quatorze

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FOUAD

« Au départ, on jouait alors pourquoi t'es piquée ? »Pour un jeu | Leto & Kaza

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« Au départ, on jouait alors pourquoi t'es piquée ? »
Pour un jeu | Leto & Kaza

Je commençais à être de plus en plus fatigué du taff. Je rentrais exténué et j'avais clairement besoin d'un massage. Je suis rentré et je me suis dirigé directement vers la cuisine, elle faisait des crêpes.

J'ai souris et je me suis approché doucement d'elle, elle était habillée d'un cycliste et d'un simple débardeur et j'aimais sa tenue. Ça faisait longtemps que je n'avais pas eu un contact direct avec une femme, depuis que j'avais commencé cette enquête je ne m'attardais plus sur les femmes, l'amour.

Et c'est vrai que c'est en partie sa présence qui comble ce vide, même si il y a rien d'ambigu entre elle et moi juste le fait qu'elle soit là... Bref.

Moi : Wesh.

Issana : - me fait la bise - Ça va ?

Moi : Et toi?

Issana : Toujours.

J'ai souris et j'ai apporté mes yeux sur le plan de travail, il y avait un plan dessiner sur celui ci. J'ai froncé les sourcils et je me suis attardé sur celui ci essayant de deviner ce qu'il représentait.

Moi : C'est le plan de quoi ca ?

Issana : - se retourne - De quoi?

Je me suis assis face au plan et je lui ai montrer du doigt.

Moi : Ça.

Issana : C'est le plan du QG.

Moi : - fronce les sourcils - Tu le connais par coeur ?

Issana : On est obligé de le connaître par coeur ce plan, je connais chaque issu de secours, chaque pièce. Quand tu rentre au sein du QG, tu es obligé de l'apprendre pour ta sécurité.

Elle s'est approché du plan doucement avec sa poêle en main.

Issana : Tu dois connaître le plan par coeur car si il y a la police a la sortie B et des ennemies à la sortie C tu sais qu'il y aura personne à la sortie D.

Je l'ai regardé elle, ensuite le plan puis j'ai souris. Elle est retourné auprès du feu pour terminer sa crêpe puis je me suis mordu la lèvre.

Moi : C'est exactement ce qu'il nous manquait, t'es excellente.

Issana - rit : Je vais t'expliquer toutes les petites failles de ce QG, tu pourra même y loger une semaine sans te faire cramer.

Moi : Comment tu connais tout ça ?

Issana : - rit doucement - Ca paye d'être la petite protégée du boss et puis.. J'y ai vécu longtemps.

Je l'ai regardé d'un air désolé pendant qu'elle était concentré sur ses crêpes, j'avais un espoir maintenant qu'elle était là. L'espoir d'arrêter ce fils de pute, l'espoir de sauver toutes les femmes qu'il séquestre et l'espoir de retrouver le corps de ma soeur.

Elle a fini sa dernière crêpe, éteins le feu et s'est mise devant moi.

Issana : Okay écoute moi bien.

J'ai hoché la tête et j'ai regardé le plan pendant qu'elle expliquait.

Issana : Le mieux c'est d'envoyer une équipe couloir A et E, ces couloirs ne sont jamais surveillé et le couloir E c'est celui qui mène directement au boss. A parti de 20h, il y a seulement trois gardes okay, à l'entrée, à la sortie et au sous sol.

Moi - le regarde - : Y'a quoi au sous sol ?

Issana : Les chambres des escortes, prostitués, le dressing d'Esme et moi, les séquestrations et au fond du couloir la chambre froide donc les -

Issana & Moi : Meurtre.

On s'est regardé et j'ai soupiré, c'était un enfer cet endroit.

Moi : Comment vous innocenter ?

Issana : Dans le bureau du boss, il y a un placard rempli de dossier ça sera la preuve qui prouvera qu'on agissais par contrainte, moi et les autres.. On continue ?

Moi : Je t'écoute.

Elle a commencé à m'expliquer plein de chose mais je ne l'écoutais même plus... Je la regardais parler, c'est tout. Ses manières, sa manière de parler, de toucher ses cheveux... Elle est belle.

Je me suis concentré quand elle a lever son regard pour voir si je la suivais toujours et j'ai secoué la tête pour faire mine que je validais ce qu'elle disait. Je me suis mis ensuite à côté d'elle pour plus me concentrer.

Une fois fini je l'ai pris dans mes bras, en trente minutes elle m'a fait avancer une enquête où j'étais dessus pendant plus d'un an.

Moi : Merci Issana.

Issana : - sourit - C'est normal Fouad, c'est normal.

Elle m'a fait un bisou sur la joue et je me suis mordu la lèvre, j'ai regardé le
plan et j'ai souris. On approche du but.

On y approche doucement..

sept heures quatre. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant