous allez devoir appliqué chaque soir avant de dormir sur le bas de votre dos ainsi que le bas de votre ventre.
Bref je vous passe son long discours, ce médecin je le connais très bien puisque s'est toujours lui qui me prend en charge. Il m'a fait un résumé sur ce que j'ai, trois côtes cassées ainsi qu'un petit trouble crânien, de nombreux hématomes au ventre et au dos.
Ma mère et ma sœur ont finis par partir ça fait que je me retrouve seule dans cette chambre...
J'allais m'endormir quand j'entends un téléphone vibré, je tourne la tête et j'aperçois le mien sur la table de chevet.
Je regarde l'écran et je vois un message de...
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Chronique de Sidra :
SaggisticaIl était tout ce que je voulais être mais tout ce que je n'étais pas, j'aurais dû lui dire que je l'aimais au lieu de me dire qu'il ne m'aimais pas.